RÉPONSE AUX INTRIGUES DE BIENVENU MABILEMOLO SUR P. KOLELAS ET PAR TRANSITIVITÉ AU POOL.
On donne l’information : fausse ou pas et on va se mettre au coin de la rue, de son village pour attendre les retombées. Cette pratique, cette manière de faire a tué beaucoup pour ne pas dire des milliers de congolais, victimes de cette paranoïa, pratique machiavélique, mensongère, ignominieuse et dégoûtante.
Je pouvais m’en foutre et dire : « ce n’est pas mon problème ». Mais un homme politique ne peut pas fermer ses oreilles et ses yeux, biaiser avec les mots, les propos, les prises de position ; surtout sur le terrain CONGO quand la vie de la nation est en jeu. Ce sont les mêmes. Moi-même n’étais-je pas victime de cette escroquerie, de cette turpitude, de cette prise de position ô combien dévastatrice, qui par la passé a déjà fait beaucoup de dégâts.
Le 26 février, je venais d’arriver à Brazzaville. Alors commença la campagne d’intoxication. Marion MANZIMBA sort de sa léthargie, et comme il l’a appris au PCT, il prend ma photo, l’étiquette et la placarde sur Facebook en me faisant passer pour « JUDAS LE TRAÎTRE » qui avait trahi sa maman. Le même jour, un fou du Pool qui a dû militer aussi à l’UJGEC, Brice NKEWA, fait le lien et enfonce le clou, en déclarant : « La présence de Maître Tony Gilbert MOUDILOU au Congo, est pour aller contredire le GENERAL MOKOKO dans la procédure qui a été engagée à Brazzaville ».
Dès que ces deux voyous ont dit cela, la machine à broyer et dévastatrice était lancée et plus personne ne pouvait l’arrêter et ceci, jusqu’à présent. L’honnête personnalité qu’est Tony Gilbert MOUDILOU passait pour le pire des TRAÎTRES.
Maintenant qu’ils avaient posé ces actes, qu’ils m’avaient exposé, vilipendé, traîné dans la boue comme un criminel, tout était consommé et on pouvait plus rien. C’est comme ça à l’ECOLE du PCT, c’est comme ça qu’on a assassiné des pauvres citoyens qui n’avaient rien à avoir avec la réalité. En tout cas, j’ai toujours pensé les traîner devant les tribunaux pour diffamation, excitation à l’assassinat ce qui est un délit.
L’honnête congolais que je suis et que je reste car je mets quiconque au défi me contredire. Que je n’ai jamais transgressé les lois de mon pays, les règles élémentaires de ma nation, du savoir vivre en communauté, où le respect de la chose publique est de rigueur à l’Ecole du Président MASSAMBA-DEBAT est de rigueur. Jamais volé, jamais participé, ni de près, ni de loin à une quelconque malhonnêteté contre mon pays.
Que Mandzimba me démontre en quoi je suis «JUDAS LE TRAÎTRE». Cependant c’est lui qui avait été le Directeur de Cabinet de LEKOUNDZOU Ossétoumba, l’assassin du Président Marien Ngouabi qui avait assassiné dans sa chambre d’Hôtel au Mistral devant celui qui est devenu légume payant le prix fort pour sa traîtrise. Qui avaient trahi la République devant le peuple congolais, n’est-ce pas lui et son patron ? Pourquoi d’eux les NORDISTES les assassins et les criminels déjà, en 1977, on passe toujours à des boucs émissaires du Pool ? MOUDILOU, KOLELAS, TSATY Mabiala, Victor Tamba-Tamba, Moukouéké, KINOUIMBA et comme par hasard, les barbares innés sont exemptés, ils ne sont plus là selon que les pros sont tenus par un NORDISTE.
Quant à l’autre idiot Brice NKEWA, il est un peu fêlé, je lui accorde le bénéfice du doute. C’est un aveugle dans la nuit. C’est un idiot qui ne savait pas ce qu’il disait car n’est-ce pas lui qui me ventait au point de me demander ce qu’il me voulait. S’il était sérieux ou comme je l’ai fêlé car il m’inquiétait : louant mes prouesses, mon courage, que j’étais même le type de personnage que le Pool aimait. Que j’étais le meilleur des meilleurs ? Bon je le laissais se masturber surtout que ce n’était public. Mais malgré sa petite folie, je le laissais à son propre jeu jusqu’à ce qu’il se découvre tout seul qu’il était mon pire ennemi.
« La présence à Brazzaville de Tony Gilbert MOUDILOU répond du dossiers dont les deux acteurs sont accusés. MOUDILOU est donc à Brazzaville pour aller contredire la Général MOKOKO. Aller le contredire sur quoi et pour quoi ? Machiavel n’avait pas besoin qu’on contredise MOKOKO qui était déjà sur l’œil du cyclone, de judas de MACHIAVEL dès lors qu’il s’est prononcé d’être candidat contre son père qui lui avait fait ROI, qui lui avait tout donné, tout appris.
Et je dis et je répète à qui veut m’entendre que si MOKOKO croupit aujourd’hui en prison, ce n’est pas pour notre vidéo mais parce qu’en tant que NORDISTE, il ne devrait pas se présenter aux élections contre son parents Sassou : celui qui lui avait tout donné : les galons et les Fonctions. Tous les NORDISTES dont Bienvenu MABILEMOLO savent que c’avait été tacitement décidé ainsi dans leur contrée dans un Pacte NORISTE. Personne ne devait transgresser cette règle cardinale : se présenter contre SASSOU NGUESSO, sauf pour faire semblant.
Hors MOKOKO quand il avait pris goût, voulut foncer comme quelqu’un qui n’était pas lié à un Pacte. Ce qui mit Machiavel dans un état de colère qui ne s’est estompé que quand il l’a mit en prison et fait de lui, son propre prisonnier comme il y a vingt-cinq en arrière, et pendant onze ans, il fit de Jacques Yhombi, son propre prisonnier.
Mokoko tenu par les Sudistes contre lesquels Machiavel soupçonnaient de prendre leur farouche revanche si celui-ci gagnait. Et rien que pour ça, Machiavel ne pouvait ni manger, ni boire tant qu’il n’avait capturé celui qui voulut le livrer aux chiens enragés du Sud. Il ne pouvait pas accepter cette logique. Il y avait deux logiques. MOKOKO persistait et tenait à aller jusqu’au bout de sa logique d’où cette abnégation dont il savait que ça le coûterait cher auprès de son chef si jamais il ratait les débuts.
Et Machiavel, pour rien au monde et si cette opération allait provoquer une troisième guerre mondiale qui partirait du Congo, Machiavel s’en foutait. Pour lui l’essentiel était de se faire la tête du Général quel qu’en soit le prix à payer au niveau du Nord. Toutes les façons disait-il c’est MOKOKO qui avait commencé. Ils savent tous au Nord qu’ils étaient liés par un Pacte tacite qu’ils ont tous signé là-bas. Que ce soient BOWAWO, OKOMBI SADISSA, NAMILEMOLO, OTTA William, Luc MALEKA ; tous savent que les choses en sont à ce point de vue, nettes et absolutoires.
Petit Frère Bienvenu, tu dois bien savoir que ton grand Frère Tony Gilbert MOUDILOU a aussi des amis au Pouvoir, dans les SERVICES SPÉCIAUX, à la Police, à la Gendarmerie, dans l’Armée, à l’Assemblée Nationale, au Sénat, autour de Sassou Nguesso, même dans son ombre que je suis au courent minute par minute de tout ce qui peut se tramer contre notre Unité nationale, contre ma région le POOL et contre notre pays. Je ne parle d’autres points trop sensibles.
MAINTENANT VENONS-EN AUX DÉCLARATIONS DE MON PETIT FRÈRE BIENVENU MABILEMOLO CONTRE PARFAIT KOLELAS DONC CONTRE LE POOL.
La solidarité devient le socle, l’élément le plus important quand la vie d’une Nation, d’un groupe, d’une région, d’une ethnie est en jeu. Je pouvais rester stoïque, regarder les choses se faire comme l’ont fait la plupart de ceux qui se passaient pour mes amis, ceux qui venaient manger, boire et qui ont bénéficié de mes largesses en leur distribuant mon argent que j’ai toujours gagné à la hauteur de mon intelligence car je suis par ce fait, ami des grands hommes de cette Planète.
Aujourd’hui, je les compte du bout de mes doigts et c’est tant mieux pour moi. En dehors du fait que Parfait KOLELAS avait travaillé avec moi pour empêcher à nos parents du POOL de « reconnaître le gout du sang » puisque MACHIAVEL l’avait prescrit ainsi. Comme ils devraient se blesser de nouveau, si jamais ils étaient sortis dans les rues au moment où MACHIAVEL avait arrêté son dispositif de tricher, ils reconnaîtraient le goût du sang car ils se seraient de nouveau blessés sur leurs langues. Parfait ne m’a jamais défendu, bien au contraire. Alors qu’il sait et savait que j’étais la fourmi ouvrière, la plus outillée sur laquelle comptais son Père, il ne s’était pas gêné de nous foutre tous dehors (tous, tous les anciens collaborateurs de son Père au moment où il était parti se donner corps et pieds liés à MACHIAVEL.
Et quand ils sont rentrés au pays à la suite du décès de mama Ngoudi, les premières personnes qu’il a limogées avec son équipe composée de Mampouya Hellot, Tchibambéléla, Bouétoubassa et de moindre importance Landry, c’étaient nous. Comme l’avait fait Ali Bongo. Ce qui est et reste un sacrilège et toutes ses souffrances sont nés de ce comportement égocentrique et malsain.
QUAND ON ATTAQUE PARFAIT KOLELAS, C’EST LE CŒUR DU POOL QU’ON ATTAQUE ET MOUDILOU FILS DE DIAMBAKA ET DE NKATOUKOULOU NE PEUT RESTER LES BRAS CROISES ET REGARDER SON PETIT FRÈRE SE FAIRE MASSACRER PAR UN NÉBULEUX PERSONNAGE.
Et pour ça, et pour rien au monde, moi Moudilou quels que soient les milliers de malentendus que je puisse avoir avec mon petit Frère, je ne laisserais jamais un fils du Pool se faire déchirer par des loups en manque, des chiens enragés et des ennemis du POOL.
Ils nous l’ont déjà fait, ils l’ont toujours fait et cette fois-ci, ça ne passera pas et on e se laissera marcher sur nos pieds. Vous avez dû observer que quand les lions attaquent un troupeau, ils s’arrangent pour isoler le plus petit ou le plus vulnérable. Cherchant à éloigner les durs et c’est à ce moment-là, qu’ils peuvent, sans trop d’efforts s’en prendre à leur victime sans coup férir. Non KOLELAS ne sera pas votre victime. Vous en avez faits assez. Non Bienvenu, je ne laisserai pas me déchiqueter Parfait. Si comme tu dis tu as des entrées au Palais d’Oyo, à son entourage, même si je ne parle pas votre patois. J’en ai même plus que toi. Et je sais tout ce qui se dit là-bas chaque minute, et à chaque instant.
J’ai été alerté par mes Services que tu venais de faire une cassette, et on m’a prié de l’écouter ; t’écouter. J’ai pris tout mon temps. Je l’ai écoutée trois fois pour mieux te comprendre et bien circonscrire les enjeux. Mon bien Cher Cadet, tu commences ton récit en annonçant tes couleurs. Tu parles de MOKOKO comme quoi tu étais très proche de lui pendant les élections. Que tu l’appelais. Tu travaillais avec son Equipe. Et c’est là où le bât blesse, c’est là où l’homme du Nord est mystérieux, hypocrite et terriblement mauvais pour notre pays, pour notre vie en communauté.
J’espère bien que tu vas te rappeler que je t’ai appelé plus d’une fois quand moi ton grand Frère faisait le porte à porte des NORDISTES pour demander les coordonnées du Général. Que nous le sud et plus singulièrement le Pool, avions choisi le GÉNÉRAL pour être notre candidat du NORD au SUD ; de l’EST à l’OUEST. Nous étions l’année dernière. Que je t’avais même invité chez pour qu’on en parle à l’abri de tout soupçon. Tu m’avais dit que tu n’avais aucune relation avec le GÉNÉRAL. Mais pourtant le doyen d’âge des NORDISTES politiciens de la Place, mon grand Frère WILLIAM OTTA avait insisté en me recommandant après de toi, que tu étais le seul qui pouvait avoir ses coordonnes. Que je ne faisais pas de l’aumône. Car c’est simplement que depuis notre coup, je l’avais perdu de vue.
Je t’avais dit en passant que je connaissais l’homme, qu’il était un ami donc tu n’avais pas à t’en faire. Mais tu étais resté catégorique. Tu n’avais aucune coordonnée de l’homme. Cependant sache que je ne t’avais cru. Mais j’ai dû me résoudre à la réalité des hommes surtout quand on ne partage pas la même culture. J’ai dû me débrouiller autrement pour enfin mettre la main sur le GÉNÉRAL.
Mais le pire c’est que vous tous NORDISTES, ne vouliez pas ou jamais contribuer à ce que le GÉNÉRAL soit le candidat de toute l’Opposition. En fait vous aviez peur que si le Sud se l’approprie, il risque de ne pas faire, votre affaire. La preuve, c’est que dès que nous l’avions sorti de l’obscurantisme, du flou et de la nuit nuire, tout le monde a cherché à se l’approprier. Vous l’aviez ceinturé au point de l’éloigner de tous ceux qui l’avaient fabriqué dont moi-même, SON GÉNITEUR. Je pourrais un jour écrire tous les propos tenus sur l’homme avec tous les noms par vous les NORDISTES. Pauvres Nordistes ! On vous avait laissé un Congo prospère. Vous n’avez pas réussi à le gérer. Vous l’avez détruit et appauvri l’ensemble de son peuple. On vous a laissé MOKOKO, vous avez réussi à le faire mettre en prison. Mais vous devriez avoir honte !
Sengha Djoumali Isaac, ancien représentant du PCT en Europe au moment où Charles BOWAO brillait des mille feux au Pouvoir, refusa de me donner ses coordonnées. Il m’envoya auprès de son patron Charles BOWAO qui lui que je connais depuis, se méfia de moi et n’eut autre solution que de me faire marcher : « je vais t’envoyer les références » jusqu’à aujourd’hui.
Je l’appelais nuitamment. Et chaque fois, je suis en réunion, je suis en réunion….. me disait-il et qu’il m’appellerait le lendemain. Nous étions au mois de Juillet de l’année dernière. Charles BOWAO qui est de surcroît un parent par alliance car sa sœur avait eu un brillant fils avec mon beau-frère du Pool. Il s’est comporté comme d’habitude en primitif qui ne sait pas que je ne donne pas les coordonnées du GENERAL parce qu’il n’est pas du POOL.
Luc Maléka me fit tourner en bourrique également et ne me donna nullement les coordonnées du GENERAL. Il y a même un Haut officier du NORD dont je tais le nom qui me dira : « Mais pourquoi tu tiens tant à ce monsieur qui n’est même pas brillant militairement, c’est un nul. Si vraiment tu tiens à avoir un officier NORDISTE pour contrer SASSOU, je vais t’en fournir des noms, d’Officiers qui sont les meilleurs. J’ai dit non. Nous voulions seulement MOKOKO.
En fait nous avions tous compris au Sud que personne n’aime cet officier, personne la preuve est que ; jusqu’à ce jour, nous ne comprenons pas, depuis ses tracasseries que pour un ancien Chef d’Etat-major Général, qu’il n’y ait pas eu aucun petit régiment, une colonne ou même un militaire pour protester et chercher à aller le libérer comme ce qui s’est passé le 31 juillet 1968 quand le capitaine Marien Ngouabi fut emprisonné et que les Commandants MOUZABAKANI et autres Sudistes ainsi que l’Aspirant Sassou Nguesso qui croyaient en l’homme, leur chef, allèrent pour le libérer. Ils durent faire le baroud’ honneur au Pouvoir du Président Massamba-Débat pour le sortir. C’est le premier coup d’Etat du 31 juillet 1968.
ON VOUS CONNAIT (PATIENCE DABANY EX BONGO ONDIMBA.
Aujourd’hui, mon cadet, tu fais les éloges de tes parents Mokoko, Bowao, Okombi Salissa, mais c’est le contraire qui aurait surpris un homme averti comme MOI. Si tu ne faisais les éloges de ceux-là, ce n’est aux KOLELAS, TSATI MABIALA, MOUKOUEKE, Victor TAMBA-TAMBA, KINIOUMBA que tu cites insidieusement qui pouvaient bénéficier de tes éloges. Vous êtes tellement ingrats que vous ne pourrez surprendre personne. Tu vois ceux qui ont mis notre pays, aujourd’hui quand je vous entends vous nordistes, dire que Sassou, Sassou a mis le pays par terre. Mais c’est comme une guerre mondiale, on ne la fait tout seul. Il faut des alliés. Et tous ces NORDISTES devenus milliardaires dont tes OKOMBI SADISSA que tu oses défendre, ou tu les connais, ou tu ne les connais pas, auquel cas, tu dois apprendre à te taire. Ça vaut mieux ! L’état de notre pays que nous déplorons tous ensemble, lesquels qui l’ont fait ?
N’est-ce que tes amis puisque tu l’affirme en bombant ton torse qu’ils sont tes amis ; ce que nous ne savions pas. Nous voulions MOKOKO mais pas pour qu’il vienne mettre à l’étrier, en selle tous ces NORDISTES VOLEURS, Tous ces assassins. Ton ami OKOMBI, tu as vu comment il a vidé le Trésor public pour se construire tous les immeubles qu’il a à Brazzaville ? Peux-tu nous dire en quoi et pourquoi le soutiens-tu si ce n’est pas la fibre ethnique ou régionale qui a pris le dessus ? Ton ami BOWAO, tu dois savoir que même s’il gesticule avec nous dans l’opposition. Il est comptable de tous les crimes et assassinats : commis dans notre pays : économiquement ou par le sang depuis au moins 1997.
Moi si j’étais à ta place, j’allais faire le profil bas, apprendre à me taire car tous les amis que tu cites, sont tous ceux-là qui sous dans notre collimateur, notre rétroviseur, qui demain répondront pour tout ce qu’ils sont fait contre leur propre pays. Surtout pas OKOMBI SADISSA à défendre mon bien cher cadet car les cassettes Vidéo sont encore là sur Facebook où avec sa Milice, il ratisse dans le Pool tuant tout ce qui bouge (notamment des chiens dont celui de mon oncle à Nganga Lingolo). Tu devrais te garder de trop faire de vacarme car la route de l’oubli n’est pas refermée et ne l’est pas, ne le sera pas de sitôt. Il y a trop de contentieux et toutes les plaies sont encore plus que béantes. Les larmes ne sont pas encore et jamais séchées.
Oui tu as dit que l’homme politique doit savoir s’adapter aux circonstances politiques du moment. C’est-à-dire faire le jeu du CAMÉLÉON, (prendre les couleurs du milieu où il se trouve) Certes le philosophe et historien HAMAPE BA, dit que c’est signe de sagesse. Mais nous au Pool, on a toujours dit que :
« LE CAFARD A BEAU S’EN ROULER DANS DE LA FARINE, DANS DU KAKA, DANS DE LA BOUE : LA MÈRE POULE, NE L’IGNORE PAS. ELLE LE MANGE TOUJOURS ET SANS REGRETS, SANS ÉTAT D’ÂME».
Les juristes disent qu’un contentieux n’est apuré que dès lors que la justice est passée par là. Donc si aujourd’hui, nous mangions, nous lavons, marchons, trinquons, jacassons ensemble, ce n’est pas signe de faiblesse, c’est parce que nous sommes bien élevés et faisons montre de la hauteur et de la grandeur. C’est là la grande vertu de la sagesse nous joue parfois un vilain jeu. Nous sommes trop civilisés et les autres considèrent ce geste pour une faiblesse. Mais jamais, il ne faut pas croire que nous sommes des lâches, qu’on nous a eus, qu’on est des imbéciles.
Nous avons qui est qui, qui a fait quoi et qui ne l’a pas fait quand nous sommes ensemble. Le tigre ne montre sa tigritude que quand il est devant sa proie.
VENONS-EN A CE QUI M’A INTERPELLE LE CAS DE PARFAIT KOLELAS.
Mais pourquoi tu es obligé de déverser toute ta haine viscérale sur Parfait que tu daignes même ne pas accepter qu’on lui ait donné le prénom de « Parfait ». Car dis-tu, ça ne lui va pas. Mais qui es-tu ? Pour qui te prends-tu Cadet ? Attends un peu de retenue, ça va te calmer un peu ? Mais c’est criminel ça cadet. Si toi tu n’aimes pas ton prénom Bienvenu, il faut t’en prendre à tes parents. Mais accepte que KOLELAS se prénomme Parfait. En disant, ce que tu as dit sur son prénom, tu t’en es pris à son géniteur qui est Bernard KOLELAS et là les fils du Pool que nous sommes ne pourraient te laisser faire ça. Un respect s’impose sur nos morts, l’occurrence sur la personne de Bernard KOLELAS.
« MAIS DIT DONC VRAIMENT LE BOSSU N’A JAMAIS VU SA BOSSE »
Mais cherches-tu la guerre petit Frère ? Mais comment peux-tu prononcer, citer des noms comme ceux que tu as cités : KOLELAS, TSATY MABILA, MOUKOUEKE, TAMBA-TAMBA, KINIOUMBA sans une fois citer tous les criminels NORDISTES DE TON VILLAGE, de ta région qui ont mis notre pays à genoux, qui volent en milliards, qui n’ont jamais sur élever ou soulever un brin de poussière durant toute leur existence de politicien ; si ce n’est voler comme des malades, comme des cleptomanes. Quoi que tout cela figurant dans votre ADN. Le nordiste est trop nul pour qu’il parle au Congo. On me dit qu’ils ont pour la plupart les mêmes diplômes que nous. Mais quand on a des diplômes, on élève son pays, au plus haut degré du développement.
Quand on a le taux de croissance comme celui que connait notre pays depuis 1997, on crée des boulots pour son peuple, pour sa jeunesse. C’est quand on est riche que les gens vivent bien, s’éduquent bien, se soignent bien. Chez nous, contrairement aux autres pays du continent, leurs Présidents, leurs pouvoirs ont créé du bien-être et du bien vivre pour leur peuple. Chez nous les sauvageons, qu’on nous a ramenés du bord de l’Alima, que font-ils : ils volent, assassinent ou tentent d’assassiner comme ce qu’ils ont voulu faire de ton ami KALAKALA Augustin et ceci sans état d’âme.
Comment peux-tu citer des noms de ces grands patriotes et avoir l’âme en paix et la conscience tranquille ? Même si les noms de ceux que tu cites sont ou ont été, à un moment ou à un autre, de leur vie, venus vous donner un sacré coup de main pour déformer notre pays, pour le mettre dans l’état que nous décrions tous, mais ils n’étaient jamais aux commandes. Ce sont les mbochis, les kouyous, les bomitaba et autres morpions du NORD qui, depuis 1969 sont aux leviers de notre administration, Militaire comme civil, c’est le cas de MOKOKO où quand on massacrait au Sud, avait-il tenté de lever son nain petit doigt. Grand officier, mais nain partout, Conseiller très écouté. Mais mon Dieu, que conseillait-il à MACHIAVEL ? TES BOWAO, Secrétaire Général du Gouvernement puis MINISTRE DE LA DÉFENSE ? N’a-t-il pas des choses à nous apprendre, à nous devoir quand les congolais du Sud pleuraient et avaient du mal à sécher leurs larmes ? Où était-il et qu’avait-il fait ?
Oui dis-tu : « L’homme politique doit savoir s’adapter aux circonstances du moment », OUI c’est vrai c’est pourquoi au Congo de Marien donc des NORDISTES: « Tous les chats sont devenus gris », que le Congo est devenu le seul pays en Afrique où : « Tout le monde est comme : « Au village d’ananas : tout le monde porte une huppe » ; comme : « Au village du maïs, tout le monde porte une barbe » Mais de grâce, épargnes-nous cette mixité exécrable, indigeste et ignominieuse. Il faut qu’au Congo comme chez tous les pays civilisés, on sache dissocier le vrai de l’ivraie, le chou de la carotte et retrouve ses lettres de noblesse.
Et si notre pays a convulsé c’est à cause du NORDISTE qu’on a ramené à la civilisation un peu trop tôt. Et c’est dès qu’il est arrivé en ville, à Brazzaville, à Pointe-Noire, à Dolisie quand il a vu manger les gens avec des fourchettes, lui aussi voulait s’en presser à s’en servir mais c’était trop tôt. Il fallait encore apprendre. Tout s’apprend sur cette terre. Mais malheureusement nous avons compris et nous payons le prix fort, il y a des races, il y a des peuples qui ne peuvent pas savoir apprendre. On peut beau leur faire des schémas, ils ne comprendront jamais rien. Ils sont, restent et resteront tels : primitifs.
D’OÙ VIENNENT TOUTES NOS DIFFICULTÉS AUJOURD’HUI AU CONGO ?
Il faut se le dire et ceci sans état d’âme. C’est parce que nous avons en notre sein des peuples qui n’ont jamais su s’adapter malgré le temps passé avec des gens civilisés. Voyez-vous : « une branche d’arbre a beau séjourné dans l’eau, jamais au grand jamais, elle n’est devenue, ni poisson, ni caïman ». Malgré le temps passé à l’ECOLE. D’autres avaient vite quitté leur état et se sont tout suite adaptés comme tu le dis de l’homme politique : « s’adapter aux civilisations, aux nouvelles cultures, en un mot à la MONDIALISATION. Mais curieusement avec l’homme du NORD plus on va vers le renouveau, plus il continue à s’agripper sur sa civilisation primitive, rétrograde, désuète et hors d’usage. Sous Sassou I le Nordiste volait en Millions. Revenu au pouvoir par le sang, au lieu de tirer les leçons et des nouvelles circonstances, il est revenu en volant cette fois-ci en MILLIARDS. Et si cela n’est pas une malédiction, comment peut-on appeler cela du NORDISTE ? Là où il ne faut plus voler, lui double d’intensité et continue de voler comme s’il passait un examen.
Je souffre trop de cet état d’esprit de mes Frères et sœurs du Nord de chez moi, que j’ai décidé de faire une THESE DE DOCTORAT sur le comportement du NORDISTE CONGOLAIS.
VOIS-TU MON BIEN CHER PETIT FRÈRE BIENVENU : DANS MES HEURES PERDUES, EN DÉPIT DE MES DEUX DOCTORAUX, JE M’AMUSE A ECRIRE ET VAIS SOUTENIR UNE THESE DE DOCTORAT (UN TROISIÈME) DONT LE TITRE EST TRÈS ÉNIGMATIQUE, ENTREPRENANT, ENVOÛTANT ET FAIT COULER BEAUCOUP D’ENCRE CAR C’EST UN SUJET QUI PLAIT TROP A MON DIRECTEUR DE THESE.
LES ETHNOLOGUES, LES ANTHROPOLOGUES, LES SOCIOLOGUES, LES CRIMINOLOGUES AVEC LESQUELS JE TRAVAILLE SUR CE SUJET notamment mon Directeur de Thèse sont très emportés car ils trouvent mon sujet très captivant, mon travail trop pathétique. Je suis déjà à 789 pages et compte le terminer d’ici peu. J’inviterai des chefs d’Etat dont notre MACHIAVEL à venir assister à ma soutenance. Et tu y es convié d’office. LE TITRE c’est :
« L’ETHNIE OU LA REGION SONT-ELLES UN FREIN AU DÉVELOPPENT D’UN PAYS ? LE CAS DU CONGO BRAZZAVILLE.
Un travail pour lequel je suis en train de rassembler tous les anthropologues, sociologues et Ethnologues de France pour qu’ils m’éclairent car je ne comprends pas, je n’ai jamais compris le comportement de mes frères et sœurs du Nord du Congo,
Non Petit frère, je ne te laisserai pas traîner Guy Parfait KOLELAS dans la boue. KOLELAS n’était jamais à Mpila comme tu le confirmes le 21 mars. C’est moi qui y était attendu pour me tirer les oreilles et me demander comme il l’avait fait dès mon arrivée, de dire à mes parents à ce qu’il ne les retrouve pas en ses travers. Sinon, il y aurait hécatombes, des morts par milliers. C’est moi et non personne d’autres. C’est moi qui informais Parfait KOLELAS de tout ce qui se tramait depuis, car lui-même se méfiait vu que quelques jours auparavant il avait été séquestré, entouré des militaires burundais. Tu me sais au moins.
Pourquoi êtes-vous comme ça au Nord, et quel Pacte avez-vous signé avec la mythomanie ? Est-ce une culture pour vous ou un signe de noblesse, une valeur cardinale ? Depuis quand Machiavel a-t-il donné des millions à un adversaire politique ? Chez lui un adversaire politique devient automatiquement un ennemi politique. Et tu penses qu’il peut donner de l’argent à un ennemi sous-entendu que celui-ci peut lui faire mal avec. Bienvenu, en hallucinant comme tu le fais, je sens que tu es imbu d’une vraie haine contre l’homme du SUD en général puisque tu ne t’attaques qu’aux fils du SUD et du Pool en particulier. Cependant tu restes intacte avec tes propres parents que tu bonifies même.
Tu parles de KALA-KALA comme si c’était un saint. Il était du système. Ses anciens ont trouvé qu’il avait déconné. Et comme tout traître, il a LA RÉPLIQUE QU’ON INFLIGE AUX TRAÎTRES ; action, réaction. C’est la réplique qu’utilisent tous les bandits dont ALCAPONE. On te tranchait la tête. Mais ici, il faut remercier le bon Dieu que ses anciens amis l’aient laissé en vie car il y a des innocents dans le Pool qui payent pour ce qu’ils ne savent pas, et pour ce qu’ils n’ont jamais fait. Je te dis que moi je connais l’homme. Comme tu le connais aussi, tu sais qu’il a travaillé avec vous. Avec OKOMBI SALISSA qui n’a jamais été un saint. Et dans cette entreprise mafieuse, c’est le sang, ou on te tranche la gorge ou tu t’alignes. Or notre Kala-kala a eu la chance, il est vivant. Remercions Dieu et ceux-là pour ne l’avoir pas égorgé directement comme ils en font aux fils innocents du Pool et d’ailleurs. Et ça, ça n’émeut personne, on dirait.
En tout cas, si tu es sage, tu dois retirer tes propos, ta cassette contre Parfait KOLELAS car tu t’attaques là à un gros morceau. Tu es là en plein POOL. Je te le conseille vivement car le mal du Congo, contrairement à ce que tu oses affirmer, n’est pas Parfait Brice KOLELAS mais l’homme du NORD, RIEN QUE L’HOMME DU nord.
J’ai parlé. Et débattons maintenant en me prouvant que j’affabule, que je suis devenu fou, que je mens que c’est toi qui a raison ;
J’attends !
A Paris, le 25 octobre 2016.
Le Premier ministre du Gouvernement congolais en exil,
Maître Tony Gilbert MOUDILOU.