« LE CHIEN N’A JAMAIS CHANGE SA MANIÈRE DE SE TORCHER : IL TOURNE TOUJOURS EN ROND COMME S’IL VOULAIT RATTRAPER SA QUEUE » Proverbe.

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaadestruction-7906208Je ne voulais pas répondre à toutes salissures qu’on éjectait sur ma personne, j’avais voulu laisser mon équipe répondre et j’avais donné une semaine au GENERAL qui me connait, à tous les Nordistes que j’avais appelés depuis plus de 5 mois pour me laver de l’affront. Ne l’ayant pas fait, j’ai compris que j’étais devant une conspiration, une manipulation, une grosse traîtrise et dont il fallait répondre à tous les prix, à tous les risques et péril. Je suis une bête blessée, un fleuve qui déborde car j’ai mon honneur bafouée par des ingrats à défendre . Mes fils de 5 ans et 9 ans ont eu peur quand ils  ont vu  ce dessin où leur père est présenté comme un « WANTED ». Ils font des cauchemars.

« Ils veulent remettre ça ! Refaisons l’histoire ».

Avec eux, les Nordistes, l’histoire du Congo bégaye toujours et s’est toujours écrite en proses. Rappelez-vous ! Nous sommes le samedi 19 mars 1977, un jour ou ’ils venaient d’assassiner leur propre parent le Président Marien Ngouabi, Samedi 19 mars : 7 heures du matin heure locale précisement.  Ils font passer le premier communiqué lu par Florent Ntsiba (Batéké) Porte parole du CMP, alors Directeur de Cabinet du Ministre de la Défense qui n’est ni plus, ni moins que le Chef de la Conspiration, le commanditaire Dénis Sassou Nguesso. Ils venaient de mettre en place un « COMITÉ MILITAIRE DU PARTI » un instrument qu’ils avaient crée nuitamment.

Florent Ntsiba dans le premier communiqué (Lesquels vous trouverez dans mon article sur le site www.zenga-mambu.com intitulé :

« 18 mars 1977 à 14 H, Il y a tout juste 33 ans le terroriste et serial Killer Sassou Nguesso assassinat le Président Marien Ngouabi » Document de 101 pages et un annexe des photos soit 121 pages) Document d’un apport historique sans faille et indiscutable.

F. Ntsiba nous annonce que le Président Marien Ngouabi venait d’être assassiné par un commando. Et dans l’après midi à 16 heures, le même porte parole nous donne le nom de l’assassin. C’EST LE LIEUTENANT YVES MOTANDO. Il fallait le ramener « mort ou vif » Et comme sous l’effet d’une baguette magique, 24 heures plus tard, ce n’est plus Yves MOTANDO,  le Ngala,  l’assassin du Président mais c’est le Capitaine Barthélémy KIKADIDI,  le kongo. Ici chaque mot, chaque expression, chaque ethnie, chaque région compte et c’est un élément déterminent, historiquement dans la suite de l’affaire.

Mais comment du Lieutenant Yves Motando le « Ngala » est-on descendu au Capitaine Barthélémy KIKADIDI le « KONGO ? »

Laissons-nous aller et repartons à la Conférence Nationale Souveraine en ce 13 mai 1991 où l’éminent Membre du CMP, Membre du Comité Central du PCT, le capitaine OKONGO NICOLAS, nous reconstitue les faits.

« Nous étions en pleine réunion quand nous avions vu rentrer le Lieutenant Lazare Mouanga nous apprendre que la voiture 404 qui était garée devant le perron à la Résidence du Président Marien Ngouabi est celle du Capitaine Barthélémy KIKADIDI et tout de suite nous avons fait le lien. On sait qui dit  Massamba-Débat dit KIKADIDI ».

Et immédiatement, la Sécurité d’Etat s’est mise en mouvement et vous savez, dans le cadre du monopartisme, on suspectait tout le monde et c’était le climat du moment. Il fallait arrêter tout le monde, tous les suspects. Vous avez vu, il n’y a pas seulement des SUDISTES, il y avait aussi des Nordistes parmi les suspects. Le capitaine Ondziel en est l’exemple. Maintenant, il faut tirer les leçons de ne pas suspecter tout le monde.

Nous étions violents et je ne cite pas le nom de l’une de nos épouses qui nous ont téléphonés pour protester et nous dire : « Ce n’est pas possible, vous devenez des assassins ! C’est odieux, vous tuez des gens ? » Et nous avions fini par décider et nous sommes : « nous devons tuer nos propres parents du Nord pour éviter une guerre civile et nous avons tué nos frères pour préserver la paix sociale. Mais oui, nous en étions à ce point là. C’étaient des crimes et c’était infernal. » (OKONGO NICOLAS Conférence Nationale Souveraine le 13 mai 1991).

Un de mes Articles intitulé : « 18 MARS 1977 voici 35 que le Serial killer Sassou Nguesso assassinait le Président Marien Ngouabi dans un de ses coups d’Etat le plus meurtrier qu’ait connu notre histoire » : 134 pages (site www.zenga-mambu.com).

LES CONGOLAIS NE SAVENT PAS TIRER LES LECONS DE L’HISTOIRE.
L’ÉNIGME MOUDILOU Fils de  Diambaka et de Nkatoukoulou.

Je suis Maître Tony Gilbert MOUDILOU, n’en déplaise à mes frustrés, mes contestataires, mes détracteurs qui : comme « le singe qui ne peut pas attraper un fruit qu’il convoite tant, dit toujours aux autres qui ; eux peuvent l’attraper : « il est amer » Proverbe du Pool. Pourquoi le singe dit-il cela ? Pour qu’il ne profite à personne. »

L’ÉNIGME TONY GILBERT MOUDILOU OU LE PIMENT QUI PIQUE FORT ET QU’IL NE FAUT PRENDRE A N’IMPORTE QUEL BOUT.

1° Sassou Nguesso mon « Frère ennemi » a toujours souhaité depuis le 13 décembre 1992 que nous travaillions ensemble. Il m’avait presque supplié devant témoin,  son oncle,  Jean Marie EWENGUE, alors Ambassadeur du Congo en France, actuellement Maire d’Oyo.

2° – Je vous ai toujours dit que quand en 2005 mon ancien Patron Bernard KOLELAS était allé se jeter dans les bras de Sassou Nguesso anciennement notre Allié dans l’Alliance URD /PCT et Apparentés ; les pieds et les mains liés pour n’exiger ou n’obtenir que les postes ministériels des seuls membres du MCDDI, alors que B.KOLELAS était Chef de toute l’Opposition et qu’il devait négocier une véritable plate-forme pour toute l’Opposition, lui ne négocia que ceux de son MCDDI. L’homme lui proposa 5 ministères pour lesquels il fallait 5 noms.

Sassou Nguesso lui imposa le nom de MOUDILOU en tête au cas où il ne penserait pas à moi avant ceux de ses enfants dont Parfait Kolélas qui n’avait jamais fait de politique et qu’on n’avait jamais vu nulle part quand nous nous battions sur le terrain. De Bernard Tchibambélélas, opportuniste patenté venu du PCT et qui n’était là que pour se faire une place dorée et mieux ceinturer B.KOLELAS ; d’Hellot Mampouya le grand traître de la République et du MCDDI auprès de KOLELAS, l’oreille bien aiguillonnée de Sassou. Et dans tout ça, le croupion était Bouétoubassa Bernard. Bernard KOLELAS m’appelait toujours par mon « CHIEN DE CHASSE » qui lui ramenait tout notamment l’argent et les plus belles informations.

3° Avec le Président Pascal Lissouba : nous sommes le 27 août 1998, je suis à Londres où je dois retrouver mon Patron B. Kolélas. Celui-ci ne voulait pas me voir tout seul. Il appela le Président Pascal Lissouba pour lui parler de ma présence à Londres. Le Président Pascal Lissouba n’hérita pas à m’inviter pour un déjeuner en tête à tête. Il fait réserver une belle table dans un des plus beaux et romantiques restaurants de Londres (parce que le Président ne faisait jamais les choses à moitié mais en plein comme un œuf. Il voulait me prouver qu’il était toujours le Président de la République ; notre République du Congo).

Nous ne sommes que nous deux dans une espèce de pièce bien réservée. Plus de 3 heures, le Président me parlait sans discontinuer de notre pays, de ses brillants moments qu’il passa auprès du Président Alphonse Massamba-Débat à la tête de notre Gouvernement qui, jusqu’à ce jour est et a été le meilleur du pays depuis l’indépendance. C’est ensuite qu’il me parla de son Pouvoir mais surtout de l’échec de celui-ci et sans sourciller, il me dit : « j’admire le POOL et son dynamisme » et il ajouta dans cette belle phrase magique et symptomatique ; pleine de romances en ces termes : « Si j’avais des éléments comme toi, je n’aurai pas perdu mon pouvoir ! ! ! » Qui dit mieux ?

Voyez-vous quand tu as des éloges des trois plus grandes personnalités qui ont marqué notre Histoire nationale : les unes, sulfureuses, les autres moins agitées, on ne peut qu’être comblé. Car ces trois personnalités sont un grand thermomètre pour notre pays et un thermomètre qu’on a toujours enfoncé dans les fesses du POOL, m’a toujours répété mon Père MUVIMBA que j’aime bien.

Elles symbolisent tout.

Après ce bref point d’histoire, revenons sur notre dossier qui occupe la politique douce et la politique sulfureuse des 5 derniers jours dans un février de 2016 finissant.

RETOUR VERS LA CANDIDATURE DU GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO.aaaaaaaaaaaaaaaaaamok1-9355622

Quand j’écoute ceux qui, au grand jour, en plein midi dans un soleil resplendissant, m’ont renié, pratiquant une imposture ignoble et mal agencée. Celle-ci m’a mis à mal et ai simplement compris que ces gens là sont les pires calamités que je n’ai rencontrées sur la surface de cette terre.

POURQUOI C’EST MOI QUI MERITE CA ?

Sur nos 342.000 kilomètres carrés de notre superficie, on n’avait jamais parlé du Général KOKOKO, jamais comme candidat unique du pays à la Présidence de la république car pour être candidat, il faut un Parti politique ou être soutenu par sa Région pour le cas du Congo, en tout cas. Or notre homme ne jouit, ni de l’un ni de l’autre.

Et c’est moi MOUDILOU TONY GILBERT fils de Diambaka Paul et de Nkatoukoulou Henriette qui, comme hier pour la Conférence Nationale Souveraine dont je revendique la paternité sans nulle conteste et la nomination de mon ancien Patron comme Premier ministre qui : ayant trouvé la montagne électoraliste congolaise trop haute avec un Sassou Nguesso tricheur inné, ai voulu chercher à la contourner.

D’où le nom du Général Mokoko et pourtant il y a d’autres Généraux au Congo comme le disait un Colonel de la Cuvette qui, pour lui pousser le Général Mokoko, était une grosse bêtise car il ne vaut pas un clou politiquement et régionalement parlant.

APPEL A TOUS LES POLITICIENS DU NORD DE NOTRE REPUBLIQUE DE France.

Je ne voulais pas faire quelque chose sur leur dos des NORDISTES, c’est pourquoi j’ai appelé depuis plus de 4 mois et avant ; et après le Référendum tous les Grands HOMMES politiques du Nord de la Place (en France) dont : William Otta, Jean Luc Maléka, Bienvenu Mabilembolo, Sengha Isaac Djoumali, et même le Ministre Charles BOWAWO qui était de passage sur les lieux fut associé à cette contribution pour leur demander les coordonnées du Général que je souhaitais joindre depuis la Centrafrique. Beaucoup trouvèrent cette démarche mal appropriée. Oui ils ne comprirent pas qu’un FILS DU POOL s’acharne tant à proposer un nom d’un Nordiste au pouvoir, que c’était inédit et ça passait mal à leurs oreilles. Cette démarche sonnait faux et était entachée de suspicions. Que c’était un piège. Et tous décidèrent de ne pas me donner le numéro de téléphone du Général. Quant bien même que je leur disais que je connaissais l’homme, c’est un Frère avec lequel j’avais marché il y a neuf ans. Mais ils ne me crurent pas.

C’est un membre de mon Équipe mise en place à cet effet, qui réussira à rentrer en contact avec un des éléments du Général. Ils échangèrent longtemps et chaque fois, on me rendait compte.

Et c’est enfin que nous avons affiché nos couleurs. Les premiers articles commençaient à sortir ou sur mon mur Facebook ou sur nos autres murs. Nous étions le Pool et rien d’autres. Et c’est là, quand la mayonnaise a beaucoup pris, qu’on commença à voir ceux qui bombent le torse aujourd’hui, autour de MOKOKO, s’accaparant de l’homme que tous considéraient comme un cheval nul et de nul effet.

Maintenant tout le monde chante MOKOKO ? MOKOKO ? MOKOKO ? MOKOKO ? MOKOKO en jetant en pâture celui qui a enfanté l’enfant, le père géniteur Maître Tony Gilbert MOUDILOU le pestiféré, le traître, le fou dangereux ! Tristesse, tristesse si chacun pouvait savoir qu’il a une bosse sur son dos, on ne parlerait pas de MOUDILOU comme ça.

Je dis bien que tous les noms que je viens d’évoquer de tous ces Nordistes, aucun n’aimait voir le Général Jean Marie Michel Mokoko se hisser à ce firmament où on aimerait le porter. J’avais compris qu’ils ne l’aiment pas et le haïssent même. J’ai leurs noms et qu’ils me contredisent. Tous ces NORDISTES le traitent de quelqu’un qui ne pissent pas loin, n’a aucune carrure, n’est pas représentatif au niveau de leur contrée (REGION). Or au Congo, on est d’abord élu et entraîné par les siens avant que d’autres régions ne vous adoptent.

Le Général Jean Marie Michel MOKOKO est le premier depuis 56 ans, depuis l’indépendance qui soit proposé par les non originaires de sa propre région. Si je mens qu’on me coupe la langue et me prouver le contraire !

marion8-9742140« QUAND ON VEUT TUER SON CHIEN ON L’ACCUSE DE RAGE »

Ils sont très, très mauvais les Nordistes et j’ai simplement compris qu’ils ne nous aiment nullement, nous les SUDISTES. C’est très dur à écrire car c’est très tendancieux mais c’est la vérité crue. Mais ça vaut la peine car je ne veux pas être le prochain Capitaine Barthélémy KIKADIDI. Qu’ils voudraient tuer comme après avoir tué leur propre parent en 1977.

Ou’il fallait que j’écrive malgré l’engagement que j’ai pris auprès des miens qui m’avaient demandé à ne pas répondre aux invectives, à l’injure, à la passion, à la haine régionaliste de Marion Mandzimba, à Guy Mafimba qui me demandaient des explications comme si à l’un et l’autre ils avaient fini d’expier leur propre péché qu’ils sont et traînent avec leurs pères politiques. Ils me demandent des explications, alors que c’est à eux de nous donner des explications sur tous les dossiers dont leurs Chefs sont responsables :

Marion Mandzimba : alors Conseiller très écouté de son Maître Lekoundzou IthiI Osétoumba alias Justin, lui a-t-il posé la question de savoir comment dans sa chambre N° 8 de l’Hôtel le Mistral, son ancien Patron et tous les Nordistes avaient égorgé le Président Marien Ngouabi ? Puisque d’après le récit rocambolesque de Lékoundzou à la Conférence Nationale Souveraine, « lui Justin et Sassou s’étaient retrouvés dans les bureaux cossus du Ministère de la défense où lui Lékoundzou et Sassou s’y étaient retrouvés entre quatre murs, s’étaient regardés et ont pleuré ensemble le décès de Marien Ngouabi »

Qui de LEKOUNDZOU Ithil  OSETOUMBA alias Justin et de MOUDILOU est judas ?

Celui que le Président Marien Ngouabi avait fait dignitaire et qui avait fini par l’égorger dans un groupe de conspirateurs nordistes et de surcroît dans sa chambre d’hôtel OU MOUDILOU qui veut sortir du néant un GENERAL que vous-même sous-estimez et ne donnez-même pas 1 /10 ?

Quant à toi Guy Mafimba qui me demande de lui rendre des comptes. Demandes-en d’abord à ton patron Jacques Joachim Opango n’avais-tu jamais vu toutes les grosses marmites qu’il trimbale sur son dos ? Il est à tous les drames du Congo, le voleur inné lui qui en 1973 alors que le Président Marien Ngouabi vient de le nommer Ministre de l’Agriculture, tu avais certainement encore « le caca aux fesses », Il a volé, détourné tout le budget de son ministère de l’Agriculture pour se construire la maison de Mpila, j’espère que tu es au courant. Et pourquoi tu ne lui demandes pas des comptes et pourquoi avait-il fait ça ?

Que tu ne demandes pas  à ton patron que quand il était Conseiller militaire à l’Ambassade du Congo en URSS en 1971, il avait déclaré devant témoins dont je tais les noms que lui Président de la République « il enrayerait de la carte du Congo, la région du POOL ». La conspiration nordiste contre les vaillants KONGO ne date pas d’aujourd’hui autour du candidat MOKOKO que je voulais aider en demandant à mes parents de le hisser haut. Pourtant nous avons Parfait Kolélas, Ma sœur Munari, Ntsati  Mabiala et autres.  Vous  nous en voulez parce que Dieu ne vous a pas faits comme nous.

Débarqué du ministère de l’Agriculture, en 1974, le Président Marien Ngouabi le nomma Inspecteur Général des Forces Armées. A peine qu’il avait posé ses pieds sur cette Institution, qu’il commença à piquer le grand Budget de l’Armée. Car pathologiquement plus cleptomane de la République que lui, tu meurs.

Et quand il est envoyé comme Directeur des travaux publics, il faut qu’on aille compter les Caterpillars, s’il n’en avait pas emportés quelques uns quand, après avoir égorgé ensemble le Président Marien Ngouabi, il quitta ce poste. On sait ce qu’il avait fait quand au bout de 1 an et demi, il nous imposa : « 7 heures de travail et non 7 heures au travail ». Il avait carrément vidé les budgets de l’Etat j’ai les journaux de l’époque : ETUMBA et Mweti qui ne parlent que de lui mais pas en tout cas en termes d’élogieux, bien au contraire. Il avait été émasculé par son frère avec lequel ils avaient assassiné le Président Marien Ngouabi, j’ai parlé de Sassou Nguesso qui l’envoya 11 au frais.

Alors, au lieu de vilipender de MOUDILOU, l’intègre, le propre, le patriote, le républicain et l’honnête qui ne transige pas avec la morale car nous au Pool, c’est comme ça. Donc au lieu de vouloir demander des comptes à Moudilou, pense d’abord à en demander à ton patron du RDD, « yo… mbi ».

On ne s’attaque pas impunément à MOUDILOU Tony Gilbert sans qu’on en laisse ses plumes, ses poils, ses larmes.

LES NORDISTES ACCUSENT MOUDILOU L’INTÈGRE D’AVOIR TRAHI LEUR GENERAL POUR LEQUEL ILS SONT EN TRAIN DE BOMBER LE TORSE ALORS QUE JE SUIS SON GÉNITEUR, CELUI SANS QUI, ON NE PARLERAIT PAS DU GÉNÉRAL MOKOKO. PENDANT QU’EUX, COMME JÉSUS, FUT LAPIDE PAR LES JUIFS QUI NE LE RECONNURENT PAS COMME ROI DES JUIFS. ET FINIRENT PAR LE CRUCIFIER.

Oui, c’est moi et personne d’autres n’ait mis au monde le candidat MOKOKO. Mais voilà que par un esprit mal intentionné, égocentrique, sans même qu’ils n’aient gagné, bêtes qu’ils sont alors qu’ils devraient d’abord me laisser leur faire gagner leur GENERAL qu’ils ont commencé à appeler « Moïse ». Voilà, les idiots ont préféré se tirer plusieurs balles sur leurs pieds.

J’ai toujours reconnu que c’est moi qui avais appelé le Général pour entreprendre un certain travail. Oui je voyais que nos libérateurs nous filmaient. Mais jamais, je n’avais pensé qu’ils pouvaient utiliser ces films pour nous faire chanter.

Ainsi quand samedi alors que je sors d’une réunion avec un frère du Nord (oui encore le Nord à la gare du Nord, à peine que je venais de quitter ce Frère, il m’appelle que je devrai suivre une cassette qui passait sur le net et qu’elle était importante). Rentré chez moi, je me suis mis à la regarder. Et c’est là que je tombai nez à nez avec mes amis. Mon étonnement était grand. Et me suis demandé Comment est-ce que c’était possible.

DÉCLARATIONS DU GENERAL J.M.Marie MOKOKO sur rfi et dans le Journal le MONDE.

Quand quelques jours plus tard c’est-à-dire le mardi qui a suivi la diffusion de cette cassette, j’ai entendu tour à tour, Madame SOUDAN s’en prendre au Général qu’elle accusa : « d’avoir apporté cette cassette qu’elle distribuait de journal en journal, qu’elle traînerait le Général devant les Tribunaux afin de répondre à ses injonctions ». Et quelques heures plus tard c’est le Général lui-même qui explique sur les antennes de RFI et le journal le MONDE que : « Cette cassette est apparue pour la première fois en 2013. Quand on lui avait soufflé cela à son oreille, je ne sais pas si la droite ou la gauche, il s’est arrangé pour l’avoir. Et finalement, l’a eue. Craignant la foudre de son Frère du Nord qu’il sert depuis longtemps, il a accouru en parler à Dominique OKEMBA qui est l’oreille bien écoutée de Sassou Nguesso. A partir de lui, le Général savait que Sassou était déjà au courant. Donc il attendait les répliques qui ne venaient pas. Donc il comprit que « l’affaire était classée sans suite ». Donc il continua ses fonctions de Conseiller très écouté.

Et pourquoi, cette affaire réapparaît à un moment où le Général ne veut plus poursuivre son travail auprès de Sassou et veut s’affranchir et que le POOL veut faire de lui un majeur ?

NORDISTES MAVIMBA GUY ET MARION MANDZIMBA, N’AVIEZ-VOUS PAS ENTENDU MADAME SOUDAN ARLETTE ABOYER SUR LE GENERAL DONT ELLE MENAÇAIT DE PORTER PLAINTE POUR DIFFAMATION ? AMNÉSIQUES NORDISTES MANDZIMBA Marion et Guy MAFIMBA, N’AVIEZ-VOUS PAS ENTENDU LE GENERAL SUR RFI ET AU JOURNAL LE MONDE DÉCLARER QUE C’EST DEPUIS 2003 QU’IL AVAIT EU CONNAISSANCE DE CETTE CASSETTE QU’IL AVAIT APPORTÉE LUI-MÉMÉ AUPRÈS DE OKEMBA. ET DONC PAR TRANSITIVITÉ AUPRÈS DE SASSOU ? ? ?aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaamafimba-6394364

Pourquoi ne lui demandez-vous pas où avait-il eu cette cassette ? Quant à moi avec qui, le Général, voulions casser la gueule à Sassou Nguesso, n’étais même pas au courant. Il est d’ailleurs ingrat car il m’aurait au moins téléphoné pour me dire que nos amis blancs nous avaient trahi et on aurait pris le devant pour voir comment ensemble, nous pourrions contourner l’obstacle comme je l’ai choisi Moi MOUDILOU pour contourner l’obstacle qui est Sassou Nguesso à ces élections ?

PEUPLE CONGOLAIS QUE JE PRENDS A TÉMOINS, VOUS VOYEZ COMMENT LES NORDISTES COALISES, ONT TOUJOURS PROCÉDÉ POUR NOUS DISTRIBUER LA MORT ? ILS INVENTENT LE COMPLOT, ILS L’EXÉCUTANT ET ACCUSENT LES SUDISTES.

Leur comportement compromet tout. Je dis bien tout. Car on n’est pas président si on n’a pas encore été élu. On ne bombe pas le torse quand on n’a pas encore traversé le fleuve. Sommes-nous devant un parricide ou le parent tue son propre fils ? Mandzimba Marion le juriste, tu devrais expliquer ce mot trop savant à tes frères et sœurs nordistes qui n’ont pas fait le Droit notamment à MAFIMBA qui voulait encore chanter comme hier « BAKONGO BA BOMI MARIEN ».

Voyez-vous quand on arrive à ce point là, on préfère faire comme le singe qui, ne pouvant attraper un fruit qu’il convoite, dit aux autres, qu’il est amère. Je le fais pour assurer mes arrières. Car j’ai mon fils de 5 ans qui est complètement abattu quand il a vu sur son ordinateur que son Père qu’il aime tant était devenu un « WANTED la même photo que son Père avait connue en 1977 quand ils recherchaient Yves Motando à ramener : « MORT OU VIF ».

Qu’ils accusèrent d’avoir abattu le Président Marien Ngouabi. Et curieusement lors du Partage du Gibier qu’ils avaient ramené de la Chasse, Yves Motando présumé assassin de Marien avait lui aussi eu sa part dans le grand partage : il sera nommé : Chef civile et Militaire de la zone autonome n° 2 de Pointe Noire.

Peuple congolais, ne voyez-vous pas le ridicule vexant de ces gens là ? J’ai attendu une semaine un moindre coup de fil d’eux qui se sont appropriés de la paternité de mon travail. Qu’ils m’appellent au moins pour s’excuser et me réconforter mais rien de tout ça. Seul un seul de tous les Nordistes mon grand Frère OTTA William qui ne comprenait rien d’ailleurs de tout ce qui se disait sur la toile. Et quand je lui ai tout expliqué, il a failli tomber raide-mort.

Quant à mon Frère le Coordinateur Marc MAPINGOU à qui j’avais donné mon lien de l’Elysée pour alerter Madame Hélène Légale Conseillère du Président François Hollande qui lui demanda de faire un mail à l’intention du Chef de l’Etat, mail et qu’il fit devant moi-même et que saisissait Isaac Sengha Djoumali, que je vis pour la dernière fois, voila que ce Frère Marc MAPINGOU m’abandonna à mes soucis. Est-il dans le complot, je ne peux plus en douter. Et quand je l’eus appelé moi-même et lui laissé un message, jamais il ne m’a rappelé.

A ce moment là et ce seul moment, j’ai décidé de riposter car en politique, il ne faut jamais accepter d’encaisser les coups de tes adversaires, ils peuvent être mortels. Donc il faut toujours rendre les coups pour les coups et ne jamais faire comme Jésus qui, se faisant gifler de la joue droite, tendit la joue gauche pour s’en envoyer une plus forte.

Les jeux des NORDISTES, frères et sœurs du Sud, il faut dès cet instant bien réfléchir car dès que vous les aurez envoyés au Palais, trois jours après, ils vont vous déporter dans les forêts comme ce 18 décembre 1998. Donc ma conclusion émane du Pool.

“ZABAKENO LUKAYA LU BA KANGUILA KA MUNGUA”

Car la terre promise pour notre Moïse peut devenir une hypothèque et une compromission. Et jamais on n’a gagné un match avant la fin du coup de sifflet de l’arbitre. car pour passer au deuxième tour, il faut des vraies qui puissent se faire entendre.

« WO NATAKA MEKI KA TOMBA KA MPAKA KO”

J’en ai terminé pour le moment. J’attends la suite des évènements.

A Paris le 26 février 216.

aaaaaaaaaaatgmoudilou-6753263Maître Tony Gilbert MOUDILOU

Le Premier ministre du Gouvernement congolais en exil.