LE CONGO ET LE GABON DEPUIS 1992 À 1997 ÉTAIENT DANS L’UNITÉ MORALE ET ENSUITE D’EFFRITEMENT EN EFFRITEMENT JUSQU’À LA RUPTURE DU COUP D‘ÉTAT SALUTAIRE DU 30 AOÛT 2023.
LE CONGO ET LE GABON DEPUIS 1992 À 1997 ÉTAIENT DANS L’UNITÉ MORALE ET ENSUITE D’EFFRITEMENT EN EFFRITEMENT JUSQU’À LA RUPTURE DU COUP D‘ÉTAT SALUTAIRE DU 30 AOÛT 2023.
Par
Fernand Mathias Ndalla
Fernand Mathias Ndalla
L’inattendu est venu comme dans un champs en ruine dominé par une famille depuis un demi-siècle, cette famille, ce sont les Bongo de père en fils faisant du Gabon une propriété privée acquise par le soutien politique de la France. Le Gabon, ce gendarme de la France en Afrique noire était le bastion agressif des régimes qui avaient tournés le dos à l’Élysée. Ainsi, le commencement vint par la guerre du Biafra avec Ojuku qui fit sécession du Nigéria et soutenu par la France dont le Gabon fut le rempart de la subversion (1966 et 1966, un grand drame de réfugiés à l’époque). Bernard Kouchner avec son organisation » Médecins sans frontières » fit les premiers pas pour acquérir la notoriété. Bob Denard s’y était établi pour en faire une base arrière de la subversion contre le Communisme. Et les rapports très étroits avec la Rhodésie de IAN SMITH et avec l’Afrique du Sud de JOHAN VORSTER. Le Gabon devint le laboratoires des investigations des complots contre les régimes à option communiste. En janvier 1976,des mercenaires venant du Gabon par avion atterrirent à l’aéroport de Cotonou pour vouloir renverser le régime de Matthieu Kérékou. Cette tentative échoua au milieu d’un bain de sang. Maurice Robert, ambassadeur de France à Libreville orchestra les scénarios de déstabilisation de l’Afrique communiste. Les mercenaires de toutes les catégories déambulaient au Gabon en toute liberté sans inquiétude dans les rues de Libreville et ses environs en marchant en toute impunité. C’était le Gabon du père Bongo qui incarnait cette Afrique noire francophone sous contrôle de l’Élysée où l’avis d’Albert Bernard Bongo comptait beaucoup en participant au retour des maudits au pouvoir comme c’est le cas au Congo-Brazzaville, l’ancien président de la République du Congo était revenu au pouvoir en octobre 1997 par l’aval d’Albert Bernard Bongo. Car avoir une fille aînée se marier avec un président de la République du Gabon était un gage de retour au pouvoir. Ce qui fut fait le 15 octobre 1997, un coup d‘état renversa Pascal Lissouba qui ramena le Congo-Brazzaville dans une impasse politique et constitutionnelle. La démocratie à l’agonie n’avait plus de défenseur pour défendre sa cause, car tous les partis avaient pris pour option la guerre.
Depuis l’avénement de la démocratie en 1991, la Conférence Nationale Souveraine du 25 Février 1991 inaugure une nouvelle ère politique qui ouvre à la liberté politique dans toutes ses formes. Le Parti Congolais du Travail va perdre le monopole politique sur tout et va devenir une organisation pure et simple sans exclusivité sur l’État. Le principe d’Égalité met ce parti dans une position sans domination exclusive sur les autres partis et le principe naturel de compter sur ses propres forces pour exister sans effet de primauté politique à l’égard des autres. Le château politique s’écroule, les nouveaux partis vont prendre la place de l’ancien dont le rôle était dirigeant et dictant la voie à prendre. Les élections municipales, législatives, présidentielles vont changer la nouvelle donne d’une compétition nationale et non régionale, car l’impréparation des nouveaux partis vont restreindre l’espace national au profit du régional. La région devient la revendication suprême du pouvoir en écartant la Nation qui est le Modèle à exclure et à combattre. Un concept du parti régional appelé UPADS (Union Panafricaine pour la Démocratie Sociale) pour nom sans vocation panafricaine, ni démocratique, ni sociale va ronger l’espace national et obliger les autres partis à prendre la même direction régionale pour mettre fin à la démocratie inaugurée en grande pompe le 25 février 1991. Les majorités issues des différentes élections de mars, juin et juillet 1992 vont accoucher aux disputes et ses majorités seront des éléments de discorde du pays au lieu de consolider la démocratie voulue par le peuple. L’UPADS et le PCT (Parti Congolais du Travail) vont briser leur accord de majorité au parlement pour gouverner ensemble. L’UPADS va perdre la majorité issue des Urnes au profit d’une majorité circonstancielle sortie de l’Hémicycle de l’Assemblée nationale. Pour la majorité triomphante issue des élections de 1992. Cela apparaîtra comme un Coup d’état démocratique. Le jeu de Tito tire Nama va commencer qui va gagner ce jeu dupe sentant l’odeur du pétrole ,car ELF AQUITAINE va être le Maître du Jeu, qui va diviser les partis politiques et non la conviction d’un un Idéal Politique, qui va relever le pays en ruine après 27 ans de monopartisme, et de Douze ans de gestion chaotique par Denis Sassou Nguesso, par hégémonie nordiste et tribale. De contre la gestion tribale nordiste, une gestion aussi tribale des trois régions constituées dans un modèle aventureux et tribal appelé NIBOLEK (Niari, Bouenza, Lékoumou) vont montrer un visage autocratique contre le chemin de la Libération du Congo-Brazzaville du Danger de la Division en parcelles du territoire. Une crise de toutes les notions modernes de la gestion de l’État vont apparaître au grand jour. Le Citoyen qui semblait sauver le pays de la barbarie va être persécuté au profit de l’aveugle de celui qui ne sait rien de la Démocratie. Le pays va rentrer dans des guerres atroces et meurtrières en juillet 1993 et décembre et janvier 1994. De la guerre du 5 juin 1997 au 15 octobre 1997 qui va achever cette démocratie à l’agonie depuis Septembre 1992.
Et le Gabon va être au Centre de la tragédie de ce Congo-Brazzaville qui croule dans un chaos de fin d’un Monde en n’oubliant pas que Denis Sassou Nguesso avait une réserve matrimoniale comme placement dans une banque à long terme au nom d’Édith Bongo qui va sauver son père Denis Sassou Nguesso de la Déchéance Civile et Civique. Elle va devenir, celle qui va diriger l’opposition morale, financière, militaire du retour au pouvoir de son père au Congo-Brazzaville.
1 – L’ALLIANCE MARITALE DE LA FILLE À DENIS SASSOU NGUESSO AVEC OMAR BONGO VA REMETTRE LE BANNI À LA TÊTE DE L’ÉTAT CONGOLAIS.
Dans le document rédigé par Maître Aloïse Moudileno Massengo au titre de la CONFERENCE NATIONALE ET DE LA PÉRIODE TRANSITOIRE NUMÉRO 48 de Juin 1990 – FRONT COMMUN. Maître Aloïse Moudileno Massengo, nous enseigne la Prudence, une des grandes vertus du démocrate, et de la Sagesse pour sortir d’une délivrance et construire le nouveau, dans un cadre entouré de vigilance de la fragilité de ce qu’on vient d’établir avec difficulté et tact, en parlant des partis qui vont concourir à cette nouveauté et Espace de Liberté difficilement retrouvé. De la page 13 à 14, son opinion devient sacrée en se référant de cette expérience chaotique que nous connaissons : << Sécuriser les partis politiques. Il dit ceci : Une fois enregistrée tous les partis remplissent les conditions minimales spécifiées ci-dessus, la Conférence Nationale prend un certain nombre de mesures en vue de leur sécurité :
– Sécurité matérielle d’abord en versant à chaque parti une aide (financière) d’établissement (cette aide sera versée une seule fois et sera d’un montant identique pour tous les partis) ; en assurant la protection des sièges des partis ;
– Sécurité morale ensuite en garantissant leur libre activité ; en veillant à ce que tous aient le même traitement sur les antennes de la radio et T.V. ainsi dans la presse gouvernementale.
Ce point est très important compte tenu de la façon particulière dont sera organisé le jeu démocratique au cours de la Transition. En effet, il va de soi qu’au début les partis ne se lanceront pas dans une campagne de recrutement sur le terrain, c’est-à-dire en parcourant le territoire national. Leur campagne d’information sur leur programme ou objectifs ainsi que d’adhésion, ils le feront sur les antennes de la Radio et T.V. (quitte à ce que la grande campagne finale – pour les élections – se déroule de façon plus classique). La Conférence Nationale et la Période de Transition devront se protéger elles-mêmes car << c’est lorsqu’elle est à l’état de poussin que la volaille est en péril >> (adage africain). Serpents, éperviers… bref les dangers peuvent surgir de partout.
Les derniers événements de Roumanie, du Zaïre nous confirment que la démocratie (multipartisme) reste hautement fragile et ces prédateurs ne sont pas sérieusement éloignés de son berceau. Le premier de ces prédateurs restent le Démon qui a été chassé des lieux c’est-à-dire la Dictature. Là aussi, nous sommes prévenus depuis 2000 ans : << Lorsque l’esprit impur est sorti de l’homme, il erre par des lieux arides en quête de repos, et il n’en trouve pas. Alors il dit : << Je vais retourner dans ma demeure, d’où je suis sorti. >> Etant venu, il la trouve libre, balayée, bien en ordre. Alors il s’en va prendre avec lui ; ils reviennent et y habitent. Et l’état final de cet homme devient pire que le premier. >> (Matthieu chapitre 12 ; verset 43, 45).
Ainsi, la Conférence Nationale et la Période Transitoire devront bien avoir à cœur la question de la protection de la démocratie naissante – c’est une question de vie. >> Nous avons vu l’intensité de la pensée d’Aloïse Moudileno Massengo comme celle qui devait être à la base de celui qui devait conduire le Navire pour la traversée du fleuve d’aller à une autre rive. Où la terre nouvelle offre au persécuté d’hier un nouveau sens de la vie. Vivre dans la Loi comme forme d’Égalité dans la vie de tous les jours, celui de changer le quotidien de chaque personne, hier ignorée par la dictature. Ces personnes qui refusent d’être privées de leurs droits humains et fondamentaux. Mais la période transitoire courte qui commença le 10 juin 1991 et arriva à sa fin en Août 1992 par l’élection d’un homme Pascal Lissouba qui mis fin à la démocratie, le 16 août 1963, et réitéra sa volonté propre d’assassiner Lazare Matsocota, Joseph Pouabou, Anselme Massouémé des crimes crapuleux qui divisèrent les congolais. C’est un homme qui était radical qui avait donné les armes aux jeunes par la création de La Défense Civile groupement paramilitaire au profit d’un gouvernement illégitime venu par un coup d’état en renversant les Institutions Démocratiques de 1961 qui proclamaient une démocratie intégrale. En Juin 1992, Pascal Lissouba, les mains dans le sang et la conscience coupable d’avoir fait liquider Lazare Matsocota et devenir le libérateur du peuple congolais de la dictature de Denis Sassou Nguesso, dont c’était son allié contre la Transition et la Démocratie qui avaient mieux fonctionnées sous André Milongo, que les cinq ans chaotiques de Pascal Lissouba venu redonner du poil à Denis Sassou Nguesso. Le bilan chaotique de Pascal Lissouba avait redonné à Denis Sassou Nguesso de la vigueur en se situant au Centre de la vie publique caressant le chou et la chèvre. Car celui qui libère un peuple est pur d’aucun crime contre ses concitoyens et devient l’homme qui vient accomplir le projet d’aller dans une terre nouvelle où coule le lait et le miel. Le libérateur d’un peuple est celui qui n’a pas de péché, et qui ne porte le fardeau de la méchanceté et du crime contre leur peuple. En septembre 1992, lors de la Motion de Censure contre le gouvernement de Bongo Nouara, il y a eu la guerre entre Pascal Lissouba et Denis Sassou Nguesso via Bernard Kolélas qui n’avait rien compris de l’enjeu démocratique en se mettant avec le déchu de plus de douze ans au pouvoir, qui avait mené le pays dans la merde. Bernard Kolélas avait le fardeau d’avoir été un infidèle envers le président Fulbert Youlou en dissimulant avec le député Azoumé l’argent envoyé par Félix Houphouët Boigny à Fulbert Youlou dont le président François Tombalbaye était le transmetteur. Sur les trois millions de Fcfa envoyés, les deux avaient subtilisé deux millions cinq cent mille francs Cfa et ne remettant que 500.000F Cfa à Fulbert Youlou. Bernard Kolélas est celui qui en 1968 fut amnistié par Marien Ngouabi, et par l’intervention de Maître Aloïse Moudileno Massengo fut nommé encore Secrétaire Général aux Affaires Étrangères comme sous Youlou et une année après, il trahit son engagement. Tous les acteurs qui se sont mis au devant de la démocratie renaissante des Impurs qui vinrent tuer la liberté repris avec souffrance à Denis Sassou Nguesso. La démocratie sous Pascal Lissouba était encore au cachot. Denis Sassou Nguesso se vit apparaître comme l’homme de la situation pour renverser Pascal Lissouba.
2 – LE POINT CRUCIAL ÉDITH BONGO DEVINT LE SECOURS DE DENIS SASSOU NGUESSO EN METTANT OMAR BONGO AU PREMIER PLAN.
Le Gabon va devenir le laboratoire de l’esprit impur qui avait été chassé par la Conférence Nationale et revenu petit à petit par Pascal Lissouba lui même impur et malhonnête de parler de la démocratie sans l’aimer et fossoyeur de celle-ci, le 16 Août 1963. Omar Bongo va être celui qui va arbitrer le beau-père Denis Sassou et Pascal Lissouba frère tribal de proximité sous tribu des Batékés les Nzabis (tribu de Pascal Lissouba). Car Omar Bongo a beaucoup fait pour Pascal Lissouba qu’il fut libéré en 1977, condamné pour travaux forcés avec participation avec le président Alphonse Massamba Débat à l’assassinat de Marien Ngouabi. Omar Bongo est le garant de Pascal Lissouba qu’il fait nommer dans le quota gabonais à l’UNESCO en particulier au PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement), dont il va jouir jusqu’en 1992, pour être candidat à l’élection présidentielle congolaise de juin 1992. Omar Bongo liquida tout le reliquat que le Gabon devait à Pascal Lissouba pour sa retraite, et le montant était de 90 millions de Fcfa qu’il remis à l’intéressé. À la direction nouvelle de l’UPADS dont les chefs affamés Moukouéké Christophe, Mbéri Martin, Victor Tamba Tamba et Moungounga Nkombo Nguila se disputèrent sans que le nouveau parti en prenne jouissance. De l’accord signé avec Elf-Aquitaine entre Denis Sassou Nguesso et Pascal Lissouba pour gouverner ensemble sous l’égide d’Omar Bongo. Omar Bongo était le protecteur des deux acteurs impurs de la vie politique congolaise, mais le cœur d’Omar Bongo pencha plus chez Denis Sassou Nguesso parce que Édith Bongo partageait le lit conjugal avec Omar, et la pression amoureuse donna le privilège au beau-père qui fit de ce privilège un rempart pour le renversement du régime de Pascal Lissouba qui ne tient pas sa parole changeant par coup de vent. Le Gabon devint le refuge impur des démons qui devaient s’échouer au Congo-Brazzaville. La destruction de l’État comme Être supérieur au profit d’une famille comme les Bongo. La prise en main de toutes entreprises. Et la création d’une dynastie à l’image des Bongo. Sodomisation des hommes et femmes pour la nomination aux hauts postes de l’État, le sexe devient le mot fort de la distribution des postes, des marchés publics, tribalisme et népotisme. Pillage des ressources de l’État au profit d’un clan et thésaurisation des finances publiques dans des maisons privées. Dégradation des mœurs et violences régulières sur la population. L’opposition est mutilée et corrompue et n’existe que pour faire semblant de lutter et la nuit cette opposition se transforme en relais du pouvoir. En novembre 1996, Omar Bongo après le cinquantième anniversaire de la création des Nations-Unies, à son retour de New York, va inviter toute la Françafrique au Pré Catalan, au Bois de Boulogne pour fêter sans le dire le Coup d’état qui va ramener Denis Sassou Nguesso, qui va recevoir ce jour-là les honneurs d’un Chef d’État en exercice. Même l’Ambassadeur du Congo à Paris, Monsieur Niangoula était ce soir-là de la partie, manifestation qui entérinait l’abdication de Pascal Lissouba, 15 octobre 1997. Le régime de Pascal Lissouba tomba, puis en exil et vint le Gabonisme à la congolaise dont Édth Bongo devint la Vice présidente du Congo-Brazzaville en devenant un grand propriétaire terrien et constructeurs immobiliers et le Congo privatisé. La toute famille Denis Sassou Nguesso dans tous les secteurs de la vie publique congolaise. Le Congo-Brazzaville devient un deuxième Gabon et le pays croupit dans la grande misère. Le président Denis Sassou Nguesso totalise des enfants d’un nombre actuellement de 41 gosses avec manières insensées d’abuser de toutes les femmes du pays. Et Omar Bongo a laissé 45 gosses en vie et pose le problème de la succession financière de ses descendants. Mais tout abus à une fin et le Gabon qui était celui qui ne bougeait et secouait le cocotier vient de sortir du règne cinquantenaire de la famille Omar Bongo. Le pouvoir n’est plus un privilège d’un clan et le peuple est le nouveau maître des lieux du pouvoir. Le Gabon sort de l’impureté qui a contaminée le Congo-Brazzaville dont les patriotes africains saluent et demandent l’extension au Congo-Brazzaville dont a été son laboratoire d’impureté.
3 – LA RUPTURE DE CONCEPTION ENTRE LE GABON ET LE CONGO-BRAZZAVILLE COMME LE SIGNE D’UNE AFRIQUE DE LA PURETÉ.
Oui, le Gabon ne veut plus du Bongonisme qui a trahi le Gabon dans sa dignité. Le Bongonisme avait pris le Gabon en otage en faisant du pays sa propriété et le gérer par ses caprices personnels. Car le modèle de la dévolution du pouvoir entre fils est caduque et le peuple a repris son pouvoir légitime. La notion de la souveraineté du peuple vient montrer aucun homme ne peut s’accaparer du pouvoir en son nom personnel pour s’arroger des leviers de tout le pays. Le parrain gabonais a abandonné le Bongonisme politique qui fait de l’homme un sujet esclave sans droit dans la servitude. Le Gabon vient d’enterrer le mauvais et d’appeler le retour de tous les réfugiés politiques au pays natal et d’effacer. Le Congo-Brazzaville devient le grand orphelin sans père et celui qui veut perpétuer ce qui vient d’être nié aux yeux de tout le monde. Le Congo est en sursis politique et ne peut s’entêter à vouloir parler de sa légitimité née avec la mort d’un candidat à la course présidentielle dont les gens ont reconnu avoir battu Denis Sassou Nguesso. Car l’armée au Congo-Brazzaville est tribale et ne peut mettre fin au mal dont Denis Sassou Nguesso est le Mal qui gangrène le Congo-Brazzaville. La secousse gabonaise a déjà fissuré le pouvoir politique congolais qui n’a plus à un sauveur. Le temps est pour le peuple congolais de recouvrer sa Souveraineté nationale comme à la Conférence Nationale, qui lui avait permis de prendre des mesures salutaires qui rameront la Renaissance et la la Résurrection de l’Esprit et de l’Âme du peuple congolais. Denis Sassou Nguesso ne tarde pas trop, car le temps n’est plus en ta faveur et l’Injustice que tu représentes n’a plus de chemin et que l’Arme ne te trompe comme ta Stabilité. Car les militaires sont fatigués de te garder pour perpétuer la misère du peuple. Quitte avant que le pouvoir te quitte, toi et ton clan qui ne vaut rien.
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