OKOMBI SALISSA, MOKOKO, Parfait KOLELAS TABAC DE LA MEME PIPE

LES KOLELAS NOTAMMENT PARFAIT OPPORTUNISTE OU VRAI POLITICIEN ? OKOMBI SALISSA, MOKOKO, Parfait KOLELAS TABAC DE LA MÊME PIPE : « TRAÎTRES » POIGNARDANT CELUI QUI LES AVAIENT TOUS FAITS ROIS. ILS DEVRAIENT SUBIR LE SORT DE MAUVAISES HERBES :

 » ÊTRE BRÛLES AU FEU ».(Guy Menga dans la Marmite de Koka Mbala)

En vérité je vous le dis beaucoup de truands, des bandits, de loups dangereux se sont mués en agneaux, se sont donnés des pouvoirs qu’ils n’auraient jamais eus si Dénis Sassou Nguesso n’avait pas existé. Ils ont voulu se passer pour des prestidigitateurs, des hommes et des femmes qui, comme au moyen âge, ont voulu tenter de traverser des braises incandescentes mais ne le pourront car ils ne sont, ni plus ni moins que des escrocs, des manipulateurs et des opportunistes qui n’ont, ni le talent ni la maîtrise, ni la compétence de l’expertise .

Il n’y a pas mieux que moi qui connais la famille KOLELAS et notamment Parfait et son géniteur. Je suis l’homme qui, si je n’existai pas, Bernard Kolélas n’aurait jamais occupé sa plus haute fonction politique à savoir : Premier ministre. Si Kolélas Bernard est devenu Premier ministre, même pour un mois et 7 jours, c’est grâce à MOUDILOU et non à personne d’autres. Oui, c’est moi qui le mardi 2 septembre 1997 à 10 heures zéro deux minutes, alors que je suis chez ma sœur Claudine Munari, Directrice de Cabinet du Président de la République Pascal Lissouba, Ministre, pose le problème de la guerre que le gouvernement de Charles Ganao n’arrivait pas à circonscrire, à arrêter.

Je proposai de changer de Premier ministre car celui qui était là ne représentait que l’ombre de lui-même. Aucune stature, aucune envergure, aucune carrure, aucune prestance, comme s’il ne s’était jamais préparé à cette lourde fonction. Il n’était là que pour montrer sa touffe de cheveux ressemblant à celle d’un diable et brillait par une incurie de savoir-faire alors que les brazzavillois étaient en pleines difficultés. Je demandais à ma soeur de mettre Bernard KOLELAS au Poste de Premier ministre car il connaissait et était ami aux deux belligerents qui se battaient sur le terrain. Donc pouvait leur parler sans anicroche et très sincèrement. Tout de suite, ma soeur passait un coup de fil au Président Pascal Lissouba qui se trouvait à Libreville qui acceptait la proposition. Il demandait à ma soeur de le rejoindre à Libreville pour le dernier voyage officiel qu’il devrait effectuer en France le vendredi 5 septembre 1997 où le Président Jacques Chirac refusa de les recevoir.

Et quand le lundi 8 septembre 1997 à 9 h 50, le Président Pascal Lissouba officialisa cette nomination, c’est moi qui était le plus heureux parce que je venais de réussir là, ce que, même lui-même Bernard Kolélas redoutait et que beaucoup de leaders de la majorité présidentielle et de l’opposition n’attendaient pas. La nomination au poste de Premier ministre de Bernard KOLELAS.

Tous, à commencer par l’actuel Président Dénis Sassou Nguesso, (déclaration sur les antennes de radio Congo de Lékoundzou Ossétoumba alias Justin parlant au nom du PCT) ; Thysthère Tchicaya répondant à une question d’un journaliste depuis Libreville à la radio Afrique n° 1. Tous voulaient ce poste pour eux, peut-être pas pour la même ambition. Et ils avaient oublié qu’il y avait MOUDILOU, plus futé et plus aguerri qui veillait à la bonne marche des Institutions de la République.

Et pendant son exil, si MOUDILOU n’avait pas existé, s’il n’avait pas actionné les fibres de ses relations légendaires reconnues de tous : auprès de ses amis Chefs d’Etat, Bernard KOLELAS, serait certainement mort en exil, soit de faim, soit des soucis car ses enfants qui, aujourd’hui, revendiquent la filiation, bombent leur petit torse, n’avaient jamais existé pendant les 8 ans qu’ont duré l’exil de leur Père, n’avaient jamais rien consenti pour aller nourrir leur propre père. C’est à MOUDILOU qu’il échoua cette lourde tâche, cette responsabilité comme si ce monsieur était mon propre père; quand le mien, mon propre géniteur ne voyait même pas la couleur de mon argent. Je croyais bien faire à élever le Père des autres, en pensant qu’un jour, ils me remercieraient. Mais c’est oublier l’ingratitude gens sur cette terre, notamment des KOLELAS ! .

Ce n’est pas Hellot Matson MAMPOUYA, Conseiller politique, Paulin Makaya dernier Directeur de Cabinet du Premier ministre et Prospère Diatoulou, chauffeur qui me contrediront. J’ai tous les reçus de Western Union prouvant que j’avais acheminé autant des millions auprès de mon mentor. Et déposer autant d’argent à domicile à l’Hôtel de l’Amitié à Bamako devant témoins dont Paulin Makaya le dernier collaborateur qui lui était resté fidèle, avant qu’il ne décampa pour aller préparer son propre avenir à Londres et qui était hypothéqué par celui d’un homme ; d’une famille foncièrement ingrate et qui, quand ils s’étaient attribués des Postes ministériels et de Député, avaient-ils eu un seul petit regard à ceux qui avaient hypothéqué leur propre vie pour celle d’un homme, leur père qui, jusqu’à sa mort brillait par une ingratitude inouïe, ne sachant et n’ayant jamais su dire un petit merci, ni à MOUDILOU, ni Paulin Makaya, ni à celui qui lui lavait ses culottes : Prospère Diatoulou quand ses propres enfants, sa progéniture étaient quasiment inexistants pour s’occuper de leur père. En fait, c’est une famille qui est comme ça, très opportuniste et égocentrique: ne pensant qu’à eux seuls, qu’à leur ventre.

C’est moi MOUDILOU fils de Diambaka Paul et de Nkatoukoulou Henriette qui, tous les temps allais renflouer les poches du Premier ministre. Et pendant cette période, ni Parfait Kolélas, ni Landry, ni aucune fille (la boy chauffeur dans l’avion, c’est à dire Hôtesse de l’air et l’autre, mère au foyer qui sont devenues des Députés aujourd’hui, n’avaient été rencontrés, ni à l’aller, ni au retour sur la route de Bamako pour aller nourrir leur propre père dont ils revendiquent le nom et l’appartenance biologique. Ils devraient avoir honte de laisser des inconnus s’occuper de leur père.

Aujourd’hui, placés tous à des fonctions qu’ils doivent parce qu’ils s’appellent KOLELAS, ils osent bomber leur petit torse de traîtres, d’opportunistes. Mais devant cette hypocrisie mortifère, peuvent-ils avoir l’audace de fixer les beaux yeux de MOUDILOU qu’ils toisent aujourd’hui ? Osent-ils, ou oseront-ils me regarder les yeux dans les yeux un seul instant sans arriver à les baisser et dire qu’ils sont devenus : qui Ministres, qui Députés grâce à leur compétence, leur mérite ? Aucunement ! Aucunement ! Aucunement !

AUTOSUFFISANCE MAL PLACÉE, POUR DES ARRIVISTES INCOMPÉTENTS OU LES FILLES COUCHENT AVEC TOUT LE MONDE POUR MAINTENIR LA FLAMME DE L’ARGENT FACILE !

Je suis suffoqué, offusqué de constater que ces enfants soient imbus d’une arrogance très hallucinatoire, mal placée. Que pour eux, il suffit d’être un KOLELAS pour s’imaginer homme ou femme politique. Encore que, même le papa ne fit pas le vrai homme politique que nous espérions voir et avoir pour élever notre pays au plus haut niveau de l’excellence. Il ne répondait pas à cette exigence car n’ayant jamais eu les qualités requises. Infirmier ne veut pas dire politicien. C’est une injure vis-à-vis de nous qui nous sommes attelés pour faire de Bernard KOLELAS ce qu’il fut : « un semblant d’homme politique ». L’arrogance, la fanfaronnade, l’autosuffisance, la vantardise ; tels se caractérisent les KOLELAS.

KOLELAS FUT-IL UN VRAI LEADER POLITIQUE OU POPULISTE DU GENRE TRUMP OU LEPEN DONT L’INTÉRIEUR N’ÉTAIT QU’UN VASE CREUX, VIDE ET DÉMUNI ?

Dans toute œuvre politique, il faut toujours présenter et faire son bilan. Quel est le bilan de Bernard Kolelas à la tête du MCDDI de 1990 à 2009 ? Oui le moment est arrivé de faire l’inventaire du travail opéré par l’homme à la tête de notre Parti. Il est temps de faire son bilan car la politique, ce n’est pas le bla-bla ambiant ou le « boussa-boussa » comme il aimait me le dire lui-même ; mais le savoir-faire.

LE POOL EN QUÊTE DE LEADER SUBSÉQUENT ET MÉRITANT.

« Le chat parti, les souris dansent » dit un adage. L’absence sur le terrain des vrais politiciens, des vrais fils acquis au développement et au changement du pays, a permis aux apprentis politiciens à juguler, bomber leur petit torse. Ils se sont crus tout permis. Ils ont et ont été comme des écureuils qui, se trouvant devant un régime de noix de palme, se disent être les maîtres des lieux. Aujourd’hui, le Pool est en manque de leadership, les troubadours pensent s’approprier du terrain en défrisage, laissé en jachère. Et dans ces conditions, même les crapauds s’extasient pour vouloir s’accaparer du terrain qu’ils croient avoir conquis, non à la sueur de leurs efforts mais par opportunisme.

Le Pool est aujourd’hui, une région perdue, en manque de vrais leaders, crédibles et démunis de tous soupçons. Tous ceux qui se sont autoproclamés leaders de la région : Kolélas Parfait, Nsilou Claude, Nvouba et autres troubadours ne sont ni plus, ni moins que des opportunistes, des escrocs politiques, des profiteurs qui s’enrichissent au dépens et au nom du Pool, du sang de ses fils qu’ils essorent et sucent comme une orange dont on jette au loin la peau. Tous les peuples errant (juifs d’avant 1948, palestiniens) ont connu ou connaissent ce même sort. Le Pool n’y échappe pas. Il est dans une impasse totale où, sans leader charismatique agréé et destiné, se fie à n’importe quel crétin.

C’est ce que notre région a connu après l’assassinat de notre héro légendaire, André Grenard Matsoua en 1941. Le peuple du Pool était obligé à s’allier à Félix Tchikaya et Jacques Opangault pour combler le vide. C’est ce que le Président Yasser Arafat appelait : « Quand un peuple végète dans la misère, il s’allie, s’adonne à n’importe quel « diable pourvu qu’il trouve ce qu’il recherche ; ce qui lui manque ». Aujourd’hui, même un scarabée (roulant son caca) est prêt à être honoré dans le Pool. Tout le monde le suivrait pour combler le vide par manque de vrais leaders charismatiques.

QUEL EST LE BILAN DES KOLELAS AU NIVEAU RÉGIONAL ET NATIONAL ?

Même en données corrigées des conjonctures, le bilan des Kolélas ne saurait être flatteur. Qu’est-ce que j’ai reproché à mon ancien Patron après le décès de son épouse ? Nous lui avions dit qu’il était évident que le Président Dénis Sassou Nguesso, chercherait à le rencontrer et qu’en aucun moment, un chef ne va négocier des postes ou quoi que ce soit avec un autre Chef. Ce sont les collaborateurs qui sont envoyés pour la circonstance et ce sont eux qui peaufinent tout et le chef n’est là que pour parapher. Or que s’était-il passé quand justement le Président Dénis Sassou Nguesso reçut son Frère Bernard Kolélas ? Ils actionnèrent leur ancienne Alliance URD/PCT et Apparentés.

Ensuite, le Président Dénis Sassou Nguesso demanda à Bernard Kolélas de lui donner une liste de 5 noms de ses collaborateurs, lesquels, devraient être nommés Ministres. Et il insista sur le nom de MOUDILOU. Pour ceux qui se demandent pourquoi MOUDILOU est tant aimé par son grand Frère Dénis Sassou Nguesso ? Nous nous complétons certainement quelle que part. Oui, en effet c’est depuis le 13 décembre 1992 que mon grand Frère Dénis Sassou Nguesso a pour la première fois, demandé à ce que nous travaillions ensemble, alors qu’il m’avait reçu pour la première fois chez lui au Vésinet dans le 78.000.

Il exigea que mon nom ne manque pas. Mon nom devrait être même en tête. Quand le Premier ministre m’appela pour me demander de rentrer à Brazzaville où un Poste ministériel m’attendait, je lui avais demandé comment cela s’était-il discuté ? Il m’a parlé du bla-bla et je n’avais pas apprécié la façon de procéder. Il aurait dû parler au nom de l’ensemble de l’Opposition qu’il représentait. Or lui, avait simplement parlé au nom du MCDDI, discuté des postes pour ses enfants et nous autres. Jamais pour l’ensemble de l’Opposition d’où ma réticence.

Et deuxièmement, il aurait fallu discuter du dédommagement de l’ensemble des maisons cassées dans le Sud de la République plus singulièrement dans le Pool où des villages entiers furent engloutis. Aujourd’hui aucune Ecole, aucune Infirmerie et autres Outils de développement ne soient restés debout.

B. KOLELAS n’étant parti discuter que des seuls intérêts de ses enfants qui aujourd’hui, même les plus crétins bombent le torse partout parce qu’ils s’appellent tout simplement Kolelas. Ce qui est inconvenant et inapproprié. Et c’est dans cet élan qu’on a retrouvé tous les KOLELAS qui, Ministre de pacotille n’arrivant même pas à créer, à innover, à inventer. Député ne sachant même pas ce que c’est qu’une LOI ou une Législature ; ce qu’un Député doit faire. « Au village des aveugles les borgnes sont devenus Rois ». Ou encore : « Au village des ananas, tout le monde porte une huppe » ou encore et encore : « au village de maïs, tout le monde porte une barbe ». « Les chats ne font jamais des chiots » ; tel fils, tel père. Et tels sont les adages qui insinuent, stigmatisent ce comportement des KOLELAS.

Aujourd’hui, demandez le bilan des Kolelas dans le Pool où ils sont Députés et Ministres depuis plus de 10 ans, et au nom duquel ils s’expriment tous. Quel est leur bilan ? Rien, niet : même pas une petite Ecole n’ a été réhabilitée, pas un seul dispensaire n’a été rétablie, pas un seul pont n’a été construit. Cependant que des millions n’ont-ils pas encaissés au nom du Pool ?

IL FAUT RÉTABLIR LA VÉRITÉ AUPRÈS DE NOTRE POPULATION DE LA REGION. IL FAUT CIRCONSCRIRE LES ENJEUX.

Alors que je suis à Brazzaville en ce mois de décembre 2016, j’appelle Parfait Kolélas pour lui dire simplement bonjour car moi Moudilou n’attends jamais rien d’un KOLELAS. Ce sont eux qui ont bénéficié de mes relations depuis le père jusqu’aux enfants dont Parfait Kolélas. Ce dernier sait de quoi je parle. Voilà que ce garçon, me répond avec ostentation, avec mépris, arrogamment.: « qu’il ne voulait pas me parler parce que, comme disent mes détracteurs : « je suis un traître ».

Vraiment, « le bossu n’a jamais vu sa propre bosse ». Je ne sais pas qui de lui et de moi est traître ? Je croyais qu’il était intelligent mais il est aussi bête et nul comme ses pieds et comme ceux qui ne savent pas la signification du mot « traître ». Qui a trahi Dénis Sassou Nguesso ? Qui disait que : « Que PAPA nous a laissés auprès de toi », « Que tu es et restes notre plus grand papa au point même de renier leur propre père, leur géniteur rien que pour l’argent; vendant et jetant en pâture l’âme de leur propre père. Je me pose même la question, dans un Congo où on vend maintenant des cadavres, les os des cadavres, si le cadavre de mon ancien Patron est toujours à Ntsouélé, si on l’a pas sacrifié pour l’argent facile ? Quand on dit que tu peux rester Président de la République à vie, et que personne ne te touchera » Ca en dit long. A quels desseins peut-on tenir ces genres d’allégations ?Déclarations de Parfait Kolélas au Boulevard des Forces Armées lors d’un meeting.

Aujourd’hui, qui ne jure plus au seul nom de Dénis Sassou Nguesso ? Qui a poignardé son Père adoptif dans le dos ? Qui s’est opposé à sa candidature de mars 2016 ? Qui était candidat contre Dénis Sassou Nguesso ? En tout cas, pas MOUDILOU. Mais celui qui criait à qui voulait l’entendre du haut de la Tour Eiffel que Dénis Sassou Nguesso était leur père adoptif que lui Parfait, en se présentant contre son Père adoptif, l’avait trahi. Comme le firent Okombi Sadissa, Mokoko tous ceux-là qui ont grandi avec le lait de Dénis Sassou Nguesso.

J’ai des bombes à retardement autrement dit des cassettes où j’enregistrais mon ancien Patron pour raison d’éclairer notre histoire car je savais qu’un jour, il fallait faire de la lumière sur certains sujets. J’ai toujours dit que le jour où Parfait Kolélas écoutera son Père, sur ce qu’il pensait de lui, il ira chier sur sa tombe à Ntsouélé tellement qu’il sera dégoûté d’entendre ce qu’il pensait de lui. Il suffit de demander à mon Frère à qui j’ai fait écouter quelques extraits de ces déclarations ; j’ai parlé de mon grand Frère Toussaint Mavoungou, qui jusqu’à ce jour, convulse encore sur ce qu’il avait entendu de la bouche de Bernard Kolélas parlant de ses enfants et plus singulièrement de Parfait Kolélas qu’il traite comme un « mwana ntsoumba ». Un jour je finirai par percer l’abcès.

Je n’en dis pas plus. Pour votre savoir, j’aimerai simplement vous dire que tous ceux qui ont été chassés du Gouvernement :

BOWAWO, KOLELAS, OKOMBI SALISSA n’ont jamais été Opposants et ne sont pas opposants au même titre que nous, les vrais.

MOUDILOU A UN DESTIN POUR LE CONGO ET C’EST LE MOMENT DE LE COMPRENDRE POUR LES NON INITIES.

C’EST CURIEUX QUE L’ÉNIGME MOUDILOU FILS DE DIAMBAKA ET DE NKATOUKOULOU FAIT AUTANT PEUR A TOUS SES DÉTRACTEURS QUI DÉCAMPENT DES QU’ILS ME VOIENT ARRIVER. AU PALAIS DE JUSTICE OU JE SUIS ALLÉ CHERCHER MON CASIER JUDICIAIRE, MÊME MES CONFRÈRES, LES MAGISTRATS CHERCHENT A ME SERRER LA MAIN COMME S’ILS AVAIENT VU UN EXTRATERRESTRE, QUE TOUT LE MONDE VEUT TOUCHER. TOUT LE MONDE VEUT SAVOIR QUI EST LE MYSTÉRIEUX ET L’ÉNIGMATIQUE PERSONNAGE MOUDILOU. MON GARDE CORPS ÉTAIT DÉPASSÉ DE VOIR CET ÉTAT DE FAIT INÉDIT.

Là où ils sont, si le Président Dénis Sassou Nguesso leur demandait de revenir travailler avec lui, ils repartiraient en courent, sans regarder derrière car aujourd’hui, ils regrettent de s’être faits avoir par l’euphorie née avant le Dialogue de Sibiti où tout le monde croyait que Dénis Sassou Nguesso était fini, qu’il partirait sans résistance. Malheureusement, ils ne connaissaient pas l’homme, le fait même qu’ils aient travaillé des années durant avec lui. Que c’est une bête terrifiante capable de renverser des situations désespérées à son compte. Si vous avez constatez que Parfait KOLELAS? fait le mou, c’est pour s’attirer les bienveillances du Président Dénis Sassou Nguesso à qui, il fait les yeux doux pour ce dernier revoit sa situation. Je sais de quoi je vous parle. Je suis à Brazzaville et je suis partout comme l’eau. On me voit partout même là on ne peut imaginer. Tout le monde me craint car on m’imagine partout. Tout le monde m’évite de parler avec moi. Tout le monde me craint. L’Opposition et tous les acteurs politiques de mauvaise intention m’évitent car il m’est arrivé d’arriver dans un milieu, où dès qu’on me voyait, on courrait à toutes jambes comme s’ils avaient vu un diable. Vous voyez comment MOUDILOU fait trembler tout un pays.

C’est pourquoi je vous demande de ne jamais croire en ces usurpateurs, ces opportunistes qui sont là pour amadouer et faire leur lit le plus confortablement possible pour eux-mêmes et non pour vous, pour notre cause. Je dois impérativement vous rappeler que dès que ces enfants ont pris les destinées du Parti, le MCDDI, la Force du Pool au nom duquel ils se sont enrichis, la première des choses qu’ils ont faites, était d’écarter autour de Bernard KOLELAS des Collaborateurs comme MOUDILOU, Mayima Mbemba, Senga Théo, Louzala, enfin tous ceux qui avaient éclairé le sieur Bernard KOLELAS. Et ça, ce n’est pas Henri Nzonza de Mantes La Jolie qui aujourd’hui, ne jure que sur le Youki, qui me démentira.

Il faut remettre de l’ordre dans notre belle région du Pool locomotive du Congo en écartant des opportunistes, des profiteurs qui ne nous ont amenés que larmes et sang et rien d’autres. Ces fils indignes ont cherché à s’accaparer de sa représentativité pour faire leur promotion, pour leur ventre et rien d’autres. Aujourd’hui, les Nsilou, les Kolélas sont devenus les plus grands milliardaires de la région, en ayant fait comment ? En vendant l’âme du Pool à ses ennemis. Les filles et garçons KOLELAS que j’ai observés lors de mon séjour à Brazzaville, les Nsilou et autres fossoyeurs Tchibambelela et Nvouba ne sont plus à plaindre. Comment ont-ils fait pour devenir ce qu’ils sont devenus ?

Je m’arrête là pour le moment car le débat est ouvert et nous devons débattre de tout de ce que nous voulons pour notre pays ; notre région. Ce que nous voulons faire et ce que nous avons déjà fait. C’est le moment de rendre compte aux fils du Pool, de la République ; dire qui est qui et qui est capable de faire mieux. Moi Moudilou, je vais m’y mettre et la bagarre politique commence.

Demain le Pool ne sera plus dans les mains de ses fossoyeurs qui n’ont aucune ambition pour cette région, qu’ils ont simplement, ou qu’ils utilisent simplement pour leur propre bien. Le Pool doit, dorénavant être dans les mains de ses vrais fils qui pensent Pool et vivent Pool. Le Youki doit aller faire son nid dans le madoukoutsiékélé où il a toute sa place. Je suis là et serai là en première ligne pour défendre notre région des opportunistes comme les KOLELAS, les Tchibambélélas, les Nsilou, les Nvouba et autres trafiquants d’illusions perdues et mortifères.

J’ai parlé !
A Paris le 7 février 2017.


Maître Tony Gilbert MOUDILOU.