Par: Modeste BOUKADIA
Le Drame du Congo et la solution de la Conférence Internationale. Livre blanc sur le chaos congolais et la Conférence Internationale promue par Modeste Boukadia de Jean-Claude Bondol.
L’ouvrage dresse un réquisitoire du règne tyrannique de Denis Sassou Nguesso avec son lot de crimes, d’assassinats, de génocide des Lari dans le Sud du Congo et de pillage du pays d’une part. D’autre part, il met l’accent sur la solution que constitue la Conférence Internationale des Nations unies pour abréger cette tragédie et reconstruire un Etat moderne.
Le Drame du Congo et la solution de la Conférence Internationale de Jean-Claude Bondol va paraître.
Soixante ans après les pères fondateurs amenés par Fulbert Youlou du Sud et Jacques Opangault du Nord (1958-2018), le Congo va bientôt connaître une nouvelle naissance onusienne à travers la Conférence Internationale des Nations unies, une refondation du pays avec de nouveaux pères refondateurs amenés par Modeste Boukadia. A travers les pages de ce livre blanc, six décennies de l’histoire du Congo défilent sous les yeux hagards du lecteur avec en pointe d’orgue l’ère Sassou Nguesso d’une durée de 34 ans (1979-1992 et 1997-2018) marquée par la tyrannie avec son lot de crimes, de massacres et d’assassinats dont le génocide des Lari de la région du Pool, aux fins de confisquer le pouvoir ad aeternam à force de coups d’Etat militaires et de guerres civiles, de coups d’Etat constitutionnels et électoraux auxquels se joignent le pillage des ressources issues de la manne pétrolière et la mise à sac du pays.
Face à cet épineux problème aux mille facettes, Modeste Boukadia, un homme politique qui a fait ses preuves dans la bataille pour la tenue de la Conférence Nationale Souveraine en 1991 s’est levé pour mettre fin à la tragédie congolaise en proposant à ses compatriotes de s’unir pour sortir du chaos par l’organisation d’une Conférence Internationale des Nations unies qu’il appelle de tous ses vœux afin de panser les plaies du pays sur les plans politique, économique, social et culturel : mise en place d’institutions démocratiques, audit des comptes du Congo pour déterminer le niveau réel d’endettement et évaluer les dégâts du pillage de Sassou et son clan, facilitation de l’union nationale par la mixité ethnique dans la vie publique, retour aux bonnes mœurs d’antan avec la fierté d’appartenance à la Nation congolaise qui doit renaître de ses cendres telle un phœnix.
Paris, le 13 octobre 2018
Modeste BOUKADIA