(Français) L’hécatombe des routes : trois responsables, JJ BOUYA, Oscar OTOKA et Jean Didier ELONGO

ENCORE DES VOMISSURES DU JOURNALISANT SMITH ELIE

Dans sa énième vomissure, publiée le 20 janvier 2018, intitulée «Comment BOUYA a ruiné les chances du Congo avec la Chine », le tristement motivé journalisant Smith Elie, a, une fois de plus, dans son élan effréné, mais conscient de la désinformation répandue, tapé à côté de la plaque.

En effet, son obstination consciemment établie, à publier à tout prix le mensonge l’aliénant pourtant, par ailleurs expression avérée de sa mauvaise foi, justifie malheureusement son obstination à méconnaître l’issue heureuse de la coopération Sino-congolaise.

Smith Elie, toujours dans le sillon de ses regrets éternels sur le Congo, pays qui l’a toutefois encensé, ne parle nullement des acquis d’une coopération qui transfigure à grands pas le Congo (qu’il vantait de son temps de miel à Brazzaville).

La modernisation du réseau de transport multimodal par la jonction des villes de Brazzaville et Pointe-Noire, les routes d’intégration sous régionale aussi, la construction des aéroports et ports fluviaux, l’accroissement significatif de la capacité de la production de l’énergie électrique, l’extension de la fibre optique à l’échelle de la République…., sont autant d’infrastructures structurantes qui augurent un avenir radieux aux congolais qui, par ailleurs, savourent déjà les bienfaits.

L’ignorant et multi-adultérien ayant causé des dégâts sociaux au Congo, Smith Elie, oublie crânement, que la coopération Sino-congolaise, engage deux Etats, non pas l’Etat chinois et le ministre BOUYA. Autrement dit, les engagements réciproques, le sont entre les deux gouvernements, suivant un procédé formellement établi.
Ceci étant, le remboursement de la dette du Congo vis-à-vis de la Chine, l’est via les finances congolaises, suivant un procédé établi de commun accord avec le créancier. Omettre cruellement cette notion élémentaire de gestion des relations financières internationales, c’est tout simplement stupide et honteux.

De même, l’inconstant Smith Elie, qui publia malhonnêtement dans sa précédente livraison que la CRBC était une société appartenant à monsieur BOUYA, s’enfonce dans la calomnie en mélangeant les genres et en affirmant des affabulations grossières sur ce dernier et ses collaborateurs. De fait, il trahit copieusement le métier de Pierre Albert en y méprisant les normes déontologiques. Son engagement à la cause des politiques en quête d’identité, est sans issue, on le sait.

Le mensonge étant devenu sa marque de fabrique, il insigne qu’Exim Bank a délocalisé pour s’implanter à Dakar. Grossier mensonge smithien en version atypique.

Même l’achevement, à côté du complexe scolaire Javouet (ex Lycée LUMUMBA), le siège Afrique de la BSCA (Banque Sino-congolaise pour l’Afrique) signe de l’excellence de la coopération financière entre la Chine et le Congo ne dit rien à Elie Smith qui ne cherche que des erreurs sur cette coopération.

En outre, le projet l’édification de la Zone économique spéciale de Pointe-Noire, dont les études sont désormais disponibles, suit son cours. L’intérêt pour plusieurs entreprises chinoises qui multiplient les voyages à Brazzaville pour s’annoncer, l’atteste tant.

L’opinion comprend désormais que les sources déguisées de Smith le dénigrent et que son acharnement sur le pouvoir de Brazzaville est un combat perdu d’avance.

L’opinion devenue interrogatrice sur le silence démissionnaire de sieur Smith Elie à propos de l’actualité combien brulante de son pays, comprend que ce dernier qui ne reviendra plus, malgré ses rêves avérés, dans ce pays de gloire, c’est-à-dire le Congo, est honteusement engagé.

Cette attitude d’homme affamé qui ose discréditer, contre sa conscience, ceux auprès de qui il s’alimentait, est une preuve de malhonnêteté, de bassesse, de manque de personnalité dans ce métier noble. Le journalisme.
Laquelle attitude n’exclue aucunement, si elle le désire, une action en justice de la part de la société CRBC.

Smith Elie nous promet le futur épisode de ces vomissures sur le cercueil qu’on aurait trouvé dans le bureau du ministre BOUYA. Il aurait mieux fait de commencer de parler de l’ombre et du cercueil d’un monsieur qui le poursuivent depuis que celui-ci est mort de suite des aventures d’Élie Smith avec sa femme.