ADRESSE: ABATTRE LA DICTATURE, REDRESSER L’ÉTAT, SAUVER SASSOU II DE L’EXTINCTION, TOME I,
en pages: 22-46, publié aux Éditions Édilivre…
Faites une bonne lecture; et découvrez en fin de la portion de votre lecture la prophétie de l’échec du président François Hollande, à cause de s mollesse dans les questions haïtiennes et africaines. Souvenez-vous que l’ouvrage est publié en 2015. Procurez-vous-en un exemplaire; et regardez vous-mêmes en dernière page. Et vous saurez ce qu’il en est.
1.1 : Mais quelqu’un aime-t-il plus le Congo que : – de un : l’Abbé Fulbert Youlou qui le dédia à une certaine Marie, la Madone, – et de deux : Dénis Sassou-N’Guesso qui le dédia à un certain ‘Dieu’ ? Le faux recours à Dieu : 9 : Deux hommes politiques présidentiels dédièrent notre Nation congolaise à Dieu. Même si les gens seraient surpris de constater que, ce ne fut pas le président Dénis Sassou N’Guesso, qui aura été le premier à réaliser cette expérience. Et ce qui leur aura poussé à accomplir un tel geste, pas mieux connu des humains, en général, et des congolais, en particulier ; mais en tout cas connu de Dieu, des anges saints, ainsi que les anges impies que Satan patronne, demeure jusqu’à aujourd’hui, un mystère, scellé dans le silence de la disparition du premier président congolais, l’ecclésiaste Fulbert Youlou, mais aussi un secret inavoué, jusqu’ici, du cœur du président en exercice, Dénis Sassou N’Guesso… 10 : Alors, quitte aux analystes, journalistes, observateurs, magnats des sciences des relations sociales, philosophes, de chercher à nous dénouer cet énigme, parce 23qu’aux jours d’aujourd’hui, avec l’ébullition des cœurs des congolais, il serait important d’en avoir de l’éclaircissement. Car nous vivons un tournant principal, disons-le qui passera ou qui cassera, en forgeant un avenir de nos jeunesses qui en dépende largement. Or, plus que jamais, les jeunes congolais ont faim et soif de connaître leur véritable histoire… Nous la leur devons, n’est-ce pas ? Parce que je puis dire que l’une des causes qui aura enflammée la haine des congolais lors de la Guerre civile congolaise, de 1993, 1997, et 1998 aura été fortement la manipulation historique de notre histoire dont sont coupables les leaders politiques Pascal Lissouba, Bernard Kolelas et Dénis Sassou N’Guesso… 11 : Je sais que plusieurs congolais n’ont jamais fouillés dans ce sens-là ; mais, maintenant même, il est important de le dire ouvertement, pour que personne ne puisse une fois de plus, prendre en otage les jeunesses congolaises des 4 coins du pays, et celles de nos grandes villes… pour les embrigader dans des fins politiciennes meurtrières… Jeunes congolais, n’acceptez plus les cantiques guerriers des bruits des bottes, que nous sommes en train d’ouïr. 12 : Pas plus tard qu’en la nuit du 10 juin 2015, je faisais un songe dans lequel des soldats de notre armée, et des officiers étaient estomaqués, en voyant les avions et hélicoptères transportant les armes de guerre, en se posant à l’aéroport de Maya-Maya, en se disant : Mais pourquoi cette extrême militarisation du pays ? Et c’est contre qui liguera-t-il toutes ces armes ? Exterminera-t-il tous les congolais, cette fois-ci ?… Les hélicoptères étaient tellement pleins à craquer que l’on pouvait entrevoir les chargements d’armes contenus dans ces engins de la 24mort… Et les militaires qui étaient responsabilisés pour assurer la discrétion du transport de ces armes, en provenance de la direction de Kinshasa, étaient très embarrassés, du fait qu’ils ne pouvaient pas mieux assurer la circonspection, du fait que les congolais étaient mis au courant de ces manœuvres militaires, présumées secrètes, mais qui ne l’étaient plus… Je suis sortis très perplexe de mes visions nocturnes. 13 : Ne vous laissez pas corrompre par des promesses d’embauche dans l’Armée, la Gendarmerie, la Police nationale et les services secrets ; car s’il faille bien que vous soyez embauchés, c’est normal, mais que l’on ne vous prenne pas comme des instruments du massacre des populations. L’Etat appartient à nous tous. Même si nous ne l’assurons pas, mais c’est vers cela que nous devrions nous battre pour parvenir, dans cette bataille révolutionnaire que nous menons. 14 : Le principe interne, l’engagement silencieux, et la vocation inavouée qui auront emmené Monsieur le président Dénis Sassou N’Guesso à remettre le Congo entre les mains de ‘Dieu’ n’auront-ils pas fait réfléchir les congolais ? Est-ce que ce sont les remords des actions qu’il aura commises, comme celles dont nous parlerons dans son parcours politique qui auront poussé à agir ainsi ? Cette chose aura été faite, mais spirituellement quelles sont les incidences que cela a dans la Nation ? Il y a-t-il quelqu’un qui soit intelligent et qui analyse ce qui se passe spirituellement dans notre Nation ? Voilà les questions que nous devrions nous poser, et trouver des réponses… Si ce sont les accusations de sa propre conscience, par rapport à ce qu’il aura commis comme méfaits, contre certaines personnes, et à l’encontre de la 25population, qui lui auraient poussées à réagir comme cela, n’est-ce pas qu’il y a mieux à faire… ? Car, si cela fut le cas, il y a des véritables méthodes évangéliques qui doivent être entreprises, et qui lavent l’être humain, qui qu’il soit, de cette mauvaise conscience, et trouver la paix avec Dieu… Nous sommes là pour apporter le conseil divin à n’importe qui, qui tienne à faire la paix avec Dieu… C’est pourquoi nous voulons nous faire entendre dans la véritable activité spirituelle, dont les congolais ont vraiment besoin, pour leur vrai salut et rédemption. Cela fait aussi partie de ce combat que nous menons… Et le tout est entrepris par la grâce de Dieu. Que notre Dieu nous vienne en aide comme promis. 15 : Car, lorsqu’il fit ce vœu solennel, l’émotion explosa, et le sentiment pris la place dans le cœur du congolais ; mais dans les affaires de Dieu, l’on ne marche pas avec cela. On marche selon la volonté de Dieu. Or, quand même, nous en avions tous dit quelque chose, juste lors de cette proclamation ; qu’est-ce que cela aura-t-il produit ? Rien du tout. Mais en tout cas, s’il faudrait en évaluer les retombées, surtout, parmi les gens des églises, des religions, des spiritualités, des cultes, aucun impact n’aura été manifesté, dans tout ce que nous aurions professé. Et, sachant que nous pouvons aller loin, dans notre discernement, en disant que, ne mettant pas de côté les sectes, l’occultisme, l’obscurantisme, la philosophie, la sociologie, la psychologie et la psychanalyse, et autres sciences des relations humaines, je ne pense pas qu’objectivement, que ces derniers auraient fait quelque chose de rentable… Parce qu’en effet, rien de cette déclaration n’aura produit rien qui soit…, qui aurait fait évoluer les choses dans le bon sens… 2616 : Comme dans toutes les circonstances d’ailleurs, puisque ces derniers pensent que la politique n’a rien à voir avec leur droit et devoir, à eux…, hommes de ce domaine sacré-là, ils n’en firent rien, et nous en pâtissons aujourd’hui. Si nous n’en avions éprouvé aucune attention sérieuse, là encore, nous devrions nous retrouver tous sur le plancher. Car nous ne savons même pas, quand saisir un événement en plein vol, pour en faire une réalité profitable pour plusieurs. Or, nous ne devrions pas nous attendre qu’on nous fasse tout, et que nous recevions les dividendes comme des enfants qui ne savent rien faire. Comme nous l’avions toujours pensé. 17 : C’est le reproche que j’aurai toujours fait auprès de mes paires. Mais ces derniers avaient toujours reconnus comme étant prétentieux mes actions envers tous. Mais, en réalité, un homme de Dieu, un vrai, a toujours fait preuve d’une vision d’ensemble, à essence futuriste, pour sa contrée dans laquelle Dieu l’a établi. Et il doive être une source de bénédiction pour plusieurs. C’est la Doctrine… Car c’est cela que produit la manifestation de l’Esprit prophétique qui est le Témoignage de Jésus-Christ. 18 : En réalité, c’est maintenant même que l’on devrait voir émerger les talents de Dieu. C’est en cette période de crise que devrait se manifester l’amour de Dieu que détiennent les hommes de Dieu envers leurs populations, sans distinction aucune, – s’il y a vraiment des hommes de Dieu au Congo… ; bon, disons-le, au cas où on ne retrouverait que des hommes d’églises –. Et séance tenante, je présente ma participation à l’édification d’une Nation congolaise, qui devrait se fortifier, en surmontant ses peurs, ses craintes viscérales, sa langueur, sa couardise, son hantise, et se booster soi-même. C’est un devoir. Nous 27savons tous que le profilage mondial semble nous être favorable actuellement, mais il y a des gens qui travaillèrent longtemps, et qui trouvent que l’occasion est favorable pour s’exprimer, sur ce qui se passe Chez-nous… Ceux-là qui n’agissent pas, par rapport au caractère propice des circonstances actuelles, que nous sommes en train de vivre… Je parle de ceux-là, qui, se différencieront dans ce qu’ils vont nous proposer, par rapport à certains apports bâclés des arrivistes du pouvoir… 19 : Et d’avance, j’annonce les couleurs que, si nous sommes si nombreux, d’entre les près de 5 Millions de congolais, qui nous disions, comme nous le faisons encore aujourd’hui, en cette circonstance mémorable, qu’il n’y a que Dieu qui puisse sauver le Congo, et l’Afrique, c’est justement pour plusieurs raisons. Mais la principale c’est que le congolais, ou l’africain subsaharien devrait revenir à la Bible et au Dieu de la Bible, qui Eux, le serviront, non seulement avec Sa Parole de Dieu livresque, mais surtout avec la Parole Révélée de Dieu, qui S’accompagne toujours de la force toute-puissante spirituelle, qui transforme les circonstances, car Dieu est le chef des temps et des circonstances… 20 : Parce que, pour résister, par exemple, à la corruption et à l’achat des consciences des vaillants, qui, au départ, partent avec la détermination de changer les choses, il faille être nanti de l’Esprit de Dieu. Sinon que, ceux qui braillent aujourd’hui, s’éteindront demain, lorsque l’heure du coup de sifflet final retentira. Ils prendront les biens mal acquis et trahiront la Révolution que nous menons, pour changer les choses, au Congo, et en Afrique. Et, ils deviendront les défenseurs des oligarques-kleptocrates. Il y a plusieurs raisons qui fassent 28que nous devrions être renforcés par la force et la puissance de Dieu, dans notre Combat, en cette période actuelle. Nous devrions marcher au nom du Seigneur Jésus-Christ, qui Seul, puisse nous secourir. Et pour le faire, il faille bien Le connaître. C’est pourquoi, l’expérimentation de Sa grâce est d’une importance capitale pour ceux qui combattent actuellement. 21 : Parce que nous avons besoin de la force et de la puissance du Bien, pour combattre ceux-là qui, hier, assassinèrent vivant, des prélats comme le cardinal Emile Biayenda, qui fut enterré vivant au Cimetière public de la Tsiémé, alors qu’un potentat politique, le Khani, était en train de réaliser des incantations occultes, dixit, le défunt évêque d’Owando, le monseigneur Ernest Kombo, cité par : – Frère Hervé Zebrowsky, dans les Mémoires de Frère Hervé Zebrowsky, publiés par : ▪Source :
http://www.congo-liberty.com
1.2 : Un récit étrange sur la mort du cardinal Emile Biayenda, tel que rapporté par le Frère Hervé Zebrowsky : 22 : Nous avons donc ce récit que nous devrions mettre en considération, pour faire comprendre aux gens que, ce n’est pas que nous devrions avoir une fois de plus, à mouvoir sous une forme de regain de peur, de psychose aveugle, pour combattre le Combat que nous devrions mener ; mais, il est important de reconnaître, au moins que seuls les personnes qui se connaissent en matière de spiritualité, et qui ont la grâce de faire ce Combat, doivent le faire. Parce qu’ils en sont habilités. Mais si des gens ne 29connaissent même pas l’appui de Dieu, comment pourront-ils combattre ceux qui, de nuit et de jour, mettent toutes les armes en leur faveur ? Celles de la Nature et du Surnaturel ? Imprégnons-nous, par exemple dans ce récit suivant : 23 : “Lorsque je remis ce rapport à Ernest Kombo ce soir là rue de Grenelle, je lui demandais des explications à propos de cet étrange cliché. Pourquoi ce diplomate du Vatican montrait-il au public ce vêtement tel une relique ? Quel en était le sens ? De bonne humeur ce soir là, il me répondit avec sourire : 24 : “– Il s’agit de la soutane miraculeuse que portait le cardinal Biayenda le jour de son assassinat. 25 : “– Vois-tu Hervé, comme chacun le sait et comme l’enquête officielle l’a établi au Congo, le congolais Biayenda a été assassiné d’une rafale de mitrailleuse par l’adjudant Mamoye sur la montagne appelée aujourd’hui Montagne du Cardinal. 26 : “Or, comme tu peux le voir, il n’y a aucune trace de balle sur cette soutane du cardinal. Voilà le miracle. “– S’agit-il d’un vrai miracle ? » Demandais-je stupéfait. 27 : “– Tu es vraiment stupide Hervé, comment veux-tu que cela soit possible ? 28 : “– Pourquoi y aurait-il eu un tel miracle ? Crois tu que le Christ lui-même ait effacé les plaies qui lui furent infligées sur la croix ? » 29 : Je mesurais la consternante naïveté d’enfant de chœur que j’eus pendant un instant. 30 : “– Mais alors, comment le cardinal a-t-il été assassiné ? » 3031 : “Ernest Kombo ne me répondit pas. Son sourire s’était éteint. 32 : “J’insistais : 33 : “ « Où a-t-on retrouvé son corps ? » 34 : “Ernest Kombo marqua un silence avant de me répondre à voix basse comme dans un souffle : 35 : “– On a retrouvé son corps deux jours après, enterré au grand cimetière de Brazzaville, le cimetière de Ntchémé Talangaï. 36 : “– Celui qui se trouve sur la route qui va vers le Nord ? 37 : – Oui, à cet endroit même » 38 : “Je voyais bien ce « grand cimetière sous la lune », devant lequel j’étais passé et qui m’avait impressionné lors de mon retour de nuit à Brazzaville. 39 : “– Mais alors, si il n’y avait pas de trace de balle dans la soutane et si on l’a retrouvé dans cette tombe, c’est qu’il a été enterré vivant ? » 40 : “Ernest Kombo ne me répondit pas. 41 : “ « Pourquoi ont-ils tué le cardinal, insistais-je ? » 42 : “Nkombo restait silencieux, je sentais qu’il allait s’enfoncer dans les profondeurs de sa forêt congolaise, me laissant seul sur la route, au bord de ce cimetière, avec mes questions. Pour la première fois depuis le début de notre relation, mon ton se fit plus ferme, plus insistant, presque brutal. 43 : “– Ah non, Monseigneur, vous n’avez pas le droit de ne pas m’éclairer plus. Je suis votre fils fidèle, à votre service depuis quatre ans. J’en ai marre que vous me parliez nègre, je ne suis pas nègre, je suis blanc et je ne comprends pas tout ce que vous voulez me signifier. Vous savez parler 31blanc, alors, s’il vous plaît, parlez moi blanc. Qu’est-il arrivé au cardinal Biayenda, que s’est-il passé cette nuit là ? » 44 : “Nkombo parut surpris par mon ton. Il plongea son regard dans le mien, j’avais stoppé sa fuite. Il me répondit doucement, affectueusement comme un père craignant d’avoir blessé injustement son enfant. 45 : “– Ils ont tué Biayenda parce que c’était un saint. Un homme qui portait l’évangile, un homme qui était l’évangile. Un homme qui transformait les cœurs les plus endurcis. Vois-tu, Hervé, Biayenda a réussi là où moi-même j’ai échoué. En 1977, il avait réussi à toucher le cœur de deux de nos dirigeants d’alors : le président Marien Ngouabi et l’ancien président Massamba Débat. Il avait convaincu en profondeur ces deux chefs du Congo, profondément choqués et perdus par l’échec total des 17 premières années d’indépendance, de se convertir vraiment à Christ. Il les avait convaincus d’abandonner la voie du communisme et du matérialisme dans laquelle s’était engagé le Congo. « Seul Jésus pourra vous permettre de sauver notre peuple » leur avait-il dit avec toute sa foi. Sous le regard du cardinal, Ngouabi et Massamba Débat définirent secrètement une nouvelle constitution qui entendait sortir le Congo de l’impasse du communisme. Le cardinal avait béni ce projet de constitution. Mais au Congo le malin est puissant et il veille. Un homme, le plus fort d’entre nous entretient des relations avec ces puissances du mal. Cet homme fut informé du projet. Il s’assura du soutien des forces cubaines alors présentes au Congo communiste pour tuer le projet. C’est ainsi que Marien Ngouabi et Massamba Débat furent assassinés par quelques congolais voués aux forces de la mort et du cardinal. Le 17 mars, en fin de matinée, Marien Ngouabi fut rejoint dans 32l’hôtel où il se trouvait, par une dizaine de militaires, tous sous l’emprise du grand féticheur du Khani. Ils blessèrent à mort le président. Défiguré, mâchoire fracassée, il fut ramené à sa résidence de la présidence de la République, où sa propre garde cubaine l’acheva. On ne sait pas comment fut assassiné Massamba Débat, dont le corps ne fut jamais retrouvé. 46 : “– Pourriez-vous être plus précis Monseigneur ? Qui sont ces forces du mal ? 47 : “– Ces forces sont celles de la mort. Dans certains de nos rituels africains, des hommes appellent ces forces du mal et de la mort. Et tu peux me croire Hervé, ces forces du mal et de la mort. Et tu peux me croire Hervé, ces forces sont celles du Diable, et elles répondent. 48 : “– Il suffit de croire au mal ? Il faut ardemment désirer le mal et la mort. Je n’ai jamais vu Dieu, personne n’a jamais vu Dieu, mais vois-tu, je désire Dieu de toutes mes forces, ce Dieu incarné en Jésus. Le mal, Hervé, je peux te l’assurer, lui je l’ai vu, il existe. Ce mal là, seul Jésus a le pouvoir de l’écarter. Sans lui, il nous emporte. 49 : “– Pourquoi les congolais n’ont-ils pas achevé eux- mêmes le président ? 50 : “– Parce qu’il s’agissait d’un chef politique. Dans ce crime politique, ces congolais associés au Diable voulaient aussi associer les Cubains. Une sorte de pacte du sang signé avec Cuba, qui mouillait tout le monde. 51 : “– Et pour le cardinal, que s’est-il passé exactement ? 52 : “– Lui c’était différent. C’était un chef religieux, une affaire strictement congolaise Le chef de la religion du mal devait, pour installer son pouvoir, tuer le chef de la religion du Bien, incarné en la personne de Biayenda. Il ne s’agit pas là d’un assassinat bête et brutal, commis par des soldats ivres à la 33solde d’un mercenaire. Il s’agit d’un terrible sacrifice humain qui s’inscrit dans des liturgies de l’effroi. Car c’est dans l’effroi que surgit le diable. C’est ainsi que ces hommes perdus appellent les forces du mal à leur service. Dans la nuit du 17 mars 1977, quelques heures après avoir tué Ngouabi, le grand prêtre des forces du mal, le grand Khani, a envoyé des hommes à l’archevêché où dormait Biayenda. Personne ne savait alors que Ngouabi venait d’être assassiné. Le cardinal ne se méfia pas de ces hommes qui venaient le chercher. Le grand chef du Mal, caché derrière son masque rassurant de ministre de la Défense, appelait Biayenda en urgence. C’est dans la confiance qu’il accepta de les suivre. Arrivé à la hauteur du cimetière Ntchémé Talangaï, un barrage arrêta sa voiture. Ayant compris sans doute ce qui se passait là, ce qui l’attendait devant ce cimetière, le cardinal réussit à déjouer le barrage et à poursuivre sa route. Quelques kilomètres plus loin, il fit arrêter sa voiture pour s’enfuir dans la brousse vers la montagne appelée aujourd’hui « Montagne du cardinal », mais il fut vite rattrapé par les hommes du Khani. Ils se saisirent de lui et l’emmenèrent jusqu’au cimetière, qui est l’un des lieux privilégié où ils célèbrent et appellent les forces du mal. Ces cérémonies sont toujours nocturnes. Une tombe y était creusée. Le chef des forces du Mal ordonna à Biayenda de s’y coucher. Une rafale de mitrailleuse fut tirée à côté pour l’effrayer et afin qu’il s’exécute, mais le cardinal refusa. Il fut brutalement jeté dans sa tombe, là, il s’agenouilla et pria, tandis que les forces du Mal, sous le regard de leur grand chef, psalmodiaient lentement leurs incantations que le diable entend, tout en remplissant la fosse. C’est deux jours après seulement que le cardinal fut retrouvé dans cette tombe. Il était à genoux, sa main droite loin de son visage, mais à hauteur de son visage. 3453 : “Je sais qu’en cette dernière heure qui fut la sienne, il bénissait ces hommes perdus et terrifiés, à qui il fit face jusqu’au bout. 54 : “ « Seigneur, pardonnez leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ». 55 : “Ce fut la dernière prière d’Emile Biayenda. 56 : “– Comment avez-vous appris ce qui s’est passé cette nuit là ? 57 : “– A l’époque, j’avais choisi de travailler dans la fonction publique car là se trouvait l’élite du pays. Là je pouvais exercer une pastorale efficace, enracinée au cœur de la pâte humaine qui s’efforçait de construire le Congo moderne. Vois-tu, j’appartiens à une génération qui avait été touchée par l’expérience des prêtres-ouvriers en France. En ma qualité de prêtre, beaucoup d’hommes venaient se confier à moi. Quelques uns de ces hommes perdus, soldats et fonctionnaires, terrifiés par le geste qu’ils avaient commis, bouleversés par la prière du cardinal à genoux dans cette fosse, sont venus me confier leur crime insupportable. 58 : “– C’est pour cette raison que Jean Paul II vous a nommé évêque en 1980 ? Pour vous donner du poids et mieux combattre le Khani ? 59 : “– Oui, sans doute. Dès que j’ai connu les circonstances exactes de ce crime, je m’en suis ouvert à Monseigneur Firmin Singha, l’ami le plus proche du cardinal. Ils s’aimaient ces deux hommes, ils avaient le même âge, ils étaient l’un et l’autre mes guides, mes pères spirituels, à la source même de ma vocation sacerdotale. Monseigneur Singha a su informer le Vatican. Il y était écouté parce qu’on le savait très proche du cardinal. 3560 : “– Mais où est Monseigneur Singha aujourd’hui ? 61 : “– Il est mort en 1993 alors qu’il était évêque de Pointe Noire. 62 : “– Mais de quoi est-il mort ? 63 : “– Il est mort empoisonné. 64 : “– Empoisonné par les hommes du Khani ? 65 : “– Oui, par les hommes du Khani. 66 : “– Mais le Khani, il avait été chassé du pouvoir par vous-même en 1991 lorsque vous aviez pris la tête du pays afin d’organiser l’alternance démocratique ? 67 : “– C’est exact. Mais le Khani n’était pas mort. Il était là, présent au Congo, et il continuait son œuvre de division et de mort. Il a même réussi à troubler et s’allier certaines consciences sacerdotales. Le Khani m’avait « driblé ». 68 : “Ernest Kombo aimait le football et il utilisait volontiers cette métaphore empruntée à ce jeu d’équipe. Extrait des Mémoires de Frère Hervé Zebrowsky. 69 : Troublant, n’est-ce pas, ce récit ? Mais, il ne devrait pas émouvoir les gens s’ils en étaient au courant, du fait qu’il y a tout un ouvrage publié là-dessus, par le Frère Hervé Zebrowsky. Et il y a des preuves que le Vatican détient, à propos de sa tunique qu’il portait en ce jour, et qui n’avait jamais été criblée de balles, comme le déclarait honteusement les informations qui avaient été ventilées par-ci et par-là, et même à la Conférence nationale souveraine. Et les catholiques congolais le savent amplement. Je ne sais pas si les populaces des catholiques congolais sont au courant de ces affaires, qui sont peut-être non connues Chez-nous, mais qui sont bien connues ailleurs… 3670 : Mais, ce que nous déplorons, c’est que, le plus naturellement possible, il faille toujours que des forces du mal et du mensonge puissent maintenir le congolais dans l’ignorance de ce qui lui concerne, puisque seule une caste devrait en réalité être mise au courant, dans tout ce qui se passe Chez-lui, et qui le concerne. Autrement s’il est possible que tout le monde en soit au courant, seuls quelques privilégiés doivent le savoir, alors qu’ils sont tenus de demeurer dans le silence total, en fermant la bouche et en n’en parlant jamais du tout. Ainsi va la vie religieuse à la catholique congolaise… Mais dans tout ceci, le peuple congolais devra vraiment batailler pour recouvrer sa dignité… Et pourtant, on les contraint à ne jamais réagir, en remettant interminablement tout, entre les mains de Dieu. Et eux de même, tout bonnement, croient que c’est en cela que consisterait leur religiosité. 71 : Ah pitié pour leur spiritualité ! Alors que les Carol Vojtina, dit le pape Jean Paul II ont travaillé avec Solidarnosc, pour s’arracher des griffes des communistes soviétiques, et que le pape François, quant à lui, a du batailler pour briser l’inimitié, et la glace de mésentente, entre les USA et Cuba… Et que l’évêque Desmond Tutu, aura œuvré aux côté du Madiba, durant des temps considérables pour produire le phénomène politique du 20 ème siècle en Afrique, dans les résultats de la libération et la transfiguration partielle de la politique de ce dernier, en conduisant la République sud-africaine dans une nouvelle donne politique. 1.2 : Et le comble dans tout cela, c’est que les congolais ne savent pas que juridiquement, ces affaires auront été clauses, suivant des procédures au cours desquelles, les 37plus forts se firent eux-mêmes justice, de la justice de deux poids deux mesures, en trompant le peuple, et voguant ainsi en toute impunité : 72 : Assurément qu’ils sont troublants ces récits tragiques de la disparition de nos héros… Et ceci, sans que justice ne soit réellement faite envers eux… Et de nos jours, lorsque les congolais apprennent ceci, ils ne peuvent que s’indigner à outrance, et couver du courroux quant aux agissements des dictateurs, qui éliminent des congolais sans vergogne, pour se maintenir au pouvoir. Mais le cri du sang de ces derniers retentit toujours, jusqu’en cette époque actuelle. Et qui sait si c’est l’heure du jugement de Dieu, pour certains forfaitaires de ces crimes ? Nombreux crient vengeance à cause de cela… Et pourtant, ils doivent apprendre qu’ils n’en ont pas intérêt. Car cela les détruirait, puisque tout ce qu’ils tendraient à faire ne leur rapportera rien du tout, à propos. Pourquoi ? Eh bien parce qu’il n’existe plus, tout simplement des procédures judiciaires à propos qui puissent être entreprises… Et cela étant, sans que ces derniers ne le sachent. Parce qu’ils en sont sous-informés. 73 : Mais le fait est que ces choses ne sont malheureusement pas connues du large public congolais. Et non seulement que nous devrions le déplorer ; mais c’est justement, parce que ces derniers ne savent pas qu’elles font partie intégrante de toutes celles pour lesquelles la Conférence nationale souveraine couvrirent, avec à la couronne de ces travaux, le J’assume du président Dénis Sassou N’Guesso. Nombreux ne savent pas réellement ce qui se passa à la Conférence nationale souveraine. 74 : Et le pire dans tout cela, c’est qu’il y a des 38congolais qui, ne voulant pas apprendre ces vérités historiques, sur leur vie religieuse et son implication politique, penseraient que nous, nous sommes en train de remuer le couteau sur la plaie. Parce qu’en réalité, eux, ils disent ne plus avoir raison d’entendre ces choses-ci. Mais, pourtant ils devraient bien se rendre compte qu’il est question d’une tragédie ayant survenue à la suite d’une activité religieuse, par laquelle, l’une des plus grandes personnalités religieuses catholiques du pays, aurait entamé une action pour laquelle il croyait que notre nation serait sauvée par la foi en Jésus. Il s’entreprit en cela, dixit, le défunt monseigneur Ernest Kombo… 75 : Mais pourtant, la vraie action d’évangélisation ne concerne même pas le fait d’aller évangéliser les autorités… Il faille évangéliser comme il se doive le peuple ; afin que ce dernier puisse prier pour les autorités élevées en dignité, comme l’enseigne la Parole de Dieu d’1 Timothée 2 : 1-8, entre autre. Car c’est cela que Dieu veut, et non le contraire. Mais vouloir évangéliser les deux présidents, l’ex-président Alphonse Massamba-Débat, qui aura été un fervent protestant, et celui qui était au pouvoir, Marien N’Gouabi, aura été une activité prohibée par Dieu. La réussite aura été celle du catholicisme et non celle de Dieu. Et, c’est différent ces deux réussites… Il faille lire Luc 7 : 24-35, sur le témoignage que le Seigneur Jésus-Christ fit sur Jean le Baptiste. Il est écrit : Mais, qu’êtes-vous allés voir ? un homme vêtu d’habits précieux ? Voici, ceux qui portent des habits magnifiques, et ceux qui vivent dans les délices, sont dans les maisons des rois. Qu’êtes-vous donc allés voir ? un prophète ? Oui, vous dis-Je, et plus qu’un prophète. C’est lui dont il est 39écrit : Voici, J’envoie Mon messager devant Ta face, pour préparer Ton chemin devant Toi… Le médecin Luc, dans l’Evangile de Luc 7 : 26-27. 76 : Or, d’après le témoignage de monseigneur Ernest Kombo, où se retrouvait le cardinal Emile Biayenda ? Dans le palais présidentiel à l’Etat-major de Brazzaville, où demeurait le commandant Marien N’Gouabi, président de la République populaire du Congo… Que faisait-il là-bas ? L’œuvre de Dieu. L’œuvre de Dieu de qui ? Est-ce de Dieu, ou de soi-même ? C’est effectivement celle de sa religion, le catholicisme… Et donc, d’après les dires du monseigneur Ernest Kombo, si notre pays n’évolue pas, est-ce parce que le Khani ne croit pas en Dieu ? Lui, qui, finalement aura remis le pays entre les mains de ‘Dieu’ ? Est-ce que nous ne prospérerons plus parce qu’Alphonse Massamba-Débat et Marien N’Gouabi, qui furent sur le point de recevoir Jésus moururent en martyre, sans qu’ils n’aient développé le Congo ? Si c’est le cas, mais que firent-ils, en lavant les mains au sortir de la Conférence nationale souveraine, sous sa présidence, à lui, l’évêque d’Owando ? Donc le don du pays à ‘Dieu’ n’aura été rien d’autre qu’une drible de plus du Khani à l’évêque d’Owando ? Est-ce à cause de cela que les carottes sont cuites pour le développement du Congo ? Non, nous, nous annoncerons l’Evangile aux congolais, et nous prospérerons tous, sous la main de Dieu, en nous rapportant à Son programme d’Esaïe 18-20 et de Sophonie 3 : 9-12. Et la différence sera encore vue, entre ceux qui servent Dieu et ceux qui ne servent pas Dieu, comme il en est fait mention dans Malachie 3 : 13-4 : 6. 77 : Ce n’était donc pas, conformément à la Saine Doctrine Biblique, là-bas, sa place. Mais pour les 40catholiques, il était pourtant bien à sa place… Ainsi, il faille choisir, entre la Saine Doctrine Biblique, et la fausse doctrine catholique. Prophétiquement, Apocalypse 19 : 12- 16 énonce que cette attitude du cardinal Emile Biayenda, tout comme celle des papes Jean Paul II avec Solidarnosc, et François avec ses activités en face des autorités américaines et cubaines, n’est pas celle que doivent avoir les serviteurs de Dieu, si ces derniers marchent en obéissance de la Parole de Dieu… Voyez-vous ? Cet esprit-là est antéchrist et satanique, c’est celui de la bête. Ceux qui procèdent comme le fit le cardinal Emile Biayenda ne sont pas sous la protection de Dieu. Bien au contraire. Et Dieu ne peut être avec eux… Et en plus, il en est ainsi pour le salut éternel. Comparaison du royaume de Norvège et du Congo : 78 : Ce n’est donc pas, soi-disant en faisant que nos dirigeants abandonnent le matérialisme et le Communisme que nous nous développerions. Que l’on parle de l’abandon par nos dirigeants des pratiques occultes, obscurantistes, magiques, fétichistes, et autres, serait peut-être digne de tant soit peu de considération, à quelques considérations valables qui soient. Mais le catholicisme marche bien avec tout cela, alors pourquoi penser que l’abandon de ces perversions humaines apporterait un brin de changement ? La Russie est le plus grand pays au monde, en abondance territoriale, et il est, en richesse pétrolière et gazière l’un des plus nanti, mais elle vie de son économie de rente. Elle est une démocratie dictatoriale… Mais aussi, un pays émergeant fort croyant, en catholicisme orthodoxe, et pourtant matérialiste et communiste, fondamentalement, avec une couche de démocratie à l’africaine sur la gestion de l’Etat. 41Spirituellement, qu’est-ce qu’a Vladimir Poutine de plus que le Khani ? 79 : Et qu’est-ce qu’avait de moins Alphonse Massamba-Débat et Marien N’Gouabi ? Le président de la Conférence nationale souveraine ne nous aura pas laissé un héritage spirituel, sinon, catholique, et tout cela n’est qu’abrutissement des congolais. La couronne de son action aura bien été les Guerres civiles au Congo, n’est-ce pas ? S’il y a eu un héritage spirituel, en tout cas, il aura s’agit de son amorce de la philosophie sur la Congozobalisation. Sinon, il n’y a eu rien du tout. Car s’il y a eu quelque chose, en tout cas, il est notoire qu’elle n’a eu aucun impact sur la population. 80 : Il était à la Conférence nationale souveraine, et n’avait rien dit à propos de la mort du cardinal Emile Biayenda, craignant pour sa vie, et ce n’est qu’aux heures de sa mort qu’il racontera ce que Hervé Zebrowsky aura écrit, pourquoi sommes-nous sommés de croire cette histoire ? Est-ce là un bon héritage qu’il nous lègue ? Spirituellement il est un héritage empoisonné… Pourquoi n’en parla-t-il pas à la Conférence nationale ? Pourquoi n’en écrit-il pas quelque chose ? Craignait-il pour sa vie ? Avait-il peur du Khani ? Eh bien, cette trouille en question ne l’a-t-il pas finalement emporté ? Voilà la bombe à retardement culturelle, et peut-être religieuse et spirituelle, que nos acteurs religieux, spirituels, culturels, et autres, ne tentent de désamorcer… Comment est-ce que, nous pouvons permettre que nos populations vivent sous cette psychose de frayeur interminable de la mort au Congo ? Il faut combattre pour cela. 81 : Officiellement, est-ce que nous ne sommes pas sous le coup d’une manigance ? Ne sommes-nous pas 42instrumentalisés une fois de plus, sur ce coup-là ? Tout ceci n’est-ce pas de la Congozobalisation, chèrement défendue par l’évêque, mais dont il aura été acteur sur cette affaire ? Pourquoi est-ce que les gens ne sont-ils pas capables de faire une vraie expertise de notre problématique. Ils disent que le problème congolais est spirituel. Est-ce qu’il s’agit du devoir de catholiciser, de ‘protestantiser’, de ‘pentecôtiser’, de judaïser, les congolais, ou de les islamiser ? Est-ce parce qu’il est une problématique de combat entre le Bien et le Mal ? Si cela en est le cas, est-ce que nous sommes le seul Etat au monde qui est confronté à la lutte entre le Bien et le Mal… ? 82 : Quelque part en Europe, il y a la Norvège, qui est le plus riche pays en Europe, et l’un des plus riches pays au monde, avec son pétrole, alors qu’il est peuplé de près de 5 Millions d’habitants, comme nous, au Congo, et qui a une superficie quasiment semblable à la nôtre 385 199 km2, avec pour capitale Oslo, et frontalière avec la Suède, la Finlande et la Russie… Nous, au Congo, avec nos 342 000 km2, et nos près de 5 Millions de congolais, sur des potentialités agricoles vachement riches, et en plus situé en zone intertropicale, avec une hydrographie riche, nous ne sommes que comptés parmi les pays les plus pauvres au monde… Ils sont aussi religieux que nous, et au travers de leur royaume norvégien, ils détiennent la plus forte armada sociale au monde, alors que nous nous avons près de 85 % des congolais, vivant sous le seuil de la pauvreté. Est-ce que c’est normal ? Ils sont croyants comme nous, mais ils savent rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César… 83 : Nous végétons entre la tentative de l’établissement d’une soi-disant démocratie monarchique, l’établissement 43d’une dynastie Sassou-N’Guesso, par la paupérisation des congolais, et la militarisation à outrance de la Garde présidentielle. Tous les ingrédients de la dictature du Monopartisme réunis. Nous sommes dans un état pire que celui de Sassou I. Mais quand même l’on couillonne les congolais, comme les catholiques le font pour nos populations croyantes. Oh quel joug devrions-nous subir interminablement ! Un faux pas prémonitoire de François Hollande : 84 : La Norvège est le pays le mieux gouverné et le moins corruptible au monde, alors que la France, dans ce domaine n’est qu’au 26 ème rang, dixit, le Journal de 20 H sur la 2 du 12 juin 2015… Et la France est catholique, mais n’est-elle pas plus matérialiste que le Congo ? N’est- elle pas néocolonialiste et incapable de consentir des Compensations coloniales, même sur le prix qu’Haïti pourvut à la France pour acquérir son indépendance ? Un prix qui n’a d’origine que dans les relations d’escroquerie de l’empire colonial français…, entretenu avec Haïti ? 85 : Payer un tribut pour accéder à l’indépendance, mais c’est vraiment lamentablement la totale… Et en examinant tout cela, les haïtiens ne veulent pas reconnaître qu’ils sont une civilisation négro-juive-africaine ? Avec toute la colonie négro-américaine d’ailleurs. Mais vous êtes les vrais juifs ; la preuve de l’accomplissement sur vous des Malédictions Mosaïques du Lévitique 26 : 14-39, et du Deutéronome 28 : 15-68…, prononcées contre Israël, pour son histoire future, là-bas, dans le Désert arabique ; et qui se sont accomplies, littéralement, alors que vos aïeux furent déportés d’Israël, en Afrique, au 1 er s. ap. J.-C. et au 2 ème s. ap. J.-C…. 4486 : Voilà pourquoi, en annonçant cette Vérité, les églises apostates, les religions apostates, les spiritualités apostates, les faux cultes juifs africains, les sectes, l’occultisme, l’obscurantisme et les philosophies, les cultures, et autres, me font la guerre ! Maintenant, pourquoi ne pas accueillir cette doctrine que j’apporte actuellement, et entrer dans le plan de votre libération ? Celui de Sophonie 3 : 9-12, de commun accord avec les négro-juifs-africains continentaux, et ceux de toutes ses diasporas ? Ne vous abrutissez plus et ne vous lamentez plus sur votre sort, car l’heure de votre libération est actuelle… Et ceux qui vous colonisèrent sont en instance d’en payer le prix… 87 : En tout cas, il est certain que le faux pas de François Hollande le 12 mai 2015, sur le tapis rouge à Haïti, alors qu’il fut vite rattrapé par ses gardes du corps, est excellemment prémonitoire. Cela indique que le fait que la République française, fille de l’empire colonial français, parce qu’elle ne veut pas consentir : – des Compensations précoloniales, coloniales, et postcoloniales, pour le peuple Noir qu’il aura dominé durant près de 500 ans, en ne se contentant que de reconnaître que la Colonisation aura été un crime contre l’humanité ; – des Indemnités précoloniales, coloniales, et postcoloniales, pour le peuple Noir qu’il aura dominé, exploité, assujetti, oppressé, abruti, annihilé, etc., en quelque sorte, – des Dommages et intérêts précoloniaux, coloniaux, et postcoloniaux, pour le peuple Noir à qui il aura commis tellement des torts dans l’étouffement de son développement humain interne ou consciencieux, et autres… ; alors que les relations entre la France et 45l’Afrique, en particulier, et le peuple Noir, en général, et spécialement Haïti, s’attendent en ce que les français abordent cette affaire, et qu’ils fassent face à leur histoire… ; ce fait dis-je, démontre que la réélection de François Hollande subira un coup de la sorte… 88 : Les relations modernes entre la France et le peuple Noir en ce monde ébranlera la France à un tel point. Les français devraient réfléchir sur ce qu’ils doivent en faire. Sinon, c’est l’amorce de l’ébranlement des relations franco-
africaines mondiales.