David Londi a écrit ceci ” Chers compatriotes, la dictature n’est forte que de notre faiblesse à nous opposer à des situations comme celles-ci : des hôpitaux insalubres, des écoles surpeuplées, des citoyens dans une pénurie totale dans tous les domaines.
Pourtant des solutions existent quand on arrive dans une situation où tous les droits fondamentaux sont menacés ou bafoués et surtout quand on n’a plus rien à perdre.
La désobéissance civile (villes mortes, refus de payer les taxes, etc.) est la solution pour contourner la répression brutale de Sassou.
Ces forces de répression ne feront pas le tour des parcelles pour aller vous chercher. Elles n’iront pas non plus chez vous pour aller chercher l’argent des taxes.
Sassou ne s’est préparé que pour la violence. Il a dépensé des fortunes, plus que le budget du pays pour cela, alors l’espérance d’un coup d’État par la violence et les manifestations des rues ne peuvent pas être la solution.
Suivons les mots d’ordre de désobéissance civile pour montrer à Sassou notre force qu’il ne peut combattre avec ses armes. Qu’avons-nous à perdre ? Le pouvoir d’achat ? Les salaires ne sont pas payés. Les services de santé ?
Les hôpitaux sont insalubres, on en ressort plus malade que l’on y est entré ? L’éducation ? Les universités ne forment plus que des chômeurs ? La voirie ?
Des pans entiers de la voie publique s’effondrent. L’électricité ou l’eau ? Des services intermittents et mortifères. Alors qu’avons-nous à perdre ?” http://congo-objectif2050.over-blog.com/2018/02/comment-le-dictateur-sassou-nguesso-tue-t-il-a-petit-feu-les-congolais-et-pourquoi-faire.html