Coup de gueule d’Alphonsine MIKOUIZA:   KOFFI OLOMIDE DEVANT LA JUSTICE FRANÇAISE.

Par  ALPHONSINE MIKOUIZA 

 

UN CAS QUI DOIT ÊTRE RELAYÉ DANS LES DEUX CONGO ET LE RESTE DE L’AFRIQUE SUBSAHARIENNE.

Le cas KOFFI n’est pas isolé, c’est le reflet de la situation des filles dans les deux CONGO. DIEU se sert de cette célébrité congolaise et africaine pour se manifester.

Le viol est banalisé même chez ces Congolais qui viennent et vivent souvent dans des pays démocratiques. Il y a tellement d’impunité dans les deux CONGO qu’ils oublient qu’en venant en FRANCE, il faut respecter la LOI.

LE VIOL des enfants, des filles et des femmes est banalisé dans les deux pays sans compter l’inceste d’un membre de la famille.

Cela se passe même dans les familles.

Au Congo Brazzaville certaines autorités se retrouvent avec 2, 3, 4 femmes congolaises et maîtresses très très jeunes parce que tout a commencé par un VIOL de la très jeune fille mineure.

Pour taire les plaintes, le violeur accepte en complicité avec la famille, de prendre pour femme la pauvre fille violée en lui miroitant sa situation financière et/ou le pouvoir du violeur.

Les parents acceptent l’argent du violeur, les filles deviennent des coupables qui doivent accepter leur sort.

Le violeur est Président de la république, il est ministre, il est directeur de cabinet, il est chef d’entreprise, il est professeur, il est enseignant, il est un homme politique, il est une star, une célébrité, il a beaucoup d’argent.

Oui l’Afrique noire est encore à ce niveau de bestialité et de criminalité.

Ceux qui doivent contribuer à faire respecter la loi sont les plus grands criminels.

Certains disent : » c’est n’est que du sexe « 

C’est le violeur qui prend du plaisir et non la victime.

CE N’EST PAS PAS POUR RIEN QUE C’EST UN CRIME PUNI sévèrement PAR LA LOI CHEZ LES CIVILISÉS.

Dans Les deux CONGO dès qu’on a le pouvoir politique, la célébrité et les moyens financiers, les hommes se croient tout permis selon leur libido incontrôlable, leur obsession du sexe.

C’est pourquoi certains congolais défendent le fait d’avoir plusieurs maîtresses.

Trop de malades, trop de criminels se cachent derrière la polygamie.

TOUT EST PERMIS DÈS L’INSTANT OÙ ON A UNE PARCELLE DE POUVOIR,   par la force physique, par la célébrité, par l’argent, par la position administrative.

-Promettre de donner un poste à une femme en contrepartie du sexe est une forme de viol la plus abjecte

-Embaucher une danseuse en contrepartie du sexe c’est un viol

-Promettre de donner un diplôme à une élève ou une étudiante en contrepartie du sexe est un viol.

Tout chantage lié à la contrepartie du sexe est un viol tout simplement parce que le consentement de la personne n’est pas libre.

J’imagine ces petites danseuses face à des chanteurs et d’autres prédateurs comme KOFFI, des filles issues des familles très pauvres, elles se retrouvent à la merci de tout sans défense.

Les traditions rétrogrades que certains congolais défendent sans vergogne qui transforment les victimes, les filles, les femmes en coupables sont à dénoncer et condamner.

Certains disent pourquoi les filles ont accepté d’être violés ? Pourquoi elles ne sont pas parties patati et patata.

Dès qu’on parle de VIOL, le verbe « accepter  » ne peut plus être utilisé car un VIOL ne s’accepte pas, le consentement n’y est pas.

Quelles sont ces humains qui pensent continuer à construire une société africaine en maintenant certains rituels et traditions barbares contre les filles et les femmes ?

Auprès c’est la faute de la France qui vous demande de violer vos filles et femmes ? C’est la France qui vous demande de maltraiter les femmes en Afrique ?

IL Y A TROP DE CRIMINELS EN LIBERTÉ EN AFRIQUE.

 

ALPHONSINE MIKOUIZA