Par LEVANN VALENTIN
Kiki est le moindre des soucis du peuple congolais, libre à lui de rêver en voyant de par le monde des fils à papa devenir des héritiers du pouvoir. Et voir un Congolo-Zaïrois intégré dans notre pays tenir les règnes de notre nation en s’inscrivant dans les normes républicaines, n’est pas un tabou, ni un sacrilège ; car l’évolution du monde est appelée a créé des passerelles d’intégration.
Mais malheureusement, ce monsieur est parti sur des mauvaises bases, car rien que l’audition de son nom par le peuple Congolais est devenu plus effrayant que l’Ebola combiné à l’infusion du VIH, ce monsieur à son âge est déjà 1000 fois plus doué que son père à cet âge, et son passage à la SNPC, a vraiment créé une véritable érosion, une vraie catastrophe nationale en embourbant notre pays dans une dette astronomique inestimable qui vient de condamner l’avenir de tout un pays.
Et de ces dettes traficotées, ce monsieur est devenu ONASIS, ROCKEFELLER, BILLGATES, PÈRE THERESA…. Pour devenir le philanthrope national, le Caritas ambulant, important des bateaux médicalisés, en réalisant des campagnes sanitaires, en croyant séduire le peuple pillé, appauvri, pressé, esclavagisé ; en devenant le généreux de la nation, en fournissant des babioles au peuple au détriment de tout ce que lui et le clan ont extorqué au peuple congolais.
Mais Dieu, merci, la misère commune que vit tous les Congolais du Nord au sud a créé un ciment national de solidarité, la destruction du pays a suscité un véritable élan de patriotisme au nom de l’Union nationale, pour n’accorder aucune chance à toutes ces brutes qui ont tuées l’avenir de toute une nation, et toutes ces gesticulations généreuses n’auront plus aucun impact compatissant envers ce kleptomane qui a crut flouer la nation par son indécence et sa malhonnêteté, pour penser accéder à la magistrature suprême, mais heureusement, un voleur endurci ne peut jamais conduire une nation.
Un voleur affermi, ne peut jamais être un bâtisseur, ni un deuxième MASSAMBA Débat, mais sa place est en prison, après avoir rendu au peuple ce qui appartient au peuple.
L’arbre à Palabres
LEVANN VALENTIN