« IL A EU LE MALHEUR DE SE PRESENTER AUX ELECTIONS PRÉSIDENTIELLES DE 2016 ». (Déclaration de l' Avocat d'OKOMBI SALISSA ce matin sur les antennes de RFI.

Sur cette terre, le degré de compréhension, d’intelligence est différent selon qu’on s’appelle MOUDILOU ou Mandzimba Marion, Bowao, ou Ntsaty Mabiala, Kolélas Parfait,ou pire encore l’ensemble des congolais de la Diaspora qui se masturbent à travers le monde et surtout ceux de Paris qui, depuis un temps non prescrit, ont arrêté de réfléchir.

Nous ne sommes que deux sur l’ensemble des intellectuels africains à avoir le génie, le savoir comprendre, l’intelligence de voir, d’interpréter et d’actualiser les enjeux sauf, ce que ne voit pas tout le monde, les non initiés, c’est à dire : jouer au jeu du singe qui : « Ne pouvant attraper un bon fruit qu’il convoite tant, pour qu’il ne profite à personne, dit à ceux qui peuvent l’attraper : « il est amer ». Pour que plus personne ne cherche à aller le cueillir. « Tchinfunia » disent les sages du Pool.

C’est comme le « mbula mbi », c’est à dire quand on n’aime plus sa femme, on lui fait l’amour avec fougue, avec rage, sans sentiment, sans amour, tournant la tête, les yeux, le cœur ailleurs. On fait l’amour comme si on ne le lui faisait pas, sans être présent. C’est une situation particulière, indécente, indélicate. « MBULA MBI » YIBILA MU NKABU » disent les sages du Pool.

« AVOIR LE MALHEUR DE SE PRÉSENTER CONTRE SON PÈRE, SON MENTOR, CELUI QUI LUI A FAIT ROI ».

C’EST LE JEU DES TRAÎTRES ; GÉNÉRAL MOKOKO ET OKOMBI SADISSA. LES DEUX NORDISTES SAVENT CE QU’ILS ONT FAIT ET POURQUOI SONT-ILS EN PRISON. CHERCHER LES POUX SUR UNE TÊTE RASÉE DE MOUDILOU, C’EST CHERCHER UNE AIGUILLE DANS UN FOIN.

Je le crie depuis plus de deux ans mais les malhonnêtes intellectuels congolais, les aigris animés par une convoitise les aveuglant, pratiquent l’hypocrisie, l’inconvenance, l’indécence, la duplicité, la canaillerie, la friponnerie, la mauvaise foi, la déloyauté, l’escroquerie intellectuelle, le faux et usage de faux, la tricherie, l’infidélité à l’intelligence, l’incorrection, l’improbité morale, la duperie, l’opportunisme et pour conclure tout ça en beauté: l’imbécillité congolaise.

Ce matin j’ai été épaulé par RFI dans ce que je dis depuis que MOKOKO, OKOMBI SALISSA sont en prison et que d’aucuns n’accordent aucune importance parce que dit de MOUDILOU que l’on n’aime pas par simple dépit, haine, jalousie et convoitise.

L’Avocat d’André OKOMBI SALISSA, le sénégalais vient de m’épauler ce matin. Il vient de dire tout haut ce que ma petite voix inaudible ne cesse de dire, de crier à qui veut m’entendre. Et ce qui est une vérité scientifiquement démontrée. il vient en effet de confirmer. sur les ondes de RFI ce matin 1 er février 2017 à 6 h 44′ 23 » que /  » Son client a eu le malheur de se présenter aux élections présidentielles de mars 2016″.

Il l’a dit comme je le dis depuis un temps non prescrit: » Il a eu le malheur de se présenter aux élections présidentielles contre celui qui l’avait laissé faire, laissé s’enrichir, laissé voler, laissé piller, laissé assassiner, laissé pourchasser, laissé construire des immeubles partout dans toute la république concurrençant même l’Etat congolais. Il a osé braver avec une audace inouïe celui qui lui avait tout permis, son mentor qu’il a poignardé dans le dos en vrai TRAÎTRE comme le firent il y a 1983 JUDAS pour 33 pièces d’argent ; comme DALILA contre son mari Samson ; comme de GAULLE en 1962 pour la guerre d’Algérie, comme Pétain, comme les assassins du Président Marien Ngouabi.

Ma soeur Munari, Parfait Kolélas, Ntsaty Mabiala et les autres ne sont pas pourchassés ni mis en prison. Mais posez-vous la question de savoir pourquoi il n’y a que le petit Général J.M.M. MOKOKO et André OKOMBI SALISSA qui sont pourchassés comme des bêtes sauvages et pas les autres ? Qu’ont-ils fait de répréhensible, d’ignominieux, d’indélicat ? .

Leur arrogance, leur manque d’élégance, leur manque d’honnêteté, de reconnaissance, leur traîtrise très marquante et très criarde et de très mauvais goût qui les caractérisent. Comment ces deux voyous de grand chemin qui ont tout eu, qui ont joui, qui ont bénéficié des diligences, des largesses d’un homme, de l’homme qu’ils ont fini par poignarder dans la dos comme des lâches car ne pouvant le regarder les yeux dans les yeux : Dénis Sassou Nguesso qui leur avait tout donné. En pratiquant ce parricide, ils ont fini par s’attirer la foudre, la colère irrépressible d’un homme dont j’accorde les circonstances atténuantes. Il a raison Dénis Sassou Nguesso car pratiquer une telle lâcheté de la part de ces fils indélicats, tout père les exposerait au vindicte des mânes après avoir tout eu de sa part, bénéficié ce que d’aucuns autres congolais n’ont eu de Dénis Sassou Nguesso, sauf les deux. Eux deux : MOKOKO et OKOMBI SADISSA ont trahi le PACTE, LE SERMENT signé au NORD depuis qu’ils avaient dit le 18 mars 1977 : « Que nous préférons perdre un kouyou que de perdre le pouvoir ». Ce Pacte signé avec le sang du Président Marien Ngouabi n’est pas prêt à être outragé. .

A la place de Dénis Sassou Nguesso, j’aurai fait autant. Oui je n’aurai pas permis à mes enfants que j’ai élevés avec mon lait paternel, mes sous, la sueur de mon front me faire ça, me poignarder dans le dos sous-prétexte qu’ils sont devenus grands et veulent s’émanciper. C’est inacceptable. C’est intolérable.

Débattons maintenant !

Maître Tony Gilbert MOUDILOU.