Le génie criminogène de Sassou Nguesso: diviser pour mieux régner

Incroyable, comment vous le dire encore, vous autres Kouyous, Mbochi, Bangangoulous, Makoaens, et tous les autres,  Mombondzo, Moyi to Batéké : qui ne voulez pas voir et comprendre l’homme et son clan qui ne cessent de se moquer de vous qui croyez qu’être originaires du Nord du pays ne fait pas de vous des Congolais qui ont honte de la façon dont est géré le Congo et surtout, du traitement réservé au 99,99% de sa population! Yango, nini ba léyisa bino po bo sutuka té ?

Depuis son retour aux affaires il y a bientôt 16 ans, le Congo compterait paraît-il par gonflement : plus de quatre millions (4.000.000) d’habitants contre les 2.300.000 recensés entre octobre 1996 et avril 1997. De cette population, on dirait sans se gêner que plus de 60% serait des chômeurs sans qualification d’emploi, l’administration ou le secteur public étant le plus gros employeur, malgré son budget arrêté à la somme de plus de 4000 milliards contre 1000 milliards pour la RDC qui compte plus de 70.000.000 d’âmes. Dès lors, Denis Sassou Nguesso a- t-il vraiment un cœur de chair comme vous et moi? Oui, il nous démontré combien il était aussi vulnérable que tout autre humain, le 14 mars 2009. Mais pour aider une fois de plus ces Congolais qui ne se reconnaissent que originaires du Nord à mieux intégrer le pays et devenir des véritables patriotes comme Marien Ngouabi qui s’était vite ressaisi, mais un peu trop tard parce que n’ayant pas mis de l’ordre dans son régionalisme qui l’a finalement assassiné : essayons de voir qui est vraiment Sassou Nguesso.

En 1977, un groupe de compatriotes s’identifiant comme originaires du Nord du pays délimité par la rivière Alima à la rivière Kouyou s’est réuni à Brazzaville pour mettre fin à la volonté de Marien Ngouabi de remettre le pouvoir aux Bakongo reconnus bons gestionnaires, c’est à dire à Massamba Débat qui était attendu le 18 mars après l’audience que Marien Ngouabi accordait au BON CARDINAL ÉMILE BIAYENDA. Ce sont Sassou Nguesso, Jacques Okoko, Lékoundzou, Denis Ibara et quelques intruts : comme Assemekang et Raymopnd Damas ngolo sans oublier l’éternel naïf boukouteur Jacques Yhombi Opango en vacances à Owando farouche opposants aux Bakongos plus instruits et diplômés qu’eux. Ils s’inquiétaient des possibilités de perdre tous les privilèges acquis sans tenir compte des normes administratives et de l’éffet de yaka noki noki. Voilà comment étaient désignées les manipulations tribo-régionalistes pour égaler le nombre de cadres du Sud qui ont connu la scolarisation avant eux, tout ceci sous le génie d’un homme appelé Denis Sasou, ce virus du mal congolais avant de devenir Sassou Nguesso, parce que n’ayant pas le même père que ses frères ainés Abenzé et Maurice. Tous ces grands Nordistes qui se réclamaient parent de Marien Ngouabi ne savaient rien de ce qui se construisait dans Sassou, l’homme-femme.

Qui pouvait prévoir les conséquences de telles manipulations du génie criminogène de Sassou Nguesso? Quelques véritables Kouyous comme Pierre Anga n’avait pas manqué d’alerter Joachim Yhombi Opango des scénarios que pouvaient leur faire voir l’initiateur du projet d’assassinat de Marien Ngouabie, Denis Sassou Nguesso, mais en vain. Cette alerte restée pourtant pour tout Kouyous pure laine, une importante valeur symbolique : n’est pratiquement pas pris en compte par ces derniers qui se comportent comme les Laris du Pool qui ne cessent de se faire humilier par leurs enfants qui ne veulent pas voir le martyr qu’ils ont subi, parce que devenus sapelogues sous la direction de Alain Akouala, ministre au pouvoir qui a adhéré à leur religion sociétale.

En effet, l’assassinat du commandant Marien Ngouabi qui a entrainé celui du Bon cardinal Émile Biayenda et du président Alphonse Massamba Débat dont on a toujours pas les restes démontre le génie criminogène de l’enfant de l’Alima qui a connu son premier crime entre 7 et 10 ans en poussant à la noyade son ami avec lequel il était allé à la pêche à la ligne. Ces compatriotes originaires du Nord qui avaient convenu se partager le pouvoir rien que pour le Nord à tour de rôle, ont fini par se rendre compte que Sassou Nguesso les avaient vraiment entubés avec le coup d’état et l’emprisonnement durant 10 ans de Jacques joachim Opango, pour le lâcher entre 1990 et 1991 suite à la mort par accident terroriste de l’avion d’Air Afrique au cours duquel Bokamba Yangouma avait perdu sa fille aînée, l’une de mes premières élèves à Mafoua Virgiles et surtout, de la mort par empoisonnement d’Yvette Mbongo épouse de jean Marie Michel Mokoko qui l’avait échappé pour avoir inversé les tasses.

Ayant favorisé la tenue et la réussite de la Conférence Nationale Souveraine, nos compatriotes originaires du Nord ont convenu avec la majorité de leurs frères soit disant originaires du Sud , de la restauration des symboles de l’Indépendance que j’ai initiée dès les premiers de la CNS et de la Démocratie pluraliste. Tous, nous reconnaissons qu ‘une éthique devait baliser le nouveau pouvoir. Malheureusement, le génie criminogène de Sassou Nguesso fini par avoir raison de Lissouba Pascal et surtout, de Bernard Kolélas qui a accepté d’expérimenter le système des cobras par ses nijas contre la jeune Démocratie que voulait expérimenter le premier président démocratiquement élu. C’était la première façon de Sassou Nguesso de diviser appelée à l’époque: BA TOUTANA, BA TOUTANA BANGO NA BANGOÉÉÉ, BA KONGO ZOBA, encouragée par Mbéri Martin faisant le jeu de son maître Sassou.

Contre cette stratégie funeste, des jeunes de la classe nouvelle politique composée de Mbiki De Nanitélamio du RPR, Marcel Makomé du PLC, Jean Blaise Lokolo du MCDDI, Jean valère Mabiala Mapa du CD, Déngamoué et et Pierre Ngolo de l’UJSC: ont dévélopé une autre vision à travers le FORUM DE LA JEUNESSE qui sera malheureusement maîtrisé par Tamba Tamba qui avait réussi à acheter la conscience de certains initiateurs et convaincre Tchibambeléla du MCDDI avec lequel ils ont conduit le train de la Paix des pays du Niari et du Pool. Perdu et n’ayant plus la maîtrise de la situation, Sassou Nguesso fuit et s’exile pour aller préparer sa guerre coup d’État. Durant 2 ans, le virus Sassou Nguesso s’intègre à celui du pauvre multinational colonisateur de la France Elf.

Le génie criminogène de Sassou Nguesso a donné des résultats impressionnants à cause du pauvre super premier ministre de Yhombi Opango qui n’a pas pu le maîtriser et surtout du tonitruant Jacques Okoko qui lui a donné l’occasion en or qui l’a permis de déclencher la guerre coup d’État qu’attendait impatiemment Jacques Chirac qui venait d’avoir un complice socialiste, Lionel Jospin qui pouvait pourtant le contrecarrer. Nous sommes tout à fait au début du génocide contre la population du Pool qui se déclenchera le 18 décembre 1998 après la débâcle du régime de Pascal Lissouba trahi par: Mbéri Martin et Munari qui rejoignent le rebelle Sassou et ses mercenaires, la fuite des généraux Mabika et Mayoulou suivie du Ministre de la Défense Tsaty Mabiala et de Moukouéké et Tamba Tamba qui rejoindront le vainqueur de la guerre coup d’état du 5 juin 1997.

Du point de vue tribaliste du génie, le résultat est plus qu’honorable. Il faut toutefois mentionner le succès de la vedette qu’il est devenu depuis qu’il a présenté le « BAKONGO » du Pool comme étant le fameux ennemi le mieux identifié des ressortissants du Nord même si tout ressortissant du Sud est considéré de Moukongo en présence d’un ressortissant du Nord. Ils sont tous issus du royaume Kongo du Pool jusqu’au Kouilou. Or, les ressortissants du Nord ne sont devenus des frères  et bienfaiteurs que par intérêt pour la consommation. Ils ont transféré la bonne gestion de la chose publique en héritage familiale sans en respecter les normes qui peuvent produire la qualité mettant le citoyen à l’abri de toute pénurie.

Jusqu’à aujourd’hui, Sassou Nguesso n’est pas vraiment parvenu à se départir des maladies génétiques dont ils souffrent pour prétendre prendre une retraite qui pointe à l’horizon. Il faut cependant souligner l’attitude de nos compatriotes qui continuent à croire qu’ils vivent dans le Nord alors qu’ils sont dans le Sud, au Congo Brazzaville où le génie criminogène de Sassou Nguesso continue à les entretenir comme des esclaves depuis qu’il a comme réussi à les hypnotiser à ne suivre que la franc-maçonnerie qui a endommagé l’un des nombreux facteurs responsable de libre conscience.

La plupart de nos compatriotes du Nord ne raisonne maintenant qu’en Sassou le démolisseur, parfois comme s’ils étaient porteurs du même virus que lui. Logiquement, c’est pas directement réalistes, mais pourquoi ne s’en rendent-t-ils pas compte aujourd’hui où ils savent tous que les BAKONGO ne sont pour rien dans ce que veut toujours leur faire le Khani de l’Alima qui n’a fait que tuer le Congo tout en entier au lieu que des BAKONGO?

Mes chers compatriotes, Nordistes et supporters de Denis Sassou Nguesso ou supporters, ngonguis, faux profil du réseau facebook ou hameçons du pouvoir qui est entrain de mourir par sa propre mort : le CONGO EST NOTRE HÉRITAGE COMMUN. Cette définition convient bien à ceux qui se reconnaissent comme originaires du Nord ou du Sud. Tous n’avons qu’un seul souci éthique qui nous évitera les débordements que Sassou et son clan sont entrain de nous faire miroiter et que nous craignons pour leurs propres intérêts: LEVONS-NOUS, UNISSONS-NOUS ET DÉFENDONS CE SOUCI ÉTHIQUE D’INQUIÉTUDE DE LA RÉCONCILIATION ET DE L’UNITÉ DE NOTRE NATION.

MBIKI DE NANITELAMIO