« S’abstenir c’est accepter une progéniture qui croit que la démocratie est une affaire clanique et familiale se régénérant perpétuellement. » JCB
A quelques jours des élections législatives et au regard du tripatouillage de la loi électorale, beaucoup se posent la question de l’utilité d’aller vers des élections, manifestement, biaisées d’avance. Depuis le retour par la force du clan SASSOU au pouvoir, la prééminence des parlementaires s’est complètement dégradée au point d’en être qu’une institution de simples avaliseurs des décisions gouvernementales totalement injustes pour les populations. Nul n’est sans ignorer que c’est le Président qui impose sa loi, à travers une assemblée de factice cosmopolite mais agissant totalement dans l’ombre du Président et sous ses ordres. Ce n’est ni l’expression « changement » curieusement revenue, depuis le 4 mars 2012, à la mode sur toutes les lèvres des congolais qui pourrait agir sur les élections dont les candidats pour la plus part sont des «clones» du pouvoir clanique. Ni encore moins le désenchantement passif de certains congolais face à la politique prédatrice actuelle ne saurait aujourd’hui compromettre les velléités hégémoniques du clan SASSOU. Pourtant, le désir du vrai changement prend de plus en plus des allures de rébellion contre « le chemin d’avenir » transformé avec ses multiples échecs en « chemin de la déception » pour les uns et « chemin de la mort » pour d’autre ». Faut-il tout laisser au Clan SASSOU ?
La campagne 2012 avec des candidats qui labourent à coup de millions de FR CFA, le terrain pour recueillir les adhésions à une politique dilapidatrice qu’ils n’ont d’ailleurs jamais récusé ne passionne pas les congolais. Pour certains la participation à cette élection législative de 2012 n’est même pas envisageable, car ce serait s’engager à soutenir une mascarade. Ce qui se révèle de jour en jour comme une certitude irréfutable; l’abstention, devient pour eux l’arme de la revendication populaire pour le vrai changement. Serait-elle suffisante pour enrayer la nébuleuse des députés qui favorisent la descente dans les abimes les plus obscurs et régressifs du sous développement un pays qui de plus en plus est ravalé au rang d’un bête «régime clanique» ?
Pour d’autres, cette méthode a déjà servi en 2009. L’on se souviendra que les élections locales de 2008 et la présidentielle de 2009, boycottée par la plus part des partis d’opposition n’avait pas pour autant empêcher M. SASSOU de s’imposer comme le seul leader d’une démocratie bâillonnée. Même avec un taux d’abstention record, plus de 95%, M. SASSOU s’est imposé, contre la volonté du peuple, comme un président « élu ».
S’abstenir de nouveau serait accordé une opportunité en or pour les députés du PCT dont pour beaucoup sont loin d’être des modèles représentatifs du peuple. Ça serait également introniser les filles et fils du clan pour que demain se régénère le pouvoir clanique de SASSOU. Pour ceux qui l’ignorent le PCT a désigné Christel NGUESSO, 38 ans, membre du directoire de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) se présentera sous les couleurs du PCT à Oyo, fief du chef de l’État, à plus de 400 km au nord de Brazzaville. Claudia SASSOU, 40 ans, conseiller en communication et aux relations publiques à la présidence de la République, sera candidate à Talangaï, 6e arrondissement de Brazzaville, également pour le PCT. Hugues NGOUELONDELE, actuel maire de Brazzaville, se présente à Gamboma (centre), toujours pour le PCT.
S’abstenir de participer de quelques manières qu’ils soient serait accepté que demain vos représentants à l’assemblée nationale soient les CLAUDIA, CHRISTEL …Voilà une belle manière de cautionner un pouvoir clanique dont les injustices ne cessent de causer des dégâts immenses au sein de la société congolaise. Ce qui était qu’une simple rumeur, une agitation d’esprit devient une réalité, SASSOU organise sa succession comme dans un royaume. Le Congo appartiendrait-il aux seuls filles et fils de SASSOU pour s’octroyer le privilège de briquer les circonscriptions ?
Ne soyons donc pas surpris si demain, le Congo s’enfonce de plus belle dans une dictature en sang et en larmes et dont la dépravation achèvera le peu de dignité qui nous reste. Nous pleurerons encore des morts sans aucune explication plausible ne nous soit apportée ne fusse que pour atténuer nos souffrances. Nous serons encore, comme les années précédentes, soumis à une pauvreté inextricable et avilissante. Nous subirons encore un chômage indignement sélectif pour servir les fils du clan.
Nous avons donc le choix, celui de décider de notre avenir et de notre destin commun. Serions-nous éternellement des serviteurs? Serions-nous fiers, demain, de voir des scènes abominables de cadavres jonchant les rues de Brazzaville fauchés par l’incompétence d’un Chef d’état incapable de protéger son peuple ? Accepterions-nous que notre démocratie soit la chasse gardée des généraux corrompus? Accepterions nous, une fois de plus, d’être la risée du monde lorsque nos hôpitaux manqueront ne fusse que des compresses pour soigner les blessés ?
Le choix du bon sens nous incombe demain de s’engager à rejeter en bloc ce pouvoir de terroristes d’état qui s’érigent en monarque réduisant en esclavage tout un peuple dans son propre pays. Le Congo est pluriel et complexe. Dans cette complexité, on retrouve des femmes et des hommes qui refusent l’exploitation des multinationales aux ramifications scabreuses et douteuses qui sans cesse multiplient les transactions maffieuses, aidées par des hordes nationaux sans âmes, pour maintenir le Congo dans le chaos le plus inimaginable.
Cette obligation du juste choix est aujourd’hui la clé déclencheuse d’une prise de conscience patriotique pour aller vers le changement tant souhaité.
Une opposition girouette et irresponsable
Avant même la signature du décret présidentiel convoquant le corps électoral ce dimanche 15 juillet 2012 en vue du premier tour des élections législatives sur toute l’étendue du territoire national, les manœuvres de diversion, les retournements de vestes sont perceptibles pour bons nombres de partis dits d’opposition qui pour beaucoup se positionnent pour sacraliser le pouvoir clanique. Beaucoup d’entre eux savent qu’ils n’obtiendront jamais le suffrage du peuple mais s’attendent à être désigné par la seule volonté de celui qui les récompense de par la profondeur de leur courbette. L’opération pour ces pseudos partis d’opposition est vite perceptible : tirer profit de la loi du financement des partis politiques en vigueur depuis 2010 et qui permet à chaque acteur présent sur le terrain de tirer des ressources financières substantielles pour sa vie.
Il se trouve que ces mêmes partis d’opposition qui, hier clamaient haut et fort que leur participation à une quelconque élection serait conditionnée par la mise en place d’une: « commission électorale véritablement indépendante » pour la tenue des élections libres, démocratiques et transparentes ; La révision du découpage électoral sur l’ensemble du territoire; Le Recensement d’Administratif.
Ont-ils obtenu gain de cause de toutes ces revendications primordiales? Comme on peut le constater la crédibilité de ces partis est sérieusement compromise. Le peuple en tirera les leçons de ce énième revirement.
Fructifions les pistes du changement
Pour notre part, nous nous posons une seule question: Comment faire de ces élections un tremplin pour amorcer le virage vers le vrai changement? Pour beaucoup de nos compatriotes, la partie serait déjà jouée. Pourquoi donc servir de faire-valoir pour crédibiliser une élection qui est déjà pliée. Peut-on condamner ce genre d’argumentation au regard de nombreuses fraudes et tripatouillages connues dans le passé? Ou encore ce serait une manière inconsciente de fuir ses responsabilités alors que le Congo s’enfonce de plus en plus dans la décadence. Tout porte à croire que les prochaines élections du 15 juillet revêtiront un intérêt que les précédentes n’ont jamais eu car elles interviendront dans un contexte traumatisant ayant engendré la mort de beaucoup de nos sœurs et frères par la faute d’une politique clanique incohérente.
Cette donne n’est pas à prendre à la légère et la volonté de chambouler de fond en comble la scène politique nationale, bousculer éventuellement l’ordre établi n’échappe à aucun des acteurs qui s’apprêtent à investir le terrain politique longtemps plombé par un pouvoir clanique, destructeur et qui a fermé tous les espaces d’expression. La politique de la chaise vide est loin de susciter le réveil des consciences des populations lassée de voir cette nébuleuse clanique s’accaparer à leurs dépends exclusifs toutes les richesses et pouvoirs.
S’abstenir de voter, c’est éternellement accepter d’être spolié et affamé par une minorité. Notre priorité doit se situer dans le combat à s’élever de façon radicale contre une classe dominante et de se désolidariser de ce système clanique qui s’approprie de façon inique les richesses de notre pays. Notre détermination pour recouvrer la liberté et une auto-détermination pleine et entière doit nous amener à s’impliquer de façon radicale dans le combat politique. Une voie et une seule se présente à nous pour recouvrer notre dignité bafouée, celle de la rupture sans condition et la plus prompte possible de cette imposition des pseudos leaders véreux et totalement corrompus pour décider de notre avenir.
Il est plus qu’urgent pour le peuple congolais de briser cette chaine avilissante de domination. Notre émancipation impose des gestes de courage et de rupture clairs, marquant le rejet d’une acceptation béate de cette classe clanique que l’on nous impose depuis 27 ans.
Rejetons en bloc cette hantise (peur) de résoudre cette injustice qui établit sans erreur possible que le clan SASSOU est un ennemi objectif pour le Congo. On ne transige pas avec un gouvernement qui vous cause le plus grand tort, on ne biaise pas avec une classe politique qui par les effets directs ou indirects de ses choix, affame, déshumanise, appauvrit, massacre son peuple.
Comme nous l’avons dit plus haut, le Congo ne se relèvera qu’à travers l’implication de femmes et d’hommes ne vivant pas leur condition d’être humain, ne sacrifiant pas leur avenir sur l’autel d’un pouvoir à bout de souffle. L’exigence de voter pour dire NON au système en place commande une approche congolaise pour une alternative congolaise. C’est dire que le vrai changement auquel nous aspirons ne peut venir que de nous même. S’abstenir c’est accepter une progéniture qui croit que la démocratie est une affaire clanique et familiale se régénérant perpétuellement.
L’histoire nous enseigne qu’avec le recul, le courage, le patriotisme, la méditation et la conviction, on finit toujours par remporter les combats même quand certains ne vous accordent aucune chance de réussir. La difficulté ne réside pas dans le fait de livrer une bataille, mais plutôt d’y croire lorsque la vérité est avec vous. C’est un exercice qui demande beaucoup de sacrifice et d’abnégation.
Le moment est plus que jamais venu de continuer notre combat pour restaurer un véritable État de droit, d’envisager l’avenir de notre pays avec assurance et méthode. Il paraît opportun d’exorciser tous les démons qui freinent l’évolution de notre pays en créant une dynamique cohérente de rejet de la classe politique actuelle.
La jeunesse, la couche dont l’avenir est rendu incertain qui doit le plus prendre conscience de la catastrophe actuelle. Dans celle-ci les compétences ne manquent pas pour faire décoller le Congo afin de le hisser sur l’arène des nations civilisées. Il s’agit de s’impliquer résolument dans la gestion des affaires publiques en dénonçant le hold-up actuel du Clan SASSOU et s’organiser pour préparer une alternance de pouvoir négociée de manière responsable et élégante entre le peuple et ses futurs gouvernants.
Ouvrons grandement les yeux pour aller vers le chemin lumineux du développement et non vers celui de l’égarement. Sachons faire la bonne lecture du débat politique afin de discerner les aspects de division et les aspects d’unité, ceux de l’escroquerie politique et du dévouement patriotique, de l’incompétence à l’exemplarité. Ainsi s’abstenir, serait condamné le Congo.
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Le PCT affiche complet sur tout le territoire : 139 candidat(e)s dont 19 femmes candidates.
BOUENZA
Boko-Songho : Eugène Mbanzoulou / Jean valentin Kibangou
Kayes : Michel Bidimbou / Baboka Ngoï
Kingoué : Jean Sibaly / Antoine Kimpé
Loudima : Denise Ngoma / Gisèle Mabiala
Madingou : Placide Moudoudou / Damba née Mayouma Sidonie
Mabombo : Marcel Kalla / Benoit Kikayi
Nkayi : Emile Mabonzo / Eugène Victor Kiminou
Mfouati : Laurent Kollo / Pierre Zito Kaya
Tsiaki : Benoit Bati / Joseph Mankita
Yamba : Raoul Mboungou Nzoumba / Pierre Makelé
Mouyondzi : Pauline Matondo / Edouard Mboungou
BRAZZAVILLE
Makelekelé 1: Yvonne Bazonga Mampouya / Guy Bikoyi Batoumeni
Makelekelé 2 : Zacharie Bakana / Camille Bvouka
Makelekelé 3 : Bernard Missamou /Jules Bouaka
Makelekelé 4 : Brice Hilaire Ounounou / Grégoire Teddy Nzaou
Bacongo 1 : Alphonse Diatomba / Roger Baleketa
Bacongo 2 : Marie Antoine Gomez De Makanda / Paul Bantsimba
Poto-Poto 1 : Jean De Dieu Kourissa / Pascal Edmond Bobot
Poto-Poto 2 : Charlotte Opimbat / Gabriel Ngoumba
Poto-Poto 3 : Jean Claude Alban Ollingo Oniangue / René Mampassi Mpika
Moungali 1 : Franck Parfait Siolo Demvokolo / Isidore Niambi
Moungali 2 : Damien Miakassissa / Sosthène Essanabouly
Moungali 3 : Daniel Kouka / Thérèse Teme
Ouenzé 1 : Pierre Ngolo / Constant Gongault
Ouenzé 2 : Serge Bernard Bouya / Bricette Flore Miankoutakana Voutoudi
Ouenzé 3 : Edith Ebourefé / Alain Bernard Ewengué
Ouenzé 4 : Jérôme Kouloumbou / Basile Ossondzelé
Talangaï 1: Hyacinthe Ingani / Blandine Nianga
Talangaï 2 : Jean-Paul Nganguia / Gibelin Ernest Ambed-Ngolo
Talangaï 3 : Sylvestre Ossiala / Patrick Ondongo
Talangaï 4 : Faustin Elenga / Ngoulou Monka
Talangaï 5 : Claudia Ikia Sassou Nguesso / André Mbola
Mfilou-Ngamaba1 : Jean Enoch Ngoma / Germaine Nguié Dite Ndzeli
Mfilou-Ngamaba 2 Jean-Marie Nsondé / Régine Lucienne Ngayouma
Madibou : Angélique Bantsimba / Malonga Nganga Oumba
Djiri 1 : Hilaire Epiphane Kidzié /Jacob Dimi
Djiri 2 : Antoinette Tielé-Gambia Olou / Rollin Charles Ndolo
Ïle Mbamou : André Nianga Elenga / Symplice Clautaire Bolebola
CUVETTE
Boundji : Denis Auguste marie Gokana / Barthélemy Elondza
Oyo : Denis Christel Sassou Nguesso / Justin Yoka
Makoua : Firmin Ayessa / Michel Kaba Mboko
Mossaka 1 : Raphaël Mokoko / Bomiango née Clémence Okouya
Mossaka 2 : Jean-Marie Bopoumbou / Christian Boyembé
Ngoko : Blaise Ambeto / Jean Fréderic Okondza
Owando 1 : Gilbert Ondongo/ Emmanuel Ebolo
Owando 2 : Abel Joël Owassa Yaucka / Yvon Marius Ibongo liorou
Tchikapika : Jean-Jacques Bouya / Fulbert Ekondi
Loukolela : Gabriel Longobé / Gabriel Bokoumaka
Ntokou : Edouard Roger Okoula / Francis Clotaire Mouandza Mouyabi
CUVETTE-OUEST
Ewo 1 : Serge Michel Odzocki / Nzila née Collette Ngaouna
Ewo 2 : Ange Aimé Wilfrid Bininga / Jean Marie Elena
Mbama : Serge Hubert Mouelé / Honoré Gaël Ngamokonda
Mbomo : Léon Alfred Opimbat / Maurice Mendonga Odouma
Etoumbi : Julien Epola / Martin Kiba
Kellé : Thierry Hobié / Robert Edjo
Okoyo : Jean Daniel Ovaga / Camille Mpela
KOUILOU
Kakamoeka : Alexandre Mabiala/ Dovy Labrousse
Hinda : Lucile Ysabel Sauthat / Jacques Mbemba
Loango : Jean Louis Tchibinda / Constant Taty
Mandingo Kayes : François Tchibinda / Roger Taty Bouanga
Nzambi : Raymond Bongo Mavoungou / Paul Safou Yala
Mvouti 1 : JeanRichardBongo / JeanPaul LoembéOrdianGomat
Mvouti 2 : Parfait Martin Aimé Coussoud Mavoungou / Martin
LEKOUMOU
Bambama : Fidèle Ngouaka / Angèle Malouono Mbembou
Komono : Dieudonné Missié / Maurice Tsiba
Sibiti 1 : Jean Marie Nzinga Ondemba / Jean Henri Moulé
Sibiti 2 : Thierry Lézin Moungalla / André Mbou
Zanaga : Charles David Ngoubili / Kibimi
LIKOUALA
Betou : Fernand Sabaye / Auguste Bilembo
Bouanela : Raymond Ebonga / Camille Dilonguea
Dongou : Dominique Kengolé / Anatole Limbongo Ngoka
Epena 1 : Marie Louise Tono / Pierrot Jean Marc Moloumba
Epena 2 : Jean Marie Batheas / Florent Eteka
Enyellé : Henri Djombo / Sébastien Rigobert Banzani
Impfondo : Alain Moka / Tiroliène Michaël Moloagna
Liranga : Valère Eteka-Yemet / Pauline Nianga Obassi née Kobila
NIARI
Banda : Justin Koumba / François Binissia
Divinié : Marianne Nkouka Maganga Yogo / Georges Bavika
Dolisie 1 : Yves Fernand Diokouandi / Camille Tsassa
Dolisie 2 : Anne Thécla Landou Bayoungissa / Fulbert Kaya
Kibangou : Serge Victor Ignoumba Maliga / Basile Ngoyi
Kimongo : Yves Bernard Mahoungou-Massila / Michel Guimbi
Londela-Kayes : André Fortuné Louzitou / Jean Louela Boumba
Louvakou : Pierre Michel Nguimbi / Jean Aimé Mavoungou
Makabana : Pierre Mabiala / Léon Ntsamba
Mayoko : Armand Mafoumbou Moody / Gilbas Mbemba
Mbinda : Marcel Leouobo / Jean Geoffroy Ibonga
Mossendjo : Lamyr Nguelé / Collette Koueyi
Moungondou Nord : Dieudonné Lengoma / Marcel Makosso
Moungondou Sud : Daniel Mayissa / Gilbert Ngoyi Bokongou
Moutamba : Jean Michel Mavoungou Ngot / Gabriel Moukala
Nyanga : Ondaye née Mapessi Tsona Bernadette / JonasKoumba
Yaya : Emile Ouosso / Florent Likibi
PLATEAUX
Abala : Henri Ossebi / François Tsimba
Allembé : Louis Soussa / Grégoire Anguima Awelé
Djambala : Emmanuel Mpio / Placide Yala
Gamboma 1 : Hugues Ngouelondelé / Placide Yala
Gamboma 2 : Guy Timothée Gantsio Gambou / Albert Mbourangon
Lekana : André Okombi Salissa / Camille Moulené
Makotipoko :Ondzé néeNgamboloBernadette /CélestinOkandzé
Mbon : Armand Saturnin Etoua / Victor Ebvabali
Mpouya : Raymond Zéphirin Mboulou / Raphaël Andomoui
Ollombo 1 : Jean Bruno Richard Itoua / Fidèle Bossa
Ollombo 2 : Fidèle Ibara Ndeli / Onday Akiera
Ongogni : Jean Claude Gakosso / Jean Jaurès Ondelé
Ngo : Ferdinand Ondoyellé / Gérard Nguempio
POINTE-NOIRE
Emery Patrice Lumumba 1 : Paul Ngababa / Anatole Elenga
Emery Patrice Lumumba 2 : Alphonsine Ibeyabo / Ibrahim Tall
Emery Patrice Lumumba 3 : Victorine Manomba / Tombekendé née Brigitte Kali
Mvou-Mvou 1 : Anatole Collinet Makosso / Jean Paul Membet
Mvou-Mvou 2 : Victor Foudi / Antoine Magloire Boumba
Tié-Tié 1 : Gaëtan Nkodia Kynd / Madeleine Biené
Tié-Tié 2 : Alphonse Kitombo Ngoko / Jean Nanitelamio
Louandjili 1 : Jean François Kando / Roger Paka
Louandjili 2 : Claude Abraham Milandou / Jean Albert Nguimbi
Mongo Mpoukou : Prosper Pangou / Fernand Okondza
Ngoyo : Isaac Follo/ Antoinette Bikani
Tchiamba Nzassi : Auguste Clotaire Mavoungou / André Pensées
POOL
Loumo : Enoch Miatabouna Moubongo / Marcel Mguimbi
Mayama : Michel Bouboutou Mampouya / Eugène Kounga Balekita
Boko : André Mankenda / Joseph Nkodia
Ignié : Eugénie Opou / Timothée Labi Mebou
GomaTsé-Tsé : ChristineDelphineMassembo / Jean-PierreYamba
Moundouli 1 : Adelaïde Yvonne Mougani / Jean Tite Ntessani
Moundouli 2 : Emmanuel Beté-Siba/ Joseph Bakana
Ngabé : Evariste Ondongo/ Benoit Inkari
Kinkala : Chantal Kodia/ Etienne Samba
Kindamba : Isidore Mvouba/ Martin Ngouyou
Kimba : Stevie Etienne Mayela/ Jean Sarouisse
Vindza : Aimé Emanuel Yoka / Nazaire Mbama
Louingui : Patrice Nakou Louzonzila/ Donatien Mampouya
Mbandza Ndounga : Jean Pierre Manoukou Kouba/ Allié
SANGHA
Mokeko : Albert Mbouma/ Marf Claudel Ziboth
Ngbala : Pierre Symphorien Abiaba / Ebome Ngozock Messika
Ouesso : Accel Arnaud / Ghislain Thierry Maguessa
Pikounda : Ibrahim Diawara/ Adelaïde Rufine Chisso
Sembé : René Dambert Ndouane / Paul Mikieleko
Souanké : Henri Zoniaba Ayimessone / Jean Claude Beh.