« LE BOSSU NE VOIT JAMAIS SA BOSSE !» « LES PYROMANES SE MOQUENT DES POMPIERS ? » QUEL MÉPRIS ET QUEL DÉSHONNEUR POUR LEURS AUTEURS !
Oncle Jean Michel Mbindi, depuis que tu es parti, là-haut où tu te trouves, tu te rends toujours compte que le Congo que tu as laissé, continue de convulser. Ton concept que tu as initié à la Conférence Nationale Souveraine, ô combien de fois sage et savant, est aujourd’hui plus que d’actualité. Rappelle-toi quand tu nous as appris : « Qu’on ne se mise jamais avec ses propres yeux » et tu as ajouté : « que jamais, le bossu ne voit sa bosse » Tu avais raison et depuis, j’ai longuement réfléchi à ce concept, aujourd’hui, je peux dire, bien cher oncle, que je suis plus que fier de toi.
En effet nous inspirant de la métaphore biblique, aujourd’hui au Congo, nous aimerions interpeller ceux de l’autre bord qui depuis samedi s’agitent comme s’ils ont gagné un scoop, et j’espère qu’ils font simplement semblant car les voir dire, ce qu’ils disent depuis samedi, je me demande comment des pyromanes, peuvent-ils toujours se moquer des pompiers ? Quel esprit maléfique les habitent ? C’eux qui ont métastasé notre pays sur nos valeurs cardinales et intrinsèques devraient d’abord se mirer pour apercevoir ce qu’ils ont commis comme dommage dans ce pays.
Ils ont formaté notre peuple, dépravé nos meurs, masturbé l’opinion nationale, mis dans la tourmente les bonnes âmes. Ils ont fait croire à notre peuple que le coup d’Etat est et reste la seule solution pour arriver au pouvoir. Qu’il faut tuer des congolais, escalader des montagnes et des montagnes des morts pour accéder au pouvoir.
Un Président dans un pays dit civilisé, est sensé être un vrai modèle de la morale et de la piété. Chez nous au Congo, c’est l’être le plus abominable, satanique et cupide qui soit. Nous vivons dans un Congo qui a perdu tous ses repères.
LES GENS DU PCT PARLENT DU GENERAL jean Marie Mokoko QUI AURAIT VOULU FAIRE UN COUP D’ETAT, EH ALORS !
Utilisons cette métaphore de Jésus pour mieux faire comprendre les choses. Il y a cette femme que les scribes et les pharisiens amenèrent devant Lui parce que surprise en pleine adultère, la loi leur ordonnant de la lapider mais Jésus leur répliqua :
« Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle » Jean chapitre 8 : 1-8. Sassou Nguesso qui se jette par terre, parce que d’autres congolais ont copié son idée, qu’il tient à garder à lui tout seul alors qu’elle est devenue de notoriété publique depuis. Aujourd’hui, il ne peut plus réclamer des droits d’auteur puisque ça fait plus de 38 ans depuis qu’il a inventé cette thèse. Elle est déjà tombée en désuétude.
SASSOU NGUESSO A-T-IL LE MONOPOLE DES COUPS D’ETAT AU CONGO ?
En quoi, est-ce que ce, sur quoi nous allons parler ici est étranger, en jurant sous serment sur tous les Dieux du Congo et devant la bible que le PCT et Sassou-Nguesso n’ont jamais de leur vie conspiré contre la République ; qu’ils n’ont jamais fait de coups d’Etat contre les Institutions de la République ? Ne se reprochent-ils de rien, qu’ils n’ont jamais péché, trahi la République, la Patrie ? Qu’ils n’ont jamais remis en cause la légalité constitutionnelle donc les Institutions de la République légalement établies et constituées ? Qu’en aucun cas ils n’ont versé le sang d’aucun congolais pour arriver au pouvoir ? Et que « s’ils mentent, que les congolais les pendent et leur coupe la langue et que tous nos morts les étranglent et leur sautent au collet ! »
Qu’ils disent en levant la main droite : « JE LE JURE !»
AUQUEL CAS LAISSEZ MON GENERAL JEAN MARIE MOKOKO LE VRAI PATRIOTE, TRANQUILLE ! ET ARRETEZ DE VOUS MASTURBER PUBLIQUEMENT. AUJOURD’HUI, IL S’AGIT DE PARLER DE L’ESSENTIEL.
SASSOU NGUESSO L’ETERNEL PUTSCHISTE INNE N’A PAS LE MONOPOLE DES COUPS D’ETAT DANS NOTRE PAYS. MAIS DE QUI SE PREND-IL A VOULOIR FUSTIGER CEUX QUI VEULENT LES SUIVRE DANS LEUR LOGIQUE ?
Ceux qui ont jusqu’à 47 ans d’âge ne connaissent que Sassou Nguesso et son funeste PCT, le Parti des bandits. Parce que les pauvres enfants ; on leur a imposé cette image triste et malheureuse, d’une Association des bandits (mais pas un Parti). Ces enfants n’ont jamais choisi ce Parti et son leader. Ils se le sont vus imposés de force, par des coups d’Etat restés légendaires et permanents.
GENESE SUR LES COUPS D’ETAT.
L’ARMEE DANS LA VIE POLITIQUE AU CONGO ET LA NAISSANCE DES COUPS D’ETAT AU CONGO ET EN AFRIQUE.
Les causes des coups d’Etat militaires en Afrique sont à rechercher dans la nature de l’Etat post-colonial. On les appelait à l’époque de leur naissance ; les facteurs structurels parce qu’ils découlaient de la faiblesse de l’intégration nationale dans la plupart des pays africains où la consécration formelle de l’Etat a précédé la construction de l’Etat-Nation. D’après ces derniers, il y a la caractéristique générale des systèmes politiques africains et la faiblesse de leur unité nationale, même par rapport aux autres Etats du Tiers-Monde. On a souvent sous-estimé la brièveté pourtant remarquable de la « colonisation utile », c’est-à-dire d’une occupation et d’une administration effective des Territoires coloniales. Celles-ci ayant rarement dépassé cinquante ans : de la première guerre mondiale à la loi-cadre en 1956, dans le cas français, alors que l’hagiographie nationale suggère une présence séculaire.
Le sentiment nationaliste avait caché à l’opinion publique des puissances coloniales la réalité d’une sous-administration qui déléguait aux autorités traditionnelles, sur le terrain, la pratique de la gestion, tandis que la rhétorique Jacobine proclamait sur le papier le principe de l’administration directe. Cette vision internationaliste de la situation colonialiste, si typique des Droits d’Outre-mer, jusque dans les années 50, contribua à cacher le fait pourtant criard et souligné par les ethnologues que le mince réseau administratif maintenu par les européens n’avait pas toujours remplacé les anciens systèmes politiques et leurs assises ethniques.
On a exagéré les phénomènes et de décomposition destruction africaine, parce que le progrès n’annule pas nécessairement la tradition comme dans le jeu. La tradition ne recule pas non plus là où le modernisme avance. A la faveur de ces considérations, on ne peut pas dire que les nouveaux Etats soient des sociétés intégrées au sens ethnocentrique. Ils sont plutôt, des sociétés déstructurées au sens anthropologique ou dualiste au sens économique, selon que l’on mettait l’accent sur l’aspect culturel ou économique dans l’évolution. C’est dans cette situation que se trouve l’une des CLES du rôle des militaires et des coups d4eata en Afrique, car dans un système politique intégré, la prise de décision relève d’un appareil politique formel : le gouvernement et d’un ensemble « informel » : la classe politique ; les partis, les groupes de pression etc…
LA JURISPRUDENCE SUR LES COUPS D’ETAT AU CONGO ?
-31 Juillet 1968 : LE COUP D’ETAT CONTRE LE PRESIDENT ALPHONSE MASSAMBA-DEBAT (1 er).
Quand ils arrivent et créent le PCT, qu’est ce qu’ils étaient ronflants ! D’abord ils nous ont dit qu’ils étaient venus pour réajuster la Révolution congolaise qui avait déraillé avec le Président Alphonse Massamba-Débat alors que politiquement et économiquement parlant, le Congo notre pays, n’avait jamais été aussi mieux géré que sous cet intègre, ce patriote convaincu dont la transparence dans la gestion est restée inique et légendaire.
Avec des budgets de 7 milliards en 1964 à 14 Milliards 990.000 en 1968, que des réalisations ! Le Congo notre pays pointait au 4 ème rang des pays les plus industrialisés d’Afrique. Premier pays le plus scolarisé d’Afrique, venant devant la France. La santé était gratuite. L’enseignement était gratuit. Tout était gratuit à l’Ecole. Même si tout le monde n’avait pas l’eau potable chez lui, il y avait des fontaines tous les deux cents mètres dans chaque quartier. Tous ces voleurs qui bombaient et qui criaient d’être venus pour réajuster une certaine Révolution qui avait déraillé, n’étaient finalement venus que pour tout tuer. Tout : notre système d’enseignement qui nous avait tous formé et dont est issu tous ces bourreaux et voyous à la tête de notre Etat, sont tous issus de cette période. Ils sortent tous de l’Ecole publique. Aujourd’hui, ils ont assassiné cette Ecole qui nous tous formés comme ils pillent tout le patrimoine congolais. Et malgré cet élogieux bilan, ils ne se sont pas gênés de faire le COUP D’ETAT AU Président le plus entreprenant que notre pays ait eu et connu.
Semble-t-il qu’ils étaient venus pour réajuster la révolution, ces voyous sont venus tout remettre en cause : notre existence entant que nation. Ils sont venus tout désaxer. Plus rien n’est depuis leur arrivée aux affaires de la République, quelques mois seulement après, c’est comme si le Congo venait de connaître le passage d’un typhon, un tsunami, un cyclone. Ils avaient tout volé, gaspillé et anéanti en un temps record.
-18 mars 1977 : LE COUP D’ETAT CONTRE LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI PAR SASSOU NGUESSO ET LE PCT. ( 2 ème).
Ici la France recherche un véritable pantin pour remplacer un vrai patriote, un nationaliste convaincu et un républicain : le Président Marien Ngouabi. Elle va le trouver sur son robot qu’il engraissait et initiait depuis longtemps. Tout commence au moment où le Président Marien Ngouabi va prononcer un discours qui lui sera fatal : « Cette France qui fait le fier, si nos parents n’étaient pas allés la sauver, elle ne serait jamais restée debout, elle serait ensevelie sous les gravas des bombes allemandes ». Il avait juste prononcé ces quelques phrases qui sentaient l’amateurisme politique et diplomatique pour que le Président : « qui ne voulait pas que notre Pétrole ne soit jamais exploité par l’impérialiste ; pouvait rester là où il était, il n’allait pas pourrir » ; une autre phrase fatale pour lesquelles, la France n’attendait que ça pour montrer ses griffes et sans autre forme de droit, lui faire le coup d’Etat très, très meurtrier qui l’emporta et avec lui, trois jours après : un Cardinal, le seul que nous ayons eu, EMILE BIAYENDA. Même s’il n’a jamais eu des couilles pour reconnaitre ses crimes, ses forfaits, nous savons et sans même s’interroger que nous étions devant l’œuvre de Monsieur Sassou Nguesso. Ce 18 mars 1977 ce que tout le peuple redoutait arriva. Et tous les témoignages en notre disposition le désignent sans anicroche. Ils ont tous concordants. Placés dans un coffre, ils attendent d’être présentés à charge contre celui à qui, le coup d’Etat a profité.
1°- Les documents laissés par le capitaine Barthélémy KIKADIDI en disent long. Je dis bien tout ; sur toutes les rencontres qu’il avait eues avec Sassou Nguesso avant qu’on alla l’assassiner ce 13 février 1978. (Toutes les façons, ses obsèques presque officielles avec musique militaire au Panthéon du Congo, prouve que les congolais avaient été bernés. Que le 18 mars 1977 dès 9 heures, il avait été reçu par un certain Sassou Nguesso à l’Etat Major Général où il était Ministre de la défense et lui recommanda vivement d’aller au Rendez-vous qui était prévu avec le Président Marien Ngouabi à la résidence du Chef de l’Etat Major, que Sassou Nguesso Ministre de la défense, s’engageait à assurer sa protection.
-2ème Mon ami et Frère Pierre Anga, ancien membre du CMP, n’était pas passé par quatre chemins. Il eut le soin, sachant qui pouvait lui arriver, de m’envoyer à moi, tout sur les préparatifs, l’exécution, et le malentendu qui a suivi par la suite entre eux au CMP, comment les Kouyous étaient considérés par la suite.
-3 ème Le capitaine Okongo Nicolas ancien Membre du CMP, sachant lui aussi que son sort était scellé pour avoir presque tout dénoncé à la Conférence Nationale Souveraine, se sentant traqué, il ne voulut pas partir avec tous son secret. Son Frère d’armes Pierre Anga, lui ayant tout dit. Lui aussi avait tout dit dans des documents qui vieillissent dans un compte bancaire.
4ème Le GENERAL YVES MOTANDO. Un Frère et un ami de lutte (paix à son âme). Il avait été le premier à être cité dans ce coup d’Etat, car Chef de la Garde présidentielle en remplacement du Lieutenant Pierre Anga devenu insolent et incontrôlable par le Président Marien Ngouabi. Il a tout dit soyez en rassurés messieurs les Conspirateurs, il a tout laissé pour la prospérité, pour l’histoire. Il avait tout amené ici et remis à mains propres et lui ai dit : « Merci mon Général !» Parce que lui aussi était très mal vu au Palais de Yoro malgré qu’il avait été Conseillé et comme il aimait me dire : « il était là-bas pour la bonne forme car ces rapports n’étaient jamais lus par celui qu’il était sensé conseillé.
D’ailleurs la question que tout juste même le plus élémentaire de juriste se serait posée est : « A QUI A PROFITE CE CRIME, CE COUP D’ETAT ?
-5 février 1979
C’était le moment de reprendre son pouvoir qu’il avait expressément prêté au Général Joachim Yhombi Opango, le temps de faire dissiper la fumée qui empestait l’atmosphère après ces crimes. Il y a des gens qui ne savent jamais assumer leurs responsabilités, qui les fuient. Ils n’ont pas de courage requis pour ce faire. Le Président Jacques Joachim Yhombi n’avait aucune idée des dessous de table. Il ne s’était jamais rendu compte, que le monstre en lui prêtant son fauteuil, ce n’est pas parce qu’il l’aimait ou parce qu’il était le plus gradé de tous (l’autre s’en foutait de ses grades), mais tout simplement parce qu’il avait juste peur de s’installer immédiatement dans son canapé de la présidence, puisque ça couinait de partout et lui, n’aime pas ça. Du coup, il avait eu peur des reflets qui lui renvoyaient la société et les âmes de ceux qu’il avait fait voyager.
C’est ainsi, fermant ses yeux et malgré tout, le 5 Février 1979, il reprit son fauteuil et drôlement et curieusement, celui qui le lui réchauffa, fut considéré comme un malpropre et pour mieux le remercier, il l’envoya 11 ans durant dans le niouf le temps d’aller apprendre la grammaire régionale du Congo.
Et dès qu’il arriva, ce dont pourquoi il avait assassiné le Président Marien Ngouabi tomba à pic. LE PETROLE. Celui-ci commençait à couler. Le budget du Congo passa pour la première fois de 52 Milliards à 120 Milliards puis 200 -340 ; 400 ; jusqu’à atteindre la vitesse de croisière de 900.Milliards. Mais malgré ce bon spectaculaire, rien ne fit ériger au Congo sinon que les gens volaient à volonté.
-5 Juin 1997
Je sais de bout en bout comment avait été conçu ce coup d’Etat. Comment mon meilleur ami, le Colonel BOB DENARD est venu m’en parler de bout en bout, quand il voulut faire ce qu’il avait fait aux Comores avec le Président Abdallah. Et le Président Omar Bongo Ondimba pour qui, j’étais devenu le meilleur ami jusqu’au point de me confier tous les dossiers sur les « BIENS MAL ACQUIS » m’avait tout dit, de bout en bout comment sa femme, fille Sassou s’était investi au nom de son Père. J’ai eu droit à beaucoup de délation sur ce COUP D’ETAT car on avait conclu un marché.
Sans parler des acteurs nationaux, qui n’arrêtaient pas de m’apporter les éléments du dossier ; époustouflant notamment mon Frère Yves MOTANDO comme je l’ai écrit plus haut (paix à son âme et que la paix du Seigneur l’habite !).
DE QUOI PARLE-T-ON AU CONGO, DE COUP D’ETAT ? QUI EST PUTSCHISTE, CELUI QUI NE VIT QUE CA, OU CELUI QUI ESSAIE DE L’IMITER ?
Sommes-nous là devant une perfidie, une fadaise ou devant des pervers enchantés, des malades qui ne savent pas de quoi parlent-ils ?
-« Quand un peuple végète dans la misère, il s’allie à n’importe quel Diable pourvu qu’il trouve ce qu’il recherche » Président Yasser ARFAT.
-« A force de marcher avec des chaussures trop serrées, on se blesse » Proverbe ;
-« Quand tu danses avec un aveugle sur la piste et qui a toujours tendance à vouloir s’approprier de toute la piste, il faut lui marcher sur ses pieds, lui écraser même ses orteils pour qu’il comprenne qu’il n’est pas seul sur cette piste dont il a toujours tendance à s’en approprier » Président Ahmed Sékou Touré.
SOMMES-NOUS ICI DEVANT UNE INVENTION, UNE MARQUE DÉPOSÉE DONT L’AUTEUR DÉTIENDRAIT SEUL UNE LICENCE LUI OCTROYANT UNE SPÉCIFICITÉ, UN MONOPOLE OU UNE EXCLUSIVITÉ ?
Je suis fier de dire que je suis un homme des relations.
Le 12 Août 1979 me retrouvant à Kinshasa à la recherche des solutions sur mon pays, je suis allé voir l’Ambassadeur des Etats Unis d’Amérique pour leur demander de nous aider à chasser, les bandits qui étaient au Pouvoir chez moi. Quand celui-ci me regarda, il me demanda si nous étions un Parti, une Association ou si j’étais seul. A ma réponse, comme quoi j’étais seul, il me demanda d’aller mieux mûrir ma question et aller les revoir par la suite.
Pendant cette même période, un frère m’avait amené voir celui qui était le Directeur du « Centre National de Documentation » l’actuel Président du Sénat KENGUE WA DONDO, je sais ce que nous nous étions dits.
Si nous avons eu les Conférences Nationales en Afrique, il ne faut jamais croire que c’était la BAULLE du Président François Mitterrand. Car celle-ci n’avait eu lieu qu’en fin juin1990, or à cette date là, la plupart des Etats africains étaient déjà multipartistes. Comme pour l’autonomie au sortir de la deuxième guerre mondiale. Les français avaient dit à l’époque que ce sont eux qui l’avaient octroyée gentiment aux africains.
C’est faux. Nos parents s’étant bien distingués pendant la guerre au front (Rappelez-vous que ce sont les Forces parties de Brazzaville en remontant le Tchad, le Mali, la Libye qui ont libéré l’Alsace et la Lorraine et les premières Forces qui rentrèrent et montèrent les premières, les Champs Elysées furent entre autres celles composées d’africains du Colonel LECLERC.
Donc dès 1946, les rues de Paris commençaient à s’agiter. Nos parents pensaient que le moment était venu de leur reconnaitre cette admirable et fulgurante démonstration de forces des forces africaines au Front. L’agitation était telle que ça commençait à perturber un pays qui sortait à peine d’une guerre fratricide. Alors le Ministre de l’Intérieur Gaston DEFFERRE sauta vite sur l’occasion et mis en place la LOI CADRE, Loi qui a permis d’encadrer ces manifestations et s’approprier de ces POUVOIRS. La France voulut se réapproprier les mêmes pouvoirs pour la Conférence Nationale Souveraine dont on a dit qu’elle était issue de la Baule.
Ce qui est sûr et certain, peuple congolais, c’est nous les congolais qui sommes à l’origine de cet évènement même si c’est le Bénin qui avait ouvert les hostilités. Car c’est nous les congolais qui étions dans les rues de Paris. C’est votre Serviteur, Maître Tony Gilbert MOUDILOU qui sera à l’origine de cette affaire avec son Association : LA COORDINATION DES ELEVES ET ETUDIANTS CONGOLAIS DE France.
Oui j’avais été reçu par le Président François Mitterrand sans lequel rien ne serait possible. Il savait ce que j’avais fait pour lui, ce n’était que le retour de l’ascenseur. Que ce soit en 1981 qu’en 1988 pour son élection et sa réélection, MOUDILOU opéra des choses que les socialistes ont gardées dans leur mémoire.
QUEL PATRIOTE, REPUBLICAIN N’A PAS REVE MEME FAIT UN CAUCHEMAR DE VOIR SASSOU NGUESSO PARTIR ?
Moi en tout cas, je ne rêve que ça, et je vis que ça et je ne respire que ce départ qui libérerait tous les esprits ainsi que notre pays. Si les gens doivent jouer au yoyo, MOUDILOU fils de DIAMBAKA Paul et de NKATOUKOU Henriette ne joue pas avec les mots. Moi je ne veux pas le monsieur au pouvoir, pas parce que je ne l’aime pas mais tout simplement, parce qu’il ne sait pas ce que c’est qu’un Président de la République doit faire et il est le pire de Président que notre pays ait eu, pourtant au moment où notre pays s’est plus enrichi, donc à un moment où les congolais seraient très heureux. Cependant lui, nous offre les larmes et le sang. Pour cela, désolé, mais il doit partir.
CONCLUSION :
Il faut que le peuple congolais aide Sassou Nguesso et son PCT à apercevoir leur bosse et simplement leur dire qu’au lieu de s’acharner contre le GENERAL Jean Michel MOKOKO, qui n’a voulu faire que son travail, à savoir libérer son pays des mains des voyous, des voleurs et ceux qui ont travesti notre société, c’est un digne patriote. Je suis fier de l’avoir comme ami et surtout comme futur Président de notre chère République.
A Paris le 15 février 2016
Le Premier Ministre du Gouvernement congolais en exil,
Maître Tony Gilbert MOUDILOU.