La morale!!!Toute vie humaine organisée ou non est le résultat incontestable des comportements mentaux et concrets des membres de la société. Surtout, Ceux issus des différents groupes élitistes. Détenteurs de la primauté des droits et devoirs discrétionnaires sur la marche consacrée de ladite société. La morale exprime donc les sens philosophiques que l’élite intellectuelle ou non d’un pays.
Elle consacre celle-ci à des responsabilités de conception des consciences dans l’ensemble de la citoyenneté nationale. Lesquelles relèvent du bon sens des sentiments et actes matériels observés ou dénués de trique, des maffias, de vols ou des criminalités diverses. Il s’agit du substrat basique de la citoyenneté nationale ou de l’ordre public. Ce dernier délimite les frontières des droits et devoirs auxquels se soumettent tous les citoyens. Gouverner un pays au travers d’une Démocratie plurielle nécessite ainsi des diverses élites des comportements sains, patriotiques : respect des règles de vie en commun, préalablement conçues de manière collective. Sassou dénis récuse la morale équitable pour l’immoralité dans toute sa totalité.
– Une immigration arabe (nord soudan) lourde de conséquences politiques et socio-économiques très dramatiques.
Dans la réalité du Congo-Brazzaville, ces frontières n’ont permis à certains membres, devenus des nôtres, générosité et hospitalité congolaises éprouvées, qu’à engranger de grandes capacités de nuisances publiques. Qui ont totalement détruit toutes formes de convivialité morale et physique entre communautés interrégionales originelles du pays.
Une telle attitude politique et sociale dérive d’un ensemble des sentiments qui frisent la folie, la prostitution intra-clanique des Sassou et Nguesso, porteurs d’un ADN propre aux sujets moyenâgeux de l’empire égyptien. Héritage historique arabe des premiers négriers au sud du Sahara. Malhonnête, voleur, sexualité féline et perverse, violeur, déshonneur aigu assumé, idiot tel un mouton, Sassou dénis nous impose une histoire publique quasi déloyale.
Cette déloyauté alimente un violent et complexe irrespect, singulier entêtement de vouloir, coûte que coûte, substituer les populations domestiques par une immigration très massive arabe. En moins de dix ans, nos frontières intérieures ont reçu 800000 migrants du proche et moyen orient ! Notre pays est en état de siège des coutumes et traditions orientales. Un vrai problème dans un futur proche au regard de l’actualité sanglante de ces sujets dans l’UE. L’idée caressée, ici, est une islamisation rapide de la CIVILISATION KONGO.
Prenons garde : nos petites filles voire nos sœurs ou mamans risquent d’être ablatées de leurs clitoris ou tout leur appareil vaginal. La douleur mentale étoffée depuis 46 ans par ce règne quasi obscur a atteint la limite physiologique que tolère notre subconscient collectif. Notre corps social et politique est arrivé à satiété d’un ensemble de politiques terriblement immondes, immorales, ingurgitées bêtement.
L’hospitalité peut s’avérer fatale pour une communauté humaine originelle. L’histoire est empreinte d’une kyrielle d’illustrations des plus funèbres. Mobutu désiré (centrafricain), Staline (georgien), Hitler (autrichien) ont réduit en esclaves les vraies populations locales des pays qui leur ont octroyé la nationalité. Chez nous, Sassou dénis descend de quatre nationalités : ses aïeux, venant du Soudan (nord ou arabe) s’installent dans l’actuelle Côte-d’Ivoire et optent pour l’ethnie Abey. Opposés à la pénétration coloniale française, certains membres des abés dont les Sassou sont déportés au Bénin, ils deviennent (fon). D’autres abés sont poussés par le maréchal Lyautey en Afrique centrale: David Dako, Bokassa et Kolingba naissent en RCA (présidents dictateurs et très maffieux de ce pays par la suite) et la mère de Sassou enceinte de son rejeton, probable produit d’un coït épars dans les forêts du nord, est accueillie par le clan Nguesso au nord du pays. Celle-ci reçoit gîte, couvert, sex et protection clanique pour une assimilation bien trempée aux coutumes et traditions mbochis. Depuis 50 ans, un groupe d’immigrés d’origine soudanaise sévit au Congo Brazzaville. Sous l’œil trop complice et protecteur des coloniaux français. Ces allochtones en quête d’un territoire d’accueil, ont spolié notre hospitalité pour nous rétribuer en monnaie de singe.
En dépit de cet éparpillement des membres Sassou sur quatre colonies, ceux-ci ne s’oublient, malgré le coût de la distance des uns et des autres de cet exile intra-africain. D’où une construction mentale et spirituelle débrayée du faux congolais. Le manque du principe d’unicité clanique adossé à un seul territoire, une région, à des coutumes et traditions circonscrites sur un champ spatial et sociologique précis ou la multiplicité des centres décisionnels intra claniques des Sassou essaimés sur le Soudan, la Côte-d’Ivoire, le Bénin et le Congo Brazzaville, anémient toutes possibilités de cet individu adoptif des Nguesso, de se joindre à notre idéal commun. Celui d’un pays ouvert sur deux civilisations : les Ngalas et les Kongos qui ensemble auraient pu bâtir une République Unie et Démocratique. Cependant, condamnés à la division souhaitée par un immigré arabe.
Le pseudo congolais vit donc dans un trauma psychologique lourd. Tiraillé par le sentiment d’être mal aimé par les Nguesso et apparentés (c’est un immigré de service pour les Nguesso et les tékés des plateaux) et le reste des congolais, son rôle reste téméraire. Témérité dans la jouissance des droits publics qu’il ne pouvait s’octroyer s’il avait respecté l’éthique rare de nos coutumes et traditions. Les devoirs lui sont ainsi impropres : Sassou ne se sent, ne s’est et ne se sentira jamais congolais. Ceux-ci incombent, vu sa vacuité publique, aux locaux originels et non aux immigrés. D’où des transferts massifs de notre ARGENT vers la totalité des Panama papers mondiaux. Particulièrement au soudan, Côte-d’Ivoire et le Bénin. Le Congo devient ainsi, au même titre que les pays de l’UE, pourvoyeur de l’aide au développement. Laminant alors de façon irrémédiable toutes opportunités de construire un pays puissant démocratique et socialement équitable. De même, cette témérité a-publique paraît plus que criminelle : servir aux congolais un Alphabétisme galopant depuis 20 ans, des EXCREMENTS ET URINES en lieu et place d’une eau potable, d’une nourriture saine, le tout sur fonds de deux GENOCIDES : celui des 750000 victimes de 1997/2002 et celui de cet avril 2016 dans le sud toujours !
– Des politiques universitaires ou non quasi construits d’une morale de traîtrise.
De ce qui va, la densité de cette douleur s’épaissit un peu plus quant à la traîtrise de quelques-uns d’entre nous. En effet, comment comprendre que Mathias Dzon et Mandzimba Ehouango aient accordé du crédit au dernier chiffon constitutionnel colporté par Sassou dénis ? L’attitude de ces deux énergumènes pose la question de leur probité politique et sociale plus que jamais maffieuse devant la guerre de libération que nous impose Sassou. Faussement devenus démocrates, après avoir participé consciemment à l’érection d’une idéologie d’ostracisme des ethnies du sud par celles du nord. Deux professeurs de leur piteuse université ignorent-ils qu’ils sont concepteurs des consciences de toute une génération de ces 20 dernières années dans leurs amphis ? Il s’agit là d’une diffusion des anti-valeurs dont fort justement évoque le professeur Levy Makani dans son ouvrage.
– Des leaders politiques peureux.
La peur grossit les probabilités d’une défaite, d’un échec, surtout pour un leader politique. Ce qui se passe à Brazzaville déroule un tapis obscur d’une perte de vitesse de certains d’entre eux. « Tous les moyens furent mis en œuvre pour faire partir Pascal Lissouba du pouvoir en 97 », dit André Okombi Salissa dans son adresse d’avant le chiffon constitutionnel de 2015 ! Or, les 90 % des démocrates congolais qui ont voté pour l’alternance politique, veulent définitivement évincer les Sassou et les Nguesso du pouvoir. Le peuple congolais veut ainsi que tous CES MOYENS EVOQUES SOIENT MIS EN OEUVRE MAINTENANT CONTRE LA DICTATURE franco-françafricaine qui ploie le pays. Nous faisons alors allusion à la FAMEUSE RESERVE DEMOCRATIQUE 400 soulignée par notre leader précité.
Cette peur est d’autant plus visible avec la chasse à l’homme contre ces mêmes leaders ! « Tout bouge » ne bouge-t-il plus ? Pourquoi notre leader, arrivé en 2è position après Tsaty-Mabiala au scrutin du 20 mars 2016 dernier dans ma commune natale de Mossendjo a adopté une posture plate ? A-t-il laissé la Réserve 400 au criminel et minable député Mouagni pécetiste ou à Sassou? Criminaliser le sud de Brazzaville et relancer un SECOND GÉNOCIDE CONTRE LES SUDISTES !!! Pis, nous constatons que cette Réserve demeure attentiste devant la chape de plomb qui met tous les quatre leaders DEMOCRATES restants. Pourquoi AOS et J4M ne sont secourus par la Réserve400 ? Cette peur de nos leaders, épouse votre refus de diriger les 400000 congolais sur les palais maçonniques de Mpila et du plateau ce 27/09/15 ! Mais, bon sang, pourquoi la majorité des membres de vos états majors sont mis en prison tous les jours comme des juifs sous le 3è Reich hitlérien au nez et à la barbe de la Réserve 400, absente du théâtre de la guerre contre Sassou et la françafrique ?
– Un traitre parmi les plus grands traites du pays : Tsaty-Mabiala
En effet, à l’instant que s’affiche le dessin de ces lignes, nous venons de lire que pascal Tsaty-Mabiala vient de reconnaître la victoire sanglante de Sassou Dénis (sites: Congo africatime et Congo-liberty). S’il n’y a pas un démenti du secrétaire général de l’UPADS, nous dirons que le pays vient d’être terriblement trahi. Les maffias de l’argent trop sanguinaire dont pascal Tsaty-Mabiala en est l’un des vautours viennent de tutoyer la Démocratie congolaise. Que le Nibolek, base de ce parti comme dans le reste du pays, est plus que jamais orphelin des principes de liberté et de Démocratie ou d’expression plurielle, édictés par pascal Lissouba. Par ce geste, ce parti devient très criminel et cesse dès lors d’être la première formation politique du pays. De cette situation ubuesque et sanglante, nous disons la traîtrise n’a jamais gagné dans le Nibolek : des leaders politiques de la base électorale de l’Upads ont payé de leur vie par les mains de leurs militants. MILITANTS de l’UPADS NE RATEZ PAS Tsaty-Mabiala. D’ores et déjà, nous vous prions de rester fidèles au Général JM4, Brice Guy parfait Kolélas, Claudine Mounari et André Okombi Salissa.
Nous lançons un appel aux militants de l’UPADS que pascal Tsaty-Mabiala ne représente plus le menu idéal qui lui restait depuis son rapprochement en 2006 du PCT. Qu’ils doivent continuer d’être ABSOLUMENT DEBOUT POUR POURSUIVRE LA LUTTE CONTRE LA DICTATURE des Sassou et des Nguesso. Que maintenant, vous devez demeurer aux côtés des populations du Pool massacrées, actuellement, dans des conditions d’un huit clos génocidaire. RESTEZ DONC A L’ÉCOUTE de BRICE GUY PARFAIT KOLELAS, de CLAUDINE MOUNARI, de CHARLES ZACHARIE BOUWAO, de ANDRE OKOMBI SALISSA et de JEAN MARIE MICHEL MOUKOKO, malgré le statut de résidence surveillée imposé à ces deux derniers leaders. Nous souhaitons que les militants de l’UPADS sur l’ensemble du pays ne répondent plus aux réunions convoquées par les dirigeants criminels actuels de ce parti. CONTINUEZ LA LUTTE EN SUIVANT LES DIRECTIVES DE CHARLES BOWAO ET LES QUATRE LEADERS. Surtout les anciens COCOYES doivent ouvrir l’œil car, ce que vivent nos compatriotes du Pool sera appliqué dans le reste du SUD CONGO !!
Ceci est un coup très dur contre le pays, nos souhaits légitimes de DÉMOCRATIE et de LIBERTÉ TOTALES. Que les militants de l’UPADS ne prennent aucunement part aux criminelles élections législatives. NE PARTICIPEZ PLUS A TOUTES ÉLECTIONS TENUES PAR LE PCT et Tsaty-Mabiala. Le Nibolek s’en occupera de ce dernier.
– UN GRAND VIDE COERCITIF OU ABSENCE DE FORCE PUBLIQUE DANS LE PAYS.
Il va sans dire que ce refus des militants de l’Upads et du peuple congolais tout entier correspond aux principes d’une construction publique QUASI VIDE scellés par le Pct dans le pays. Ceux-ci signifient que la dictature sied à une densification des signes institutionnels irrationnels, facteurs de multiplicité du vide public. Vide politique, vide économique, vide social, vide moral ou nul de toute éthique, pis, vide d’idéal culturel total.
La totalité du vide exprime l’existence des relations bilatérales cotées au code noir. Qui font toujours du pays une colonie de la France. Symbole d’un manque d’une FORCE PUBLIQUE capable de secréter notre indépendance politique et économique. Le Congo-Brazzaville et le peuple congolais originel souffrent de toute absence absolue de cette FORCE PUBLIQUE. L’appel de M4J, UNIQUE GÉNÉRAL MILITAIRE QUE POSSÈDE LE PAYS, à une insurrection militaire, reste lettre morte jusqu’ici. L’absence de toute déontologie républicaine de ses frères d’armes, militaires, gendarmes, policiers et agents spéciaux montrent qu’ils sont en fait de simples MILICIENS LOURDEMENT GALONNES. L’armée, la gendarmerie, la police et les services spéciaux sont en réalité UNE MILICE MULTINATIONALE au service du cartel d’Oyo, de la France et des pouvoirs maçonniques mondiaux. Rwandais, burundais, tchadiens, angolais, ougandais, mercenaires et militaires français, pilonnent le Pool depuis une semaine. LA PAUVRETÉ MORALE ou ce GRAND VIDE STRUCTUREL DE NOS BASES REGALIENNES EXPLIQUE QUE CET APPEL SOIT TOMBE DANS UN VIDE ABYSSAL COERCITIF. Plus personne ne doit remettre en cause nos positions sur ce sujet depuis 11 ans déjà. Plus personne, sur la place de Paris, ne peut me traiter de tribaliste comme il y a trois ans, lorsque nous exprimions notre douleur morale collective du fait de toute vacuité physique d’une Force Publique Républicaine et Démocratique dans le pays.
– UNE MORALE TROP MAFFIEUSE DE LA FRANCE ET LA FRANCAFRIQUE.
Par ailleurs, il est inutile que nos leaders lorgnent sur la bienveillance morale du pouvoir français pour nous libérer. La France politique, la France militaire et celle des affaires économiques criminelles ont éructé depuis 22 ans quatre génocides dans les pays des Grands lacs. Le Rwanda en 1994, le Congo Brazzaville de 1997 à 2002, la RDC depuis 2001 jusqu’à nos jours et notre pays encore en ce mois d’avril 2016 dans le Pool. Ici, la morale française se confond à la viscosité du pétrole. Celle-ci illumine les normes d’un droit international dont les relations bilatérales entre la France et notre pays demeurent lourdement sombres. Les signatures des divers contrats pétroliers s’effectuent curieusement sur la luminosité très noire du pétrole. Vrai paradoxe : cette viscosité relève d’un sixième sens pour les politiques français. François Hollande explique son mutisme coupable sur son GENOCIDE contre nous actuellement par des jumelles à infra rouge conçues de cette viscosité des matières fossiles. Incompétent contre le chômage qu’alimente une récession de près de 22 ans, le pyromane qui a donné le chalumeau à Sassou pour incendier les sudistes congolais, a les yeux rivés sur les indices coloniaux. Comme Chirac et Sarkozy.
Le pétrole sanglant rapporte très et trop gros à la France. Un 2è GENOCIDE contre les KONGOS est très important. L’Onu restera inaudible : son budget résulte de la viscosité de la rente internationale du pétrole. Ainsi, pour les 13 dernières années, le pactole colonial pétrolier gagné par le coq gaulois s’élève en fait à 16 milliards d’euros par an ! Eh oui, 16 milliards pour ceux qui ne savent pas, délestés du trésor dictatorial des Sassou et des Nguesso. Du fric quasi gratuit ! Ceci justifie le coup d’État permanent de De Gaulle contre la France listé par François Mitterrand. Ainsi, coupable de quatre génocides en Afrique centrale dont deux au Congo Brazzaville, en deux décennies dès 1994, la morale politique, sociale et économique issue des droits de l’homme français est très pauvre. La France économique, politique et sociale est un pays pauvre ! Pauvre !!! Notre budget sur cette période est de 20000 milliards de Cfa pour le pétrole seulement et non les piteux 4000 que reçoivent Sassou et sa milice multinationale. Ceci est le mobile fondamental du GENOCIDE ACTUEL SUR LES SUDISTES.
– UN IMPERATIF MORAL DES DEPUTES ET SENATEURS ACTUELS DE LA MAJORITE POLITIQUE DU PAYS ISSUE DE L’IDC-FROCAD VICTORIEUSE DE LA PRESIDENTIELLE DU 20 MARS : ILS DOIVENT DEMISSIONNER du parlement et du sénat croupions pécétistes AVANT l’investiture immorale de l’immigré soudanais : Sassou Dénis. NE VALIDEZ PAS PAR VOTRE PRESENCE LE COUP D’ETAT DU 20 MARS 2016.
Dans quelques jours, les crocodiles du PCT mbochisé vont intronisé le roi Sassou, l’immigré béninois. Cette situation est capitale, absolument importante pour valider définitivement le génocide des peuples du sud opposés à leur règne. Pour dire NON à une telle duplicité, tous membres de la NOUVELLE MAJORITE DE VRAIS DEMOCRATES CONGOLAIS, conduite par Claudine Mounari, Okombi Salissa, Brice Guy Parfait Kolélas et Jean Michel Mokoko ainsi que TOUS LES DÉPUTES ET SÉNATEURS DE L’ANCIENNE OPPOSITION DÉMOCRATIQUE QUI ONT GAGNE L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DOIVENT DÉMISSIONNER DE LEURS PITEUX MANDATS ÉLECTIFS. PERSONNE NE DOIT PORTER QUITUS AU GÉNOCIDE QUI SE DÉROULE MAINTENANT DANS LE SUD DU PAYS. DÉMISSIONNEZ ET RESTEZ UNIS DERRIÈRE LES QUATRE LEADERS RESTES FIDÈLES AU PEUPLE CONGOLAIS
UNE FOIS LA DICTATURE SACCAGÉE, PAR LES DÉMOCRATES, LA PREMIÈRE STRUCTURE INSTITUTIONNELLE POLITIQUE A BÂTIR SERA L’ARMÉE, LA GENDARMERIE, LA POLICE ET LES SERVICES SPÉCIAUX. SUR LAQUELLE VONT S’APPUYER LE PEUPLE CONGOLAIS, LE PAYS ET NOTRE VOLONTÉ DE CONSTRUIRE UNE DÉMOCRATIE PLURIELLE. A NOTRE AVANTAGE, NOS COUTUMES ET TRADITIONS NOUS SERONT D’UN SECOURS ENDOGÈNE ABSOLU. NOTRE DÉMOCRATIE ET LIBERTÉ VERRONT LE JOUR PAR LE TRAITEMENT SANS ÉTAT D’ÂME DE CE DÉBAT JAMAIS CONVOQUE ET SOLUTIONNE.
Madouma Lissafi