Jean-Richard Bruno ITOUA, « le meilleur d’entre nous disent-ils, » viré de la fondation Olangi-Wosho, plus connue sous le nom d’église CIFMC.
Par Jean-Claude BERI
Alors que les congolais sont suspendus aux futures elections présidentielles en 2026, leur message aux institutions et responsables religieux est clair: «Tenez-vous à l’écart». C’est ce que révèle le quotidien des conversations des congolais.Nombreu d’entre eux sont categorique et le disent sans ménagement que les organisations religieuses ne devraient pas se mêler de politique. Et plusieurs d’entre eux trouvent qu’elles ne devraient pas faire de soutien politique.
Ce n’est un secret pour personne que Bruno Richard ITOUA est dans les star t-in blocs pour une succession annoncée difficile de Christel Denis SASSOU NGUESSO. Dans le cercle le plus rapprochée de SASSOU depuis plus de 30 ans, BRUNO RICHARD ITOUA n’hésite plus a se sacrifier pour un pouvoir honnis et vomi par le peuple congolais. Monsieur “TOKO TIKA TE” a preferé engagé le bras de fer avec son église d’adoption qui a fait de lui un “pasteur” CFMC de la La fondation Olangi-Wosho suite a sa suspension et son interdiction. Les prises de positions de ces derniers mois de BRUNO ITOUA sont a l’opposé de la nouvelle idéologie approuvée par les frères du CFMC. Ces positions s’étendent aussi à la chaire. Bien que la plupart des gens qui assistent à des offices soient satisfaits de la quantité de discussions politiques qu’ils entendent dans les sermons, ils ont tendance à faire moins confiance au responsable religieux sur des questions politiques brûlantes. Lorsqu’on a la foi , on ne peut avoir deux chefs.
Seulement le ver est déjà dans le fruit. Les congolais ont découvert au grand jour les ramifications extrêmement dangereuses qu’entretiennent la politique et la religion congolaise. En plus l’apport des églises de réveil dans l’effort d’endormissement des Congolais est revèlateur du danger encouru par les congolais. BRUNO ITOUA (CIFMC) est aujourd’hui comptés parmi les milliardaires congolais. On sait comment et d‘où provient cette richesse qu’il étale publiquement dans une arrogance qui n’a rien a voir avec un homme de dieu. D’ores et déjà, on peut même en douter de leur serviabilité envers DIEU. Ils servent le diable Diable sassou qui est plus une certitude
La fondation Olangi-Wosho, plus connue sous le nom d’église CFMC, exclut définitivement , Bruno Itoua et beaucoup d’autres. Il serait banni et considéré comme infiltré au sein de l’église pour véhiculer la propagande du mal incarné par le pouvoir en place. Avec une habileté remarquable Bruno ITOUA a su intégrer le cercle suprême de cette assemblée en y injectant pendant des années des millions , sinon afin de se construire une image intouchable Seulement Dieu est incorruptible
Son discours axée sur la la corruption et teinté d’un culte de la personnalité nauséabonde autour de la famille régnante appelée « dynastie NGUESSO »n ‘est plus le bienvenu au sein de l’assemblée CIFMC. Bruno TOUA, ministre en fonction (qui aurait l’habitude de parler avec le Saint Esprit) et PAUL MBOT un général à la retraite des FAC, seraient à couteaux tirés dans une lutte de pouvoir au sein de l’assemblée devraient plutôt se questionner sur leur cours de théologie. Car à vouloir servir deux maitres , on se perd soi même et on construit sa propre tombe.
“Matthieu 6 …23 mais si ton oeil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres! 24 Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un, et aimera l’autre; ou il s’attachera à l’un, et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.”
Le rôle de l’intellectuel politique est de dire aussi pleinement, aussi honnêtement et aussi directement que possible la vérité. Cela implique qu’il ne se soucie ni de plaire ou déplaire au pouvoir, ni de s’inscrire dans la logique d’un gouvernement, ni de répondre à un intérêt de carrière. Force est de constater manifestement que Bruno ITOUA a oublié son cerveau lors de son infiltration au sein de l’assemblée CFAM. Il a ignoré le diagnostic de défaillance qui se dessine chaque jour sur tout l’étendu du pays. La situation qui prévaut au Congo montre que le pays est absorbé par une certaine élite qui se prenne pour des sachants, des détenteurs de la science infuse, alors que ce n’est qu’une oligarchie clanique des élites corrompus et ignares qui abreuve des mensonges insoutenables le peuple.
Ce déni de réalité, reste la crainte de devoir reconnaître les maux dont souffre la société congolaise sans être paralysé par l’épée de Damoclès que constitue l’accusation de pillage ou, celle, saugrenue, de tribalisme. Ce chantage intellectuel nourrit un conformisme qui contraint au silence nombre de consciences. Un silence dont nous payons le prix aujourd’hui et qui nous a probablement fait prendre quarante ans de retard sur le progrès.
Ne vous trompez pas, le discours de Jean-Richard BRUNO ITOUA , s’adresse à ceux qui vivent dans le cocon des quartiers protégés proches du pouvoir. Ceux-là qui semblent ignorer « le Congo ya nzala, » « le Congo sale », « le Congo ya Mbato ya pasi, » comme ils le stigmatisent dans leur quotidien de voleurs de la république. Ils feignent d’ignorer les conditions de vie de la grande majorité du peuple congolais pour se donner bonne conscience.
La peur de poser les mots justes sur les maux de la société congolaise comme si, à désigner le danger, on le faisait entre dans sa maison. Cette attitude naïve, sinon puérile, consiste à penser qu’à cacher le danger on le fait disparaître. Mais la réalité finit toujours par nous rattraper, et à différer l’affrontement on se prépare à un combat plus violent encore et plus incertain quant à son issue. La peur ne nous épargnera ni le malheur ni la confrontation.
Le cas de Bruno ITOUA n’est que la face cachée de tout un système en perdition et dont le chef est dépassé et lié par des alliances suspectes, mafieuses, maçonniques, et familiales qui l’encouragent à toujours voler et sévir.
Les plus nuisibles, ce sont en effet ces petites mains qui ordonnent et exécutent les consignes venant parfois de leurs propres volontés. Le plus actif dans ce domaine, c’est certainement Jean-Richard Bruno ITOUA, « le meilleur d’entre nous disent-ils, »
Il se croit tout permis, transgresse la morale, l’usage traditionnel du droit au respect des citoyens et pour en finir s’érigeant jusqu’au droit d’emprisonner lorsqu’on le contredit. Ceci en obéissant qu’à une seule règle : la famille passe avant tout. Seulement, le Congo n’est pas un bien privé qui doit être géré comme une épicerie familiale et traditionnelle.
Jean-Claude BERI
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